Nous sommes radicalement opposé au système des primaires. Il s’agit d’une confiscation de la souveraineté populaire, il s’agit d’un moyen de pré-selectionner et de pré-juger des intentions des électeurs. C’est une sorte de suffrage censitaire. Il s’agit aussi de tracer un champ d’affrontement artificiel à l’intérieur duquel on va emprisonner les choix des citoyens. Il s’agit en outre de populariser des thèmes (exemple celui du Revenu Universel) qui ensuite vont être repris et mis en forme plus gouvernementalement correcte par les vrais candidats.
Le système des primaires, retenu par les deux branches de la sociale-démocratie est l’affichage, la preuve de leur connivence objective et subjective. C’est le nez au milieu de la figure de leur collaboration pour escamoter les vrais débats et le suffrage universel. La connivence entre la sociale démo de droite et celle de gauche exprime l’état historique du système: « le système capitaliste monopolistique de gouvernement et de banque centrale réunis » avec ses sous-bassements , le consumérisme et l’idéologie du modernisme.
Si elle est révélée, si elle est exposée, mise à nu , cette connivence permet de comprendre que la sociale démocratie a deux branches inséparables comme les faces d’une médaille et qu’elle est pièce la maîtresse dans le système qui permet la reproduction et l’élargissement du capitalisme dévoyé, « crony », confisqué. Ce capitalisme qui a abandonné la légitimité de la production, de l’investissement et de la mise au travail, pour se développer sur la base de la spéculation financière et de la recherche des écarts mondiaux pour les piller.
La fonction de cette sociale-démocratie est de brouiller les cartes, les perceptions. Il s’agit d’écarter les opposants et de baliser le terrain de l’affrontement à son profit . Il s’agit de créer, déjà, dès la base du processus politique, un univers truqué.
C’est la confirmation de la validité de notre thèse face à celles des conspirationnistes « hard »: il y a une conspiration objective « soft » qui rend inutile les concertations secrètes , les rencontres, les conciliabules et autres délires sur le complot des élites; il y a convergence des intérêts, des objectifs , des théories, des programmes et des actes de ceux qui ont des intérêts communs et ne diffèrent que par le hasard, l’opportunisme ou l’héritage.
Ayant réglé son compte démocratique au système des primaires, il est possible de le retourner dialectiquement et d’en faire un « plus », un avantage pour le peuple.
Le régime politique actuel, cette sorte de bipartisme bidon et bidonné, ne tient que par l’enfumage. Il tient par et grâce à un mythe , celui du découpage droite/gauche, mythe réducteur qui, en quelque sorte, joue sur l’émotionnel, le pré-conscient, les sensibilités, et les gênes; le peuple quasi spontanément se classe lui même, il se range, il se met en ordre, il se colle l’étiquette droite ou gauche. Et c’est tout bénéfice puis que cela provoque un alignement, des alignements moutonniers qui donnent à voir deux têtes, une de droite et une de gauche, qui valident le scrutin majoritaire à deux tours, éliminent et réduisent au silence les marginaux, les innovants, les forces de vrai changement ou de renouveau. Mélenchon et ses électeurs, par exemple sont totalement victimes de cette mystification.
Le découpage droite/gauche rend le système gouvernable par et pour les élites. C’est un outil, un instrument indispensable dans la Grande Mystification. Il permet la confiscation par le « haut » de la légitimité populaire tout en faisant semblant de lui rendre hommage. Le droite/gauche est un découpage, mieux un rangement, mieux un arrangement scélérat des élites .
Attention ne confondez pas cette analyse qui critique le découpage droite/gauche avec l’autre analyse également scélérate, celle d’un Juppé qui nie le découpage droite/gauche pour unifier les deux sociale-démocraties sous le signe et la houlette de la technocratie, de la compétence des Enanistes ou des « sujets supposés savoir et détenir la vérité » ! Eux misent sur la massification, l’abstraction, et les pertes d’identité, alors que nous affirmons que les identités existent mais qu’elles ne sont pas là ou on le dit.
J’en viens à l’essentiel: une organisation de primaires sous le régime droite/gauche donne l’occasion de l’affrontement public, télévisé, donc du débat, donc de la mise à jour et à nu des clivages. Les primaires font éclater les droites et les gauches, elles en montrent le caractère artificiel. Elles montrent que ce sont des artifices, des pièges à cons. Les primaires peuvent être un révélateur de la Grande Mystification!
Elles peuvent donner à voir le fait qu’il n’y a nul rapport entre le socialisme internationaliste d’un Valls et le socialisme nationaliste d’un Montebourg pour prendre une caricature. Notez que je me méfie des lois Gayssot et Pleven et que je dis bien s’agissant de Montebourg de socialiste-nationaliste et non l’inverse..! Les primaires permettent de se poser la question qu’est-ce qui est le plus pertinent actuellement, le socialisme abatardi , vidé de tout contenu dont ces deux zozos nous rabachent les oreilles ou bien leur opposition, leur divergence radicale sur la question centrale de l’attitude face à l’international, au multinational et au global?
Les deux points de vue, celui de Valls et de Montebourg sont irréconciliables, ils ne peuvent coexister au sein de la même formation pour agir et gouverner. Les propositions de Montebourg n’ont de crédibilité que sur la base du nationalisme , tandis que celles de Valls ne prennent sens et cohérence que sur le postulat de l’acceptation de l’internationalisation.
La vraie ligne de partage n’est plus le socialisme, lequel n’a plus de contenu opérationnel, plus de contenu autre que sous forme discours et de spectacle apolitique: le sociétal. La vraie ligne de partage c’est la position face à ce qui constitue la force majeure qui est à l’oeuvre dans nos sociétés: la globalisation/ européisation. C’est à dire la soumission à la contrainte extérieure, la soumission à l’ordre du « tout », « imposé par l’ailleurs ».
Le bon travail journalistique consiste face aux primaires, non pas se faire arbitre ou meneur de jeu du débat entre les camps mais à montrer le caractère irréductible de leur division interne. Consiste à faire advenir, à montrer les axes politiques que l’on s’efforce de dissimuler. Le travail journalistique de la primaire consiste à faire accoucher la recomposition.
Les axes politiques sont multiples et ils doivent être énumérés, clarifiés et illustrés par des exemples d’analyse concrètes des programmes. J’ai choisi le plus fort, celui qui traverse nos systèmes, l’axe « international » vs « national ». Pourquoi? Parce que c’est celui qui conditionne la faisabilité des programmes, la crédibilité des promesses et donc la confiance. C’est cet axe par exemple qui, historiquement a signé l’échec de Mitterrand (l’épisode des visiteurs du soir), c’est lui qui a signé la trahison de Hollande ( sa soumission à ce qu’il déteste, la finance) .
Cet axe est celui qui, clarifié, peut organiser une recomposition efficace et gérable du paysage politique Français. C’est cet axe qui, seul peut permettre à la nouvelle formation politique issue du lepenisme de l’emporter aux présidentielles de 2017. Symétriquement c’est cet axe qui peut montrer s’il existe en France, comme l’espère Macron, une base sociale pour aller de l’avant dans le sens de l’intégration internationale, dans le marché mondial, et de ce que l’on appelle abusivement la modernité.
La sociale-démocratie telle qu’elle est , dans sa version droite ou sa version gauche est un régime politique qui peut conquérir le pouvoir, elle est conçue pour cela, mais elle ne peut gouverner, elle n’a pas de vraie base positive, elle ne peut que mentir, tromper, enfumer, violer et donc rapidement, inéluctablement, elle montre son absence de légitimité. C’est ce que l’on a vu dès le lendemain de la victoire de Fillon aux primaires, il n’a pas de mandat pour faire ce autour de quoi son programme est articulé. Il n’y a déjà plus que 30% des Français à le vouloir comme Président.
Je dis que les axes politiques sont multiples, même si il y en a un qui est majeur: l’international. Signalons au passage cette aberration dont la sociale-démocratie s’est rendu coupable: tout ce qui est non international est assimilé au fascisme, si vous en doutez regardez autour de vous, tout ce qui est national est vilipendé: la protection des frontières, la préférence économique nationale, le refus de l’immigration remplaciste, l’affirmation de nos racines, de notre culture, de notre héritage religieux. Regardez, face aux migrants qui pillent la protection sociale que vous alimentez par vos impôts et donc votre travail protester et affirmer votre droit de propriété est devenu raciste et fasciste. C’était une parenthèse.
Les autres axes sont importants, mais ils sont plus difficilement perceptibles et donc plus difficiles à manier pour une recomposition, la sociale démocratie ici, a accompli son travail de dissolution culturelle: on se pose même plus la question du degré d’intervention de l’état, de la prédation fiscale d’une classe au profit de ses alliés, du degré et des limites de la liberté sociale et des libertés individuelles. L’existence de ces autres axes impliquerait que dans un pays démocratique, les partis s’organisent en tendances, en courants. La diversité au lieu d’être niée comme elle l’est par les élites qui réclament l’unité, la diversité est la source de l’adaptation, elle doit être encouragée, facilitée,valorisée .
L’élite sociale-démocrate a réussi à imposer le welfare state, la redistribution/ répartition/confiscation tous azimuts, la régulation de toutes nos activités, de notre discours, le contrôle social, le contrôle des attitudes, … Mais son point faible est là: il est au niveau de la position face à l’intégration internationale. Pourquoi? Parce que cela a des conséquences concrètes sur les niveaux de vie, sur la sécurité, sur la précarité, bref sur le bien être. C’est là ou la politique rencontre la réalité.
La nouvelle formation politique issue du lepenisme a pu se constituer comme force incontournable grâce à la paupérisation des classes moyennes. Paupérisation qui résulte de l’arbitrage international du travail et de la liberté des mouvements des capitaux lesquels permettent les délocalisations et le jeu sur les écarts de valeur des ressources et des produits. Elle ne pourra accéder aux responsabilités que si elle détache de la sociale-démocratie ceux qui objectivement soufrent de l’intégration internationale et européenne. L’électeur socialiste traditionnel victime du choix internationaliste de son parti constitue le réservoir naturel de voix de cette nouvelle formation. Surtout avec le spectacle de l’accroissement considérable des inégalités et celui de l’enrichissement de la gauche dite caviar. Le socialisme international est le parti des riches.
La clientèle potentielle additionnelle de cette nouvelle formation issue de lepenisme ne se situe pas, contrairement aux apparences, du côté de la droite LR ex UMP, elle est du côté de ceux qui ont normalement vocation à voter pour le parti socialiste, comme les cols bleus par exemple, mais qui concrètement sont victimes de son choix internationaliste.
Les Trump, Farage, Wilders, Le Pen, Grillo, sont tout sauf libertaires, libéraux ou partisans de l’économie de marché. Ils ne remettent pas en cause le welfare, ne prônent pas l’économie de marché. Ils disent que la protection sociale c’est bien , ils veulent forcer les sociétés à rapatrier les productions, ils veulent stopper l’immigration. Au Danemark, le DPP, le Parti Populaire Danois est plus socialiste que le parti socialiste!
« Si voter servait à quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit » Coluche dixit.
Trois choses :
1°/ Ce que les gens ont du mal à comprendre, c’est que le système est quasi(*)-totalement déterministe dans l’ordre temporel, car même les oppositions massives sont prises en compte par les gestionnaires occultes du système, déviées, contrôlées et, in fine, se retournent contre leurs tenants et les bonnes idées qu’ils portent, ce qui est encore pire. En effet, lors des élections réelles, séduits par la sophistique du « mieux que rien », et du « pragmatisme », les électeurs se contentent de voter pour des politiciens fournis par le système qui semblent proposer plus ou moins ce qu’ils voudraient voudraient, mais seulement plus ou moins, et, contenant un poison létal, conduit à la catastrophe, e. g. le fascisme, pour ne pas dire le nazisme. Il est hors de doute que beaucoup de gens bien intentionnés ont voté pour qui vous savez en 33 alors que s’ils avaient en quoi consistait le nazisme, ne l’auraient pas à coup sûr pas fait. C’est donc toujours « face je gagne, pile tu perds ». Voilà pourquoi ça ne marche jamais. C’est dur à avaler mais c’est comme ça.
2°/ Le pragmatisme – vanté par la culture ambiante -, n’est pas du tout l’art de traiter habilement les choses pratiques, c’est certes cela, mais en faisant fi de tout autre condition que le résultat spécifique recherché (« whatever works ! »), notamment morale : j’ai besoin d’une voiture or je peux en voler une sans risque, donc je la vole. Dans ces conditions, il ne faut pas s’étonner que l’affaire tourne mal !
3°/ Seul le réel, au moins virtuel, ce qui existe ou pourrait exister réellement (compte-tenu de tous les aspects de la réalité, notamment la nature humaine telle qu’elle est et non pas selon les vues de Rousseau) a un sens, est intelligible. Le reste, non. Un cercle carré ne peut exister car être rond et carré simultanément est logiquement impossible. « Cercle carré » est un simple assemblage de mots. Eh bien, tel est le cas des idéologies. C’est du néant, du non être, ce n’est rien, woualou, nada. Pourtant les mots qui désignent ces pseudo-concepts sont des armes, relèvent de la logomachie. Qui niera que les mots « socialisme » ou « communisme » ont été et sont encore plus dangereux qu’un fusil ?
Bien à vous
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Si des éditoriaux réussis sont des éditoriaux qui font réfléchir le lecteur, alors celui-ci fait partie de ceux-là. C’est un article de fond, un vade mecum pour les futures présidentielles.
Bien que partageant l’essentiel du message, d’autant plus que les nuances introduites désamorcent au fur et à mesure les objections, je reste néanmoins un peu troublé pour deux raisons.
La première tient, selon toutes vraisemblances, aux concepts-clé eux-mêmes. Même si je comprends tout à fait l’intérêt pratique de leur utilisation, difficile de s’y retrouver complétement avec des mots déformés par l’usure du temps. Ainsi en va-t-il des termes ambivalents comme socialisme, sociale-démocratie, libéralisme, internationalisme, nationalisme.
La seconde tient aux conséquences que je crois devoir tirer de vos propos.
En effet, si :
1. Le scrutin majoritaire à deux tours nous interdit tout véritable débat, car il n’offre le choix qu’entre des candidats agréés par le système dominant (il faudra cependant faire avec, car le pire serait de ne pas savoir profiter des opportunités dialectiques offertes malgré tout par ce système, au cours du processus électoral),
2. La paupérisation des classes moyennes pousse l’histoire des prochaines années vers des solutions socialistes ou tenues pour telles actuellement,
Alors il ne reste plus qu’à voter pour Marine Le Pen, si on refuse le globalisme bien sûr, …
Et pourtant je suis persuadé que les solutions administrées présentent de lourds effets secondaires sur le long terme. Pas Arnaud Montebourg, parce que, malgré tout ce qu’on peut lire ici ou là sur le dépassement du clivage droite-gauche, les idées de liberté, d’identité et de sens des responsabilités demeurent un repère idéologique utile, à la condition de savoir préalablement décoder les manipulations de la sociale-démocratie.
Au fond, le besoin d’identité n’est-il pas mieux pris en compte par les idéologies holistiques (socialistes) que par l’idéologie libérale ?
Allons même plus loin, comme le fait Alain de Benoist : l’idéologie libérale n’est-elle pas, par essence, destructrice des identités ? Pour autant, je relève que les auteurs anti-libéraux d’aujourd’hui, que je lis avec grand intérêt, ne proposent pas d’alternative précise et pragmatique au libéralisme ; poussés dans leurs retranchements idéologiques, on croit comprendre qu’ils se rangeraient finalement à une nouvelle forme de socialisme local et libertaire.
Conclusion : le retour éventuel au national, après 40 années de déconstruction des identités, ne passera-t-il pas transitoirement ( ?) par un stade holistique, ce que vous appelez la soumission à l’ordre du tout, qu’on pourrait désigner plus simplement par le mot fourre-tout de socialisme ?
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Les chiens ne font pas des chats ..
« Nous sommes radicalement opposé au système des primaires. Il s’agit d’une confiscation de la souveraineté populaire, il s’agit d’un moyen de pré-selectionner et de pré-juger des intentions des électeurs.[…]. Il s’agit aussi de tracer un champ d’affrontement artificiel à l’intérieur duquel on va emprisonner les choix des citoyens. »
C’est excellemment dit. Cependant, ce phénomène que d’aucuns appellent « une dérive », fait bel et bien parti du champ des possibles de « nos démocraties » dans leurs oeuvres. « Démocratie », selon l’emploi usuel du mot, n’est pas un terme désignant un concept univoque, comme « chat » désigne le quadrupède que l’on connaît ; ce n’est qu’un mot relevant de l’arsenal révolutionnaire destiné à tromper, et in fine, à dominer, beaucoup plus sûrement, du point de vue de la durée et de la stabilité que la dictature classique. Bien-entendu, le plus ne sort pas du moins et le plus, dans les démocraties, existe bel et bien, mais il échappe au regard des masses, qui sont roulées dans la farine comme la friture en croyant décider de leur sort par leurs petites mains.
J’ajoute, que la démocratie du V° siècle av JC en Grèce, souvent citée comme modèle auquel il faudrait revenir, était ultra-élitiste, totalitaire et contrôlée par les sociétés secrètes de l’époque (religions à mystères).
Bien à vous,
Essel
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Peut être avez vous compris que je n’utilise pas le concept de démocratie comme désignant une réalité, mais comme un horizon, un passage à la limite. Elle n’existe pas et n’a jamais existé et n’existera jamais, mais on peut s’en rapprocher asymptotiquement tout comme on le fait pour un autre horizon: la vérité. Par ailleurs je partage votre point devue, le contenu et les formes de la démocratie (en tant qu’existant) sont historiques, relatives, bien sûr.
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Oui, bien-sûr, mais, concrètement, il n’y a rien à en attendre sous le rapport de l’ordre et de la justice. Dans tous les types de société, ce sont les plus rusés qui finissent par dominer. Surtout dans les sociétés « d’égaux », créées ad hoc par eux-mêmes, sous apparence de « volonté populaire ». Au sein la chrétienté, ils ont fini par arriver à leurs fins après des siècles de minage opiniâtre, ce qui implique un management surnaturel. Il n’y a rien d’étonnant à cela, car tous les hommes sont enclins au mal, tous, sans exception, même s’il y a des degrés. Attendre qu’un bien, un vrai bien, émerge durablement d’une société humaine est du même ordre qu’attendre l’apparition d’un lingot d’or au sein d’une marmite où bouillonne de la fange. Certes, tel ou tel intérêt particulier peut fortuitement ou par calcul se voir un instant satisfait ; c’est cet espoir qui fait courir les masses aux urnes et a, jusqu’à présent maintenu le système.
C’est pourquoi on ne peut que s’en tenir au vieil adage ; fais ce que dois advienne que pourra. Nous avons une obligation de moyens (faire le bien, éviter le mal), non de fin, qui appartient à Dieu seul.
Bien à vous
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