Alain de Benoist sur Macron

La personne d’Emmanuel Macron ne m’intéresse pas. Ce qui me déplaît chez lui, c’est ce qu’il représente, en l’occurrence le regroupement des élites dirigeantes acquises à la mondialisation, qui ont compris qu’il leur fallait s’unir pour faire face au « populisme du peuple ».

J’ai déjà eu l’occasion de le dire : Macron, héritier de Tony Blair (et clone de Justin Trudeau), c’est la mondialisation tous azimuts, la suppression des frontières, la précarisation pour tous et le pouvoir sans partage des puissances financières.

Face à lui, Marine Le Pen ne peut avoir de chances de l’emporter qu’en faisant comprendre que le second tour de la présidentielle ne sera pas un vote pour ou contre le Front national, mais un référendum sur la mondialisation.

Propos recueillis par Yann Vallerie/breizhinfo

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