A lire . Il faut réintroduire la peur du peuple!
En temps normal, vous avez le peuple, en bas dans les arènes , il s’entre déchire. Il lutte pour la vie et se fait concurrence, pour survivre, pour vivre et tenter de prospérer selon les cas et selon les statuts sociaux. En haut, vous avez les élites. Les élites elles ne se déchirent pas, elles forment un cartel protégé par des règles construites à leur profit. Même quand elles jouent la comédie de l’opposition.
En haut dans les tribunes vous avez les Maîtres, sur les gradins avec leur cour, les médiacrates, les rebellocrates , les culturocrates, bref toute la clique. Et tout ce beau monde regarde le peuple imbécile jouer, lutter, combattre contre lui même. Ce peuple idiot se fait concurrence au moins disant, concurrence dans l’abaissement. Si ce n’est dans la veulerie. L’homme est un loup pour l’homme au sein du peuple. Gabin avait raison, il n’y a pas plus méchant qu’un pauvre pour un autre pauvre, « salauds de pauvres » dit il dans le film La traversée de Paris!
Il n’y a qu’une occasion ou la situation s’inverse, c’est lors des élections. En ces moments, le peuple devient spectateur, il forme un cartel, une classe. Temporairement, il monte sur les gradins et observe les maîtres se déchirer entre eux avec leurs troupes, leurs mercenaires, leurs palotins ubuesques, de sortie pour les circonstances. Avec les médiacrates , rangés en rangs serrés. En ces moments les complices, les connivents d’avant, les maîtres deviennent des loups eux aussi.
C’est un beau spectacle que de les voir humiliés les uns après les autres, perdant toute dignité. Baissant les yeux sur leurs pointes de souliers redécouvertes pour la circonstance. La Chute , quel beau spectacle!
Hélas le peuple n’est pas constant, sa lucidité n’est jamais que passagère, jamais il ne retourne le pouce, et ne fait le signe fatal celui qui signifie l’exécution irrémédiable. Et il a tort . Si le peuple voulait inverser le cours des choses , si il voulait être respecté, il irait jusqu’au bout, pouce renversé. Aucune indulgence, pour personne, non par souci d’équité , mais par nécessité de vengeance, oeil pour oeil, dent pour dent, c’est ainsi que l’on est respecté.
Le respect, c’est la crainte plus l’admiration. C’est Israel qui a raison, pas l’ONU. Soyez un peu Nietzschéens, au moins le temps du cirque électoral, qui pendant de rares moments vous rend votre dignité. Pensez qu' »ILS » sont sans pitié, regardez comment ils traitent ceux que vous tentez d’élire, comme Trump quand ils portent votre étendard. Osez l’Aventure. Au moins pendant quelques mois, elle mérite d’être vécue.
Le peuple se trompe presque toujours: à un moment donné il croit que « eux, c’est nous » , et il s’identifie, il a pitié, il pardonne, pire, il oublie. Il passe l’éponge, alors qu’on ne lui passe rien. On l’insulte quand il se prend à rêver d’ oser voter contre les Maîtres.
Le bannissement, la honte, la déchéance, doivent être le lot pour tous ceux qui touchent, du public, du privé, de l’étranger, du Qatar, des fondations de Soros, partout, et sous toutes les formes …Tout doit être sanctionné, l’abus de bien social, l’abus de bien national, l’abus de bien international, l’abus de biens supranational, tout ! Si cela ne gagne pas, comme on dit sur les marchés des quatre saisons, cela débarrasse.
Qui a dit quand un peuple a peur c’est de la tyrannie mais quand ce sont les élites qui ont peur, alors, c’est la démocratie. Il faut « les » terroriser, renverser la peur , ce sont eux les terroristes de vos vies.
Le Pen, Fillon, Macron : petites affaires et grandes manœuvres en vue de la présidentielle 31 janvier 2017 Reinformation TV Pauline Mille Penelopegate pour Fillon, frais de bouche pour Macron, assistants au parlement européen pour Marine Le Pen, les petites affaires d’argent des candidats sortent pour la présidentielle. Les grandes manœuvres ont commencé et pèseront sur […] |
brunobertez 