Dans leurs délires les PHD veulent tout quantifier. C’est normal c’est ainsi qu’ils gagnent leur vie. Donc ils transforment le réel, le discontinu, le fractal, en signes et en font tout un univers parallèle.
les perceptions ne sont pas le reflet du réel; les opinions ne sont pas la Vérité. Mais il y a longtemps que sous l’influence de s marchés le relativisme s’est imposé et que la vérité se décide aux voix, par les votes. Quand nous recevrons la bombe atomique sur la gueule, hélas, cela sera du réel, pas de la perception graduelle. C’est cela ce que l’on appelle avec humour, La Grande Réconciliation! La réconciliation entre le réel et ses signes!
nous vivons dans un univers parallèle ou les signes se combinent, s’assemblent, se composent pour créer un monde artificiel, un monde névrosé, dans la bouteille comme nous disons.
Nous répétons, l’incertitude et les risques réels sont irréductibles à la quantification. Tout n’est pas dérivable. Il y a des ruptures, du tout ou rien. La quantification ne sert qu’ à alimenter les spéculations du monde parallèle sur les marchés du bonneteau financier.
brunobertez 
Cela est proche de la définition d’un Cygne noir cher à Nassim Nicholas Taleb.
« La théorie du cygne noir ou théorie des événements cygne noir, développée par le philosophe Nassim Nicholas Taleb, notamment dans son essai Le Cygne noir, est une théorie dans laquelle on appelle cygne noir un certain événement imprévisible qui a une faible probabilité de se dérouler (appelé « événement rare » en théorie des probabilités) et qui, s’il se réalise, a des conséquences d’une portée considérable et exceptionnelle. Taleb a, dans un premier temps, appliqué cette théorie à la finance. En effet, les événements rares y sont souvent sous-évalués en termes de prix. »
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_du_cygne_noir
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Les PHD font dans le postModerne, dans l’éclatement des signes – ceci n’est pas une pipe – (la copie Clinton voudrait remplacer René Magritte, l’original).
PHD ou l’univers du simulacre.
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