Les zones de non-droit en Allemagne, même technique qu’en France

Inside Germany’s No-Go Zones: Part I – North Rhine-Westphalia

by Soeren Kern  •  November 7, 2016 at 5:30 am

  • « In Berlin or in the north of Duisburg there are neighborhoods where colleagues hardly dare to stop a car — because they know that they’ll be surrounded by 40 or 50 men. » These attacks amount to a « deliberate challenge to the authority of the state — attacks in which the perpetrators are expressing their contempt for our society. » — Rainer Wendt, President of the German Police Union.
  • « Once Duisburg-Marxloh was a popular shopping and residential area. Now clans claim the streets for themselves. The police are powerless. The descent of the district is nightmarish. » — N24 Television.
  • Police say they are alarmed by the brutality and aggression of the clans, who are said to view crime as leisure activity. If police dare to intervene, hundreds of clan members are mobilized to confront the police.
  • A 17-page report prepared for the NRW State Parliament revealed how Lebanese clans in Duisburg divide up certain neighborhoods in order to pursue their criminal activities, such as robbery, drug dealing and extortion.
  • « Further data collection is not legally permissible. Both internally and externally, any classification that could be used to depreciate human beings must be avoided. In this respect, the use of the term ‘family clan’ is forbidden from the police point of view. » — Ralf Jäger, Interior Minister, North Rhine-Westphalia.
  • Two police officers stopped a driver who ran a red light. The driver got out of the car and ran away. When police caught up with him, they were confronted by more than 50 migrants. A 15-year-old attacked a policeman from behind and began strangling him, rendering him unconscious.

Police guard the scene of a shooting murder in Essen, Germany, on April 9, 2016. The murder was part of a bloody feud within a Lebanese clan. (Image source: WDR video screenshot)

Mass, unvetted immigration from Africa, Asia and the Middle East is turning parts of Germany into no-go zones — lawless areas where the state has effectively lost control and where native Germans, including the police, increasingly fear to come.

German authorities steadfastly deny the existence of such areas, but confidential police reports, testimonies from police on the ground and anecdotal evidence from local citizens all confirm that parts of major German cities have descended into pockets of lawlessness where criminal migrants have usurped control of the streets from German police.

Observers say the problems are being exacerbated by the German government, which has relocated hundreds of thousands of asylum seekers and refugees into these areas.

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EN PRIME 

La Rue Allemande en Proie à l’Anarchie
« Nous perdons le contrôle des rues ».

par Soeren Kern  •  6 novembre 2016

  • Au cours des six premiers mois de 2016, les migrants ont été impliqués dans 142.500 crimes et délits, a indiqué l’Office fédéral de police criminelle. Cela équivaut à 780 délits par jour, soit une hausse de près de 40% par rapport à 2015. Les données n’incluent bien sûr que les délits ayant donné lieu à l’arrestation d’un suspect.
  • Des milliers de migrants entrés comme « demandeurs d’asile » ou « réfugiés » ont disparu des radars. Il s’agit vraisemblablement de migrants économiques entrés en Allemagne sur un faux prétexte. On pense qu’ils se livrent aujourd’hui au vol et la violence criminelle.
  • Dans de nombreuses régions, la police locale reconnait qu’elle travaille aux limites de ses capacités et se dit incapable de maintenir la loi et l’ordre.
  • « Le trafic de drogue a lieu sous nos yeux. Si nous intervenons, nous sommes menacés, insultés, couverts de crachats. Parfois, quelqu’un dégaine un couteau. Ce sont toujours les mêmes. Ils sont sans pitié, sans peur et n’ont aucun scrupule à voler, même les personnes âgées ». – Un agent de sécurité privée.
  • Selon Freddi Lohse du syndicat de la police de Hambourg, de nombreux migrants délinquants considèrent le laxisme du système judiciaire allemand comme un feu vert à la délinquance. « Ils sont habitués à des peines plus sévères dans leur pays d’origine », a-t-il dit. « Ils ont aucun respect pour nous ».
  • « Il n’est pas possible que les délinquants continuent de remplir les dossiers de la police, nous blessent physiquement, nous insultent et j’en passe, et que tout cela demeure sans conséquence. De nombreux délits sont classés sans suite et des délinquants sont libérés après avoir été condamné à des peines avec sursis ou quelque chose d’équivalent. Oui, ce qui se passe aujourd’hui dans les tribunaux est une blague. » – Tania Kambouri, officier de police.

Déploiement de police pour réduire une émeute entre migrants (Image source: SAT1 video screenshot)

Le viol d’une fillette de dix ans à Leipzig, la plus grande ville de Saxe, a de nouveau attiré l’attention sur la spirale criminelle engendrée par les migrants dans les villes et villages d’Allemagne – mais aussi sur la capacité des autorités allemandes et des médias à tenter de censurer toujours plus l’information sur les auteurs de ces crimes.

Le 27 octobre, à sept heures du matin, la petite fille roulait en vélo en direction de l’école, quand un homme en embuscade, l’a jetée à terre puis l’a violée. Le suspect a été décrit comme un homme âgé d’une trentaine d’années, les cheveux bruns courts et une barbe de plusieurs jours.

La police de Leipzig a explicitement refusé de dire que le suspect est un migrant, mais a implicitement admis qu’il en était un : le portrait-robot du suspect qui a été rendu public était assorti de l’avertissement – très politiquement correct – suivant :

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