« Derrière ce crime abominable, le vertigineux effondrement d’une Nation ».

Dans la situation d’effondrement dans laquelle se trouve la France, il est possible de procéder à deux types d’analyse et donc de critique.

Pour ma part, vous le savez pour me lire, je fais une critique radicale, sans concession du système.

D’autres font des critiques de l’intérieur du système, critiques que je qualifie d’institutionnelles, et elles ne sont pas moins remarquables et clairvoyantes.

Mon idée est qu’il n’y pas de contradiction mais complémentarité entre les deux points de vue; le radical de long terme et l’institutionnel de court et moyen terme sont utiles.

Maxime Tandonnet fait un travail exceptionnel de critique , il est mesuré mais il vise juste. Je note aussi que sous la pression de l’indignation, à certains moments, Maxime Tandonnet se radicalise.

par maximetandonnet

Un professeur d’histoire géographie a été décapité à Conflans-Sainte-Honorine, à quelques kilomètres de la capitale, pour avoir parlé de la liberté à ses élèves et leur avoir enseigné la liberté d’expression. Nous atteignons le paroxysme de la barbarie islamiste, une terreur sanguinaire à laquelle le nazisme n’a rien à envier.

A travers ce crime d’une sauvagerie inouïe, c’est toute la civilisation qui est décapitée, la culture gréco-latine, chrétienne, et les principes de la liberté et de la démocratie française.

Nous payons le prix de la bêtise, de la lâcheté, de l’ignominie d’une France dite « d’en haut », politique, médiatique, faussement intellectuelle qui ferme les yeux depuis trop longtemps avec complaisance sur la barbarie islamiste.

Ils ont laissé le mal absolu prendre racine sur le territoire français. Les complices de cette tragédie sont tous ceux qui, depuis 2012 et le massacre d’enfants juifs dans une école de Toulouse, puis celui de Charlie hebdo et du magasin casher, puis le Bataclan, Nice, le vieux prêtre de Normandie, les deux adolescentes de la gare de Marseille, aujourd’hui ce courageux professeur d’histoire-géographie, s’emploient à excuser les tortionnaires ou relativiser l’horreur de leurs crimes.

Coupables aussi les propos irresponsables sur les « mâles blancs », ou les crimes contre l’humanité » de la France coloniale, des propos qui ont tant fait pour attiser la haine de la France et de ceux qui l’incarnent et perpétuent sa culture, à l’image du professeur d’histoire-géographie.

Coupables ceux qui se trompent de guerre, foulent au pied les droits de l’homme au prétexte d’une épidémie, comme don Quichotte et les moulins à vent, mais courbent l’échine face à à la terreur islamiste, en vertu des mêmes droits de l’homme, jusqu’à prôner le rapatriement des tortionnaires de daesh.

Coupables enfin les brutes démagogues en tout genre ne songeant qu’à récupérer le fleuve de sang qui emporte la  France comme un bouchon de liège, à des fins électoralistes.

Derrière ce crime abominable, le vertigineux effondrement d’une Nation.

Maxime TANDONNET

11 réflexions sur “« Derrière ce crime abominable, le vertigineux effondrement d’une Nation ».

  1. Bonjour,
    Je lis de temps en temps certains de vos articles et je conçois vos idées malgré mon manque de connaissance sur quelques sujets. Il me semble que vous désirez globalement un monde meilleur. (Pardonnez-moi pour cette synthèse simpliste et niaise, mais il me semble qu’elle n’est pas incorrecte). A la lecture de vos écrits, mon esprit de lycéenne ne peut saisir toutes vos références et, je trouve que dans la forme, vous avez un style qui ne rend pas le contenu accessible, et j’oserai même penser qu’il y a comme quelque chose de condescendant. Or, vous désirez une progression au sein de notre société qui doit prendre sa souche dans la mentalité de la population. Pour contribuer à l’accomplissement de ces objectifs, ne faut-il pas se faire comprendre par la majorité des Français ? Car parfois, j’ai l’impression que vous désirez rester dans votre cercle élitiste d’intellectuels et nous regarder courir à notre perte (Excusez-moi, mais malgré tout le respect que je vous porte, je ne peux m’empêcher de faire un parallèle entre ceci et le peuple qui se moque face au débat « Trump-Biden » qui n’est qu’une pièce comique jouée sur la scène politique). Vous divulguez déjà vos idées, pourquoi le faire à moitié ?
    Bien sûr, vous écrivez comme vous le souhaitez, je ne fais qu’exprimer mon ressenti.
    Si vous vous demandez pourquoi je ne m’informe pas sur ces points que je trouve obscurs, je vous dirais que je ne saurai où chercher et ce n’est surtout pas ce genre de choses qu’on nous enseigne en cours.
    Je serai honorée de lire votre réponse.
    Cordialement

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    1. Je vous remercie de votre question et de l’exposé qui la précède.

      J’ai répondu à de multiples occasions aux demandes sur ces sujets. Je le ferai peut être encore un jour prochain.

      Il y a beaucoup de thèmes différents dans votre exposé.

      Je survole.

      Ils vont du désir qui est le mien en écrivant, à l’accessibilité, au refus d’être didactique, à l’attitude peu charitable qui est la mienne face aux lecteurs qui se heurtent à une barrière pour accéder au sens des textes, à ma philosphie sous jacente, aux outils intellectuels complexes que j’utilise etc etc.

      Je ne cherche pas la diffusion. voila la première chose qu’il faut admettre pour comprendre ma démarche.

      J’ai été patron d’un groupe de presse qui s’adressait à des centaines de milliers de lecteurs tous journaux confondus et j’ai vérifié le paradoxe de base de la communication: pour capter un public large il faut ne rien dire, offrir un contenu informationnel vide, creux. Il faut être accessible et surtout plaire; séduire.

      Dans la situation présente je dois avoir 10 ou 20 000 personnes qui me lisent plus ou moins régulièrement, compte tenu des reprises par les confrères et 2 000 qui me lisent quasi quotidiennement.

      Je trouve que l’on a déja dépassé le maximum utile. Les matières que je traite ne justifient pas un lectorat large.

      Ma conception de la communication est pyramidale ce qui n’est pas équivalent à élitiste.

      Je ne m’adresse pas à tous les lecteurs possibles en même temps comme le font les publicitaires ou les politiciens, non je m’adresse à un sous ensemble de prescripteurs, de gens de poids, qui sont redistributeurs d’informations, d’analyses , de sens, d’opinions. Pour que j’aie atteint mon objectif, il faut que mes lecteurs aient acquis des convictions fondées sur la rigueur, sur l’assimilation, pas sur la répétition.

      Ma démarche pour résumer est qualitative et non pas quantitative. Mais la quantité vient quand même, de surcroit par l’action de ceux qui m’ont lu et assimilé et essaient de diffuser ce que j’écris. Beaucoup aiment, ont envie de faire partager.

      Dans le monde moderne le système de communication repose sur l’influence, sur les images, bref sur la paresse et la passivité; mon choix est de refuser tout cela et de rechercher l’effort, l’approfondissement, la discipline, en échange d’une satisfaction énorme mais reportée et étalée dans le temps: comprendre.

      Présenté autrement: la communication moderne s’inscrit dans un univers de consommation alors que l’offre unilatérale, gratuite que je propose s’inscrit dans un processus d’investissement .

      Je fais un don gratuit au lecteur mais ce don lui coûte cher en attention, en travail de suivi, de compréhension. et même en frustration. Il doit aller chercher dans sa mémoire, dans les livres, dans wikipedia, dans mes écrits antérieurs. Et il y a pire, car il doit se remettre en question et accepter la sensation désagréable qui en découle. Je ne fais pas plaisir. Et tout cela est voulu.

      Notre monde offre de multiples occasions de jouir du plaisir des sens, mon projet en me mettant à ma table de travail c’est de vous offrir une jouissance que je considère comme constitutive de notre humanité: le plaisir du sens, je dis bien du sens!

      Ceci n’est qu’une toute partie de la réponse que j’aimerais vous faire.

      Une autre partie tournerait autour de mon pessimisme radical, fondamental sur la question que vous évoquez: changer le monde.

      Une autre partie encore expliciterait ma conception de la connaissance, laquelle est fondée sur le scepticisme méthodologique, sur le soupçon c’est à dire le refus des evidences et la recherche matérialiste des articulations cachées, enfouies sous la surface des évènements.

      En un mot qui n’explique rien sauf si on passe des heures à y réflêchir, pour moi ce qui apparait, ce qui se donne à voir, ce n’est pas le réel mais un symptôme. Mais on ne peut admettre ceci que si on a compris d’abord que le monde vit dans une terrible névrose.

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  2. On comprend mieux l’inadéquation des anciens responsables en regardant la dernière apparition de Chevenement face à Zemmour: c’est consternant ! Cantonné dans son rôle de pseudo vieux sage, ne trouvant rien de mieux que de faire le prof en disant que l’autre parle trop et trop fort…Du bla bla, du Micron !

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  3. « Ils ont laissé le mal absolu prendre racine sur le territoire français. »

    Un peu naïf. Non, ils n’ont pas laissé, ils ont décidé.

    De la même façon qu’il a été décidé de faire rentrer les immigrés en masse pour casser les salaires, il a été décidé de faire rentre les mercenaires dont la France s’est servie en Syrie et ailleurs.

    Il y a une confusion totale avec cette histoire entre les immigrés classiques, ceux du travail, et les Tchétchènes, qui sont plus probablement issu d’un arrangement pour nos opérations à l’extérieur, dont nos services pensent sans doute pouvoir se servir en cas de besoin. (Oui, c’est du complotisme.)

    Le Poutine a horrifié tout le monde avec son brutal « aller buter les Tchéthènes jusque dans les chiottes », mais faut être un peu naïf pour croire que c’étaient des enfants de choeur – mais bon, si vous êtes assez sot pour croire les médias mainstream sur les gentils Tchétchènes et les méchants Russes… En tant que citoyen, on est censé se tenir au courant. Poutine a précisément eu à l’origine l’approbation de sa population sur la résolution du problème Tchétchène : les Russes ont détesté que des villages entiers à leur frontière se fassent massacrer… et nous, on les accueille les bras ouverts. Faut pas trop se plaindre que ça nous arrive sur notre sol, hein.

    Nous autres Français sommes totalement à l’ouest concernant le degré de religiosité de certaines parties du monde. Pour ma part, je ne voudrais pas faire face en tant qu’armée à la petite Géorgie ou à la grande Russie – ils savent très bien où est leur place dans le cosmos avec leur foi religieuse, ils ont cette puissance incroyable d’identité qui nous a désertés depuis bien longtemps.

    Quant au fait qu’un prof d’histoire demande en classe « Qui est musulman ? » pour tenir un discours à une seule partie du peuple français… je ne suis pas sûr qu’on puisse qualifier cela de laïque. Outre la grande question de ce qu’il espérait donner comme leçon à des gosses de 14 ans en montrant ces caricatures. S’il voulait faire la critique de l’islam, il sort totalement de son rôle laïque ; s’il voulait illustrer ce qu’était la liberté d’expression en France en 2020, eh bien, en tant qu’historien, il s’est totalement loupé : après l’affaire Charlie, il est évident qu’on ne peut pas montrer ces caricatures, son massacre le prouve.

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    1. Non le monde n’est pas bipolaire, il n’y a pas d’un côté les bons et les méchants Poutine fait aussi son cinéma avec les Tchétchènes qui lui servent bien aussi. Symbole tchétchène, le loup est investi de connotations liées à la force. Animal qui s’attaque à plus fort que lui, représenté sur les armoiries de la république tchétchène d’Itchkérie, ainsi que sur l’iconographie indépendantiste, il personnifie l’endurance et le courage. Le teïp est caractérisé par un ensemble de droits, de privilèges et d’obligations qui sont les mêmes pour l’ensemble des membres du teïp. Une loi locale, plus connue sous le nom d’adat régule tous les aspects de la vie quotidienne. C’est une sorte de code commercial, pénal et civil. Ce droit coutumier est construit sur l’honneur des clans et structure les relations inter claniques.
      Cette organisation suscite parfois des divisions au sein de la société tchétchène. Les teïps et les individus sont socialement poussés à rivaliser pour le prestige, cette compétition reflète la plupart du temps des tensions générationnelles.
      Vous regardez les danses tchétchènes et vous avez compris ce peuple qui danse avec des armes. Sous Staline, les Tchétchènes résistèrent à la collectivisation forcée des terres. En 1944, à la suite de l’Insurrection (en) dirigée par Magomed Chéripov, environ 387 229 Tchétchènes et 91 250 Ingouches (selon les rapports de Lavrenti Beria, le chef du NKVD) furent déportés au Kazakhstan, accusés collectivement d’avoir collaboré avec l’Allemagne nazie.
      En 1957, à l’initiative de Khrouchtchev qui œuvrait à la déstalinisation de l’URSS, les Tchétchènes et les Ingouches furent autorisés à revenir sur leurs terres, et la « République socialiste soviétique autonome (RSSA) des Tchétchènes-Ingouches » fut rétablie.

      Nous sommes des bisounours, ce n’est pas la faute aux tchétchènes mais à notre lâcheté et notre ignorance des enjeux mondiaux. Nous sommes ravagés par la société de consommation. On refuse que l’homme soit un loup pour l’homme. On refuse d’entendre ce qu’à dit Henri Laborit c’est à dire que le cerveau humain n’est programmé que pour survivre et dominer et que tant qu’on enseignera pas cela aux humains, toutes les guerres continueront….

      L’Islam est avant tout politique comme le sont le christianisme le judaïsme comme le fut le culte d’Aton dont toutes ces religions descendent avec les sumériens.

      La notion de spiritualité n’est que l’enrobage de ces vieux codes civils à l’usage des puissants qui s’en réclament….

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  4. Beaucoup de ceux qui ont travaillé en ZEP voit pointer ce désastre depuis longtemps. Ceux qui connaissent les arcanes du travail de la police dans les « quartiers difficiles » aussi. Tout tend à montrer que les racines de cette dérive radicalisée d’une religion moyenâgeuse sont les mères, venues du « bled » grâce au regroupement familial instauré par Giscard en 1974, avant toute influence wahabite, devenue à présent essentielle. Nul n’a le droit de psychiatriser l’acte d’un meurtrier très rationnel comme on le fait sans complexe dans la mouvance de LFI et du PCF et ailleurs. A cette aune, l’aire d’influence de Daech, l’Iran ou l’Arabie saoudite sont des hôpitaux psychiatrique en plein air (sans compter les succursales). Mais en France quel état voudra remédier à cette chienlit qui nous mène au désastre? Macron responsable? Certes. Mais il est la tête émergée d’un système pourri qui a oublié l’intérêt général. Ça grenouille ferme autour du budget et des postes juteux. Les morts de l’islamisme, les problèmes posés par l’Islam, au mieux ils s’en foutent. Au pire, ils s’en félicitent comme un utile contre-feux aux révoltes sociales. Chers concitoyens, à vos nounours, à vos fleurs et à vos bougies, et dodo à 21 heures.

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  5. Bonjour,

    Je ne partage aucunement la sensibilité politique de JP Brighelli mais j’apprécie généralement ses écrits. Celui-ci ne déroge pas à la règle et est, je crois, d’une grande justesse suite à ce tragique et abominable évènement : https://blog.causeur.fr/bonnetdane/de-la-guerre-et-des-moyens-de-la-gagner-003263
    De son texte, brillant, j’extrais juste cette phrase au moment où l’actualité bruisse de rumeurs plus ou moins fondées : « …Tout ce que je sais, c’est qu’il était un enseignant d’expérience qui faisait bien son métier, et qui — l’information est absolument sûre — a été épaulé par la haute administration du Rectorat dès qu’a circulé la rumeur d’une plainte déposée contre lui par ce père de famille si chatouilleux… » . Du coup et pour une fois, je crois ce que dit un ministre : « Interrogé sur d’éventuelles sanctions de la part de l’inspection académique des Yvelines, ou d’un rappel aux « règles de laïcité et de neutralité » qui aurait été formulé à l’enseignant, Jean-Michel Blanquer a répondu que « cette information est fausse » ». (https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/enseignant-decapite-dans-les-yvelines/video-enseignant-decapite-il-y-a-eu-un-soutien-complet-du-professeur-assure-jean-michel-blanquer_4146735.html).

    Je ne suis hélas pas du tout surpris de cet acte de violence et suis simplement heureux qu’il n’y en est pas plus. Il y a bien longtemps que la faiblesse ou plutôt la complaisance de notre personnel politique nourrit ce prurit. La première chose que nous pourrions exiger de leur part, c’est de cesser de se mentir, de nous mentir et de travestir la réalité par démagogie, facilité ou incompétence (https://www.lefigaro.fr/vox/societe/general-pierre-de-villiers-c-est-une-attaque-a-l-existence-meme-de-notre-nation-de-notre-civilisation-20201017). Camus disait que mal nommer les choses, c’est apporter du malheur au Monde. Arrêter de le faire serait déjà un progrès significatif. Je sais par ailleurs fort bien qu’aucune solution pérenne ne pourra être élaborer et mise en œuvre rapidement, la situation générale étant bien trop complexe et les dégâts bien trop importants. En aucun cas une solution simple ne sera la solution. Prétendre le contraire, c’est confirmer l’assertion de Camus. Il existe des lois, veiller à leur stricte application résoudrait déjà une partie du problème Arrêter d y opposer un angélisme imbécile et, hélas, mortifère comme se plaisent à faire bon nombre de groupuscules ou d’associations serait un bon complément.
    Il y a de cela quelques jours, un homme, un étranger, m’a interpellé devant une grande surface. « J’ai faim » m’a-t-il dit. Il était accompagné de quatre enfants allant de 16 à 5 ans. Je n’ai pas pour habitude de donner de l’argent mais je lui ai acheté de quoi manger. Il m’a indiqué être pakistanais. Très certainement sans papier, je me suis posé la question de savoir comment et pourquoi il avait pu faire un si long voyage . Il y a là pour moi une énigme. J’ai eu la chance d’aller au Pakistan. Difficile dans ce pays de passer à travers les mailles d’un filet très resserrées. Je n’aimerai pas y être sans papier. Le « pays des purs » n’est pas réputé pour sa douceur de vivre. Dans notre pays, ça semble être open bar. La Justice fait ce qu’elle peut (lorsqu’elle est saisie) et l’administration décide seule ce qu’il faut faire (il n’y a qu’à voir le nombre de reconduites à la frontière qui ne sont jamais faites). Vu les délais rencontrés et volontairement maintenus, le risque est minime pour les prévenus.

    Notre pays est malade, très malade. Il s’effondre par pan entier et cette dégringolade ne se mesure pas uniquement à l’aune des attentats. Système éducatif catastrophique (et on veut y enseigner l’arabe alors qu’on est même pas capable d’y enseigner correctement l’anglais!!!), recul permanent dans les classements mondiaux (nous ne sommes plus que la septième puissance économique mondiale), économie à l’arrêt (la gestion de la crise sanitaire restera un modèle d’incompétence et de stupidité),… chacun peut compléter utilement cette liste à la Prévert. Demain se profile désormais une guerre civile rendue possible par le communautarisme qui s’institutionnalise. D’où viendra l’étincelle qui mettra le feu aux poudres, là est la seule question.

    Bonne soirée

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  6. …coupables ceux, qui dès la fin des années 70, ont décidé sciemment de rompre avec le
    modèle assimilationisme au motif qu’ on ne pouvait plus se le payer .
    Un modèle qui avait permis d’ unifier le pays, d’ en finir avec les provincialismes et leur jargon, et d’ accueillir des vagues
    d’ immugration espagnole, italienne, russe, juive etc dont un certain nombre de leurs descendants constitue
    l’ encadrement de notre pays .
    Des coupables ? Non, des criminels.

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