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Ce texte d’un lecteur
La Hijra ? La mort future. Je me demande comment fait un réfugié pour avoir 3000 Euros pour payer un passeur tout en sachant que chez lui il lui faut plusieurs années pour obtenir juste 1000 Euros. En théorie, pas si improbable que ça ! La Hijra : un « cheval de Troie » moderne… la doctrine islamique de l’immigration !
Qui sont les 450 migrants du cargo arraisonné en Italie ? Des «réfugiés» qui ont tout perdu ! Les reportages se succèdent pour décrire leurs terribles conditions de vie :
– « Ils ont à peine de quoi se nourrir. La moitié des 22 millions de Syriens vit avec moins de 2 dollars par jour depuis 2 ans ». Alors comment auraient-ils entre 3 000 et 5 000 dollars pour payer les passeurs ? (déclaré par certains d’entre-eux aux journalistes). – Et si quelqu’un finançait plutôt le voyage de djihadistes déguisés en réfugiés ?
-Qui sont les plus persécutés, en Syrie et en Irak ?
-Ce sont les Chrétiens, les Yezidis, les femmes, les vieillards, les enfants.
-Y a-t-il des Chrétiens,dans les cargos qui «s’échouent »sur les côtes italiennes ? NON, il y a essentiellement des musulmans. Des enfants, des vieillards, des femmes ? Pas beaucoup, ou presque pas. La grande majorité, ce sont des hommes seuls. Calais en est le témoin.
L’ONU parle d’un million d’enfants n’ayant pas même une couverture à se mettre sur le dos pour affronter l’hiver, alors que des «passeurs» auraient 2 ou 3 millions de dollars pour acheter des cargos et les abandonner ensuite, comme cela a été fait dernièrement ? Et ces passeurs seraient maintenant devenus marins, capitaines, mécaniciens, ils auraient appris à faire naviguer les cargos qu’ils abandonnent ensuite ? L’état islamique a d’énormes ressources financières, des banques, des puits de pétrole.
Tout le monde connaît cette histoire qui fut l’épisode final de la guerre de Troie et que l’on pourrait parodier ainsi :
Ne pouvant rentrer anonymement en Europe après avoir combattu auprès de l’État Islamique,des guerriers musulmans furent déguisés en réfugiés et cachés dans des grands bateaux voguant sur la Méditerranée. Arrivés sur les côtes italiennes, ils furent accueillis comme un cadeau des dieux : ils offraient une nouvelle occasion aux Européens de réparer leurs «abjects crimes coloniaux» en ouvrant les bras aux défavorisés. Cette ruse entraîna la chute de l’empire. »
Quel homme politique, quel journaliste aura le courage de poser cette question ?
Nos services secrets sont-ils au travail ? Pas sûr ! mais pour la CIA le doute est levé : »Des miliciens de l’ Etat Islamique viennent en Europe déguisés en réfugiés », (selon des sources des services secrets américains.) Si l’invasion musulmane de l’Europe se poursuit au rythme actuel, d’ici quelques décennies, les cimetières seront les seuls endroits où les Chrétiens, les Juifs et autres… seront majoritaires. Le Qatar est un des pays Musulmans les plus extrémistes… ça on le sait…. Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant, l’ambassade du Qatar en construction dans une des plus belles avenues bruxelloises, avenue Franklin Roosevelt y a prévu aussi une mosquée de 600 places ! Or, le ministère des Affaires étrangères a, non seulement refusé d’approuver ce financement, mais il a également répondu au Centre islamique Tawfiiq «qu’il serait paradoxal et contre nature d’accepter ces financements venant d’un pays qui n’accepte pas la liberté religieuse.» Encore une nouvelle qui nous parvient par le net. Elle est pourtant transmise par toutes les agences de presse, mais probablement sur une fréquence que les services audiovisuels européens ne reçoivent pas, et ne diffusent donc pas ! Avec un seul envoi de ce mail à cinq contacts, (soit 30 sec. de votre précieux temps), nous serons chacun à l’origine, dans 3 mois, d’1 million de mails ou personnes averties, et 48 millions en 6 mois! Cela contribuera peut-être à ouvrir les yeux de nos propres gouvernants… Le ministre norvégien des Affaires étrangères Jonas Gahr Store avait en son temps dans un cas similaire déclaré au journal VG :
«Nous aurions pu simplement dire non, le ministère n’approuve pas, mais nous avons profité de l’occasion pour ajouter que l’approbation serait paradoxale, tant que vouloir établir une communauté chrétienne en Arabie saoudite sera considéré comme un crime passible de décapitation».
Remarque : une autre mosquée est également en construction à Court-Saint-Etienne.
Ils se donnent le droit de détruire tout ce qui est autre qu’Islam (Chrétiens, Coptes, Juifs, laïques et même Bouddhistes etc… ) dans leur pays. Mais envahissent nos pays occidentaux avec leurs mosquées, minarets… Comment l’urbanisme fait-il pour approuver de tels édifices ?
Document sur la Hijra , qui peut se faire dans les deux sens Réactualisé par certains prédicateurs salafistes, le phénomène de la hijra gagne du terrain en France, jugée par certains musulmans rigoristes comme un territoire hostile à l’islam. «C’est pour cela que ce magazine se nomme Dâr-al-Islâm, pour ce (sic) rappeler cet immense bienfait qu’est celui de vivre sous la loi d’Allâh, au milieu des croyants. Et pour rappeler à ceux qui n’ont pas accompli l’obligation d’émigrer de la terre de mécréance et de guerre vers celle de l’islâm qu’ils sont en immense danger dans ce monde et dans l’autre.»: on pouvait lire ces lignes dans le premier numéro du magazine de l’État islamique en français. Le message de ces 15 pages de propagande distribuées en pdf sur le net est simple: appeler les Français musulmans à faire leur hijra, c’est-à-dire à émigrer en terre d’Islam. La dernière chanson de Daesh en Français propage le même message: «tends ta main pour l’allégeance, et émigre vers la terre», peut on entendre dans cet hymne à l’hijra. De son côté Omar Omsen, propagandiste du cyberdjihad et principal recruteur de djihadistes français pour al-Qaida, appelle à longueur de vidéos les jeunes musulmans de France à faire leur hijra car, selon lui, «il n’est pas bon de vivre parmi les infidèles». Dans l’islam, le monde est divisé en deux catégories: la terre de guerre ou de mécréance «Dar-al-Harb» et la terre de paix dâr-al-islam: la hijra consiste à quitter la première pour gagner la seconde. L’Hégire (hijra en arabe) désigne à l’origine l’exil des compagnons de Mahomet de La Mecque vers Médine. Mais aujourd’hui le mot a pris une autre acception: «faire sa hijra», c’est un peu comme faire son alya pour les Juifs, c’est déménager en terres musulmanes pour pratiquer un «islam sain». Devenu le principal outil de propagande des djihadistes, la hijra peut être aussi pratiquée sur un mode plus pacifique. ![]() De nombreux sites internet proposent d’organiser la «hijra» pour les «mouhajir» français désireux d’émigrer. Parmi les destinations proposées, on ne trouve pas l’État-islamique, mais plutôt l’Algérie, le Maroc, ou encore l’Arabie saoudite, le Koweit et la Malaisie. Le site la-hijra.com donne des conseils aux musulmans désireux de partir. On y trouve en pdf un guide détaillé expliquant le budget à prévoir. Des conseillers spécialisés par Skype (un pour les hommes, un autre pour les femmes) sont disponibles et se chargent de recueillir la «zakat» (aumône, troisième pilier de l’islam) auprès de l’oumma (communauté musulmane) pour financer le voyage des candidats à la hijra. Est-ce obligatoire dans l’islam?Pour le sociologue de l’islam Samir Amghar, la réactualisation de la hijra doit s’inscrire dans un débat plus large: celui de savoir si un musulman peut vivre ou non en terre non musulmane (terre où s’applique la loi islamique – charia). Au Moyen-âge, la question ne se pose même pas: il est impossible à un musulman de vivre en terre non musulmane. Mais les théologiens contemporains de l’islam ont été confrontés à un nouveau problème: celui de l’immigration, qui était d’abord temporaire (ainsi, les immigrés de confession musulmane venus en France ne pratiquaient pas le Ramadan, facultatif lorsqu’on est en voyage), mais qui s’est ensuite sédentarisée. Ils ont dû donc déterminer si la France faisait partie ou non du Dâr-al-islam, et si un «bon» musulman pouvait y vivre. Le blogueur salafiste Fateh Kimouche, plus connu sous le nom d’Al kanz, suivi par des dizaines de milliers de personnes sur twitter, a appelé publiquement les musulmans à faire leur hijra sur son compte twitter, pour fuir le «climat d’islamophobie» en France. Contacté par Le Figaro.fr, il explique: «La jurisprudence en matière de hijra est diverse: certains savants considèrent qu’il est obligatoire pour un musulman de ne pas vivre en terres non musulmanes et que par conséquent la hijra s’impose à chacun ; d’autres pensent que l’on peut vivre en terres non musulmanes dès lors que l’on peut pratiquer librement (on peut prier, on peut jeûner, etc.)». «Aujourd’hui la dichotomie terres musulmanes et terres non musulmanes est moins tranchée.» assure le blogueur. D’après Samir Amghar, «Des théologiens salafistes, d’Arabie saoudite, ont réactualisé le phénomène d’une hijra religieuse, en invitant les musulmans occidentaux à quitter les terres occidentales pour venir s’installer dans des pays à majorité musulmane.» .«Ces Fatwas se nourrissent de la crainte d’une assimilation progressive des musulmans qui se trouvent en situation diasporique, partant du principe que l’identité musulmane risque de se diluer, surtout en France, où il est très difficile selon eux de vivre pleinement son islam.» explique l’universitaire au Figaro. La hijra vient se substituer au mythe du retour des primo-migrants. Ainsi qu’au fantasme de la remigration prônée par une certaine extrême droite. Combien de personnes concernées?Difficile de le dire, car il n’existe aucun décompte officiel, contrairement à l’Agence juive qui organise les alyas des juifs désireux de retourner en Israël. Pour Samir Amghar l’ «hijra est plus vécue comme un mythe que comme une réalité» et ne concerne que «quelques centaines d’individus chaque année». Pour le blogueur Al Kanz en revanche le phénomène «explose» et ce, d’après lui, à cause de «l’explosion de l’islamophobie» en France. «La nouveauté, c’est que si la volonté de faire hijra était la marque des plus religieux des plus pratiquants, cette caractéristique n’est plus vraie aujourd’hui», ajoute-t-il. Les pays privilégiés sont le Qatar, les pays du Magrheb (en particulier l’Algérie), mais aussi l’Arabie saoudite et la Malaisie. Avant le printemps arabe, l’Egypte était aussi une destination privilégiée: on y trouvait alors près de 10% de salafistes parmi les Français expatriés (soit 500 sur les 5000 Français installés là-bas). Une «hijra» dans les campagnes françaises?Ceux qui n’ont pas les moyens d’émigrer dans ces pays étrangers se tournent parfois vers les campagnes françaises. Une sorte de «hijra de l’intérieur». Les villages sont jugés moins impurs que les villes, car on peut y vivre un islam rigoriste sans se voir flanquer un PV à chaque coin de rue pour port de la burqa. «Nous savons bien que le mieux c’est une hijra en terre musulmane, nous avons essayé et nous avons du rentrer pour différentes raisons, en premier lieu visa… Bref donc en attendant, quitte à devoir rester en France, au lieu de rester à bosser pour des koufars [NDLR: mécréants] en ville, faire des aller retour canapé, lidl, mosquée, manger de la viande dont tu n’est même pas certain à 100%, autant s’organiser…» explique une internaute sur un forum musulman. «Ce n’est rien de moins que ce qu’on déjà fait certains écolo-marginaux avec les écovillages, mais version muslim!» ajoute-t-elle. Un phénomène suffisament important pour que les services renseignements, s’inquiètent, dans une note, d’une «hijra dans les campagnes» concernant plusieurs villages français. |

