La Banque de France et poisson pilote de la BCE , des allemands et de Macron, après les remèdes d’urgence il faudra renforcer l’austérité, réduire les dépenses et augmenter les impôts. On le savait bien sur .
Les efforts budgétairs rigoureux, on sait ce que cela veut dire, tout comme les dépenses publiques sélectives.
Lisez notre dernier éditorial intitulé: Crises: rien prévu, rien compris, rien appris, rien ne va changer
Ils vont reprendre la trajectoire de la politique d’avant la crise, mais en renforcé!
Et c’est normal puisque l‘invariant qui détermine la politique c’est l’état de la finance, le statut actuel de la finance constitue un engrenage dont il n’est pas possible d’échapper; le volontarisme est soit un voeu pieux, soit un attrape nigauds.
Vous voulez dire qu’on ne finira pas la rédécoration de l’Elysée, que le maire d’un commune moyenne n’aura plus le droit à son chauffeur et que les repas seront moins fin au sénat ? Que l’on va revoir et supprimer les avantages Ad vitam æternam des élus ???? Qu’on ne plantera plus d’éolienne et qu’on évitera les réceptions avec Greta ???
J’aimeJ’aime
Mais non, on va faire des plans de relance : encore plus de ralentisseurs..
J’aimeJ’aime
Nous arrivons bientôt à la croisée des chemins.
Le peuple français se soumettra-t-il à une « cure d’austérité » comme celle que vivent les grecs ou la refuseront-ils ?
Réponse, très probablement, à la sortie du confinement.
J’aimeJ’aime
Non plus tard.
J’aimeJ’aime