Ce dont on ne parle jamais..

On nous parle de chiffres, on nous parle de statistiques, d’enquêtes , de lois, on nous parle de tout sauf de ce qui est important .

La chose importante dans une société c’est la confiance.

Rien ne la remplace, elle remplace tout , et quand elle a disparu elle ne revient jamais.

Nous sommes un pays et une société qui ont perdu confiance

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9 réflexions sur “Ce dont on ne parle jamais..

  1. La France, par l’UE, et les autres pays avec elle, vont atteindre l’objectif indicible.
    Faire mourir le Vieille Europe, pour quelle renaisse…de, je ne sais combien, d’éclats!
    A l’image du passage des Empereurs Romains aux Rois Catholiques.
    Revision et changement de la musique, du mode de vie, des frontières, des langues, des monnaies et tant d’autres fondamentaux.

    Vu l’ampleur de la supercherie actuelle, mais pourtant défendue de toutes parts.
    Il semble que rien ne doit s’opposer à la manœuvre, quitte à fusiller les rebelles et déserteurs.
    Un des événements qui doit absolument ce produire, pour pouvoir produire la suite…

    Les concernant, pour cela, je leur fais confiance.

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  2. Manifestement, de plus en plus de citoyens prennent conscience que le pouvoir politico-médiatique les manipule constamment et délibérément. Quand la prise de conscience d’une telle manipulation est perçue, la confiance ne peut-être que rompue.

    Malheureusement, il reste aussi manifestement nombre de citoyens qui n’ont pas pris conscience de cette manipulation…ou refusent l’évidence.

    Je joins ci-dessous un lien vers un article de Nice-Matin qui illustre un pan non négligeable de la manipulation en cours concernant les « hospitalisations Covid », sachant que ce paramètre est utilisé par le gouvernement pour nous imposer nombre de mesures liberticides.

    C’est à peine croyable, un facteur de 2,5 ! est constaté dans le 06 entre les chiffres des « hospitalisations Covid » de Santé Publique France et les chiffres des hôpitaux.

    A l’échelle nationale, qu’en est-il ?

    « Pourquoi le nombre de malades entre les données de Santé Publique France et celles des hôpitaux est si différent. Notre décryptage »- Nice Matin 16 01 2021

    « À titre d’exemple, le 3 janvier dernier, Santé publique France comptabilisait 564 personnes hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 dans le département des Alpes-Maritimes (dont 69 en réanimation), quand dans la réalité « seulement » 233 patients au total (dont 55 en service de réanimation) étaient ce jour-là hospitalisés dans l’un ou l’autre des établissements (privés ou publics). Comment comprendre cette différence d’un facteur 2.5 entre ces deux sources? »

    https://www.nicematin.com/sante/pourquoi-le-nombre-de-malades-entre-les-donnees-de-sante-publique-france-et-celles-des-hopitaux-est-si-different-notre-decryptage-630970

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  3. L’absence de confiance actuelle est le prolongement logique de l’absence de cap clair défini pour la France et pour l’Europe – et ce depuis des dizaines d’années.

    Il y a eu probablement un sursaut avec l’entrée dans l’UE car on donnait un projet au peuple – projet flou, certes. Mais l’Europe en tant que projet fut un échec : le Français de base se demande ce que son pays a « gagné » depuis. Il vit cet épisode comme un déclassement. Le tort de l’Europe, c’est qu’elle n’a aucun rêve à offrir, aucune direction à proposer, rien de concret à se mettre sous la dent. C’est un grand machin très lointain, comme les gouvernements centraux des romans de science-fiction des univers multi-planétaires.

    On critique Xi Jingping pour son autocratisme, mais le PCF a compris une chose très simple : c’est de donner un horizon clair et positif au pays : dans tant de temps, la Chine sera là. Avec des étapes. On peut ne pas être d’accord sur l’objectif, mais la confiance se juge sur la réussite des étapes et de l’atteinte de l’objectif. Le cap est clair pour tout le monde, y compris pour les fonctionnaires. Depuis combien de temps en France aucun homme politique n’a de vision claire de où il veut que la France soit dans 50 ans, avec telle étape dans 1 an, dans 5 ans, dans 10 ans, dans 20 ans, etc. ? Même si la souveraineté est passé à l’Europe, il devrait être de la même façon claire pour tout Européen que l’objectif final, c’est ceci et que telles sont les étapes.

    Sauf qu’on se demande (naïvement) bien quel est le but de l’UE. Pourquoi existe-t-elle ? Comment se voit-elle dans 20 ans, dans 50 ans ? Quel est l’avantage d’un peuple ou d’un individu à faire partie de l’UE ? L’objectif, c’est de lutter contre le changement climatique ? On ne voit guère ce qu’un individu qui ne subit pas vraiment les effets du changement climatique peut bien tirer d’une lutte contre une menace non advenue et comment l’enthousiasmer pour créer quelque chose qui a pour but d’être invisible (si l’objectif est atteint, on n’en aura aucune mesure possible et on ne saura même pas si la lutte a été nécessaire ou pas), Cette lutte-là est purement négative : elle n’apporte rien à l’individu hic et nunc, il n’y a aucune espérance à en tirer. Elle ne promet que sang et larmes – contre un ennemi invisible et peut-être inexistant (les fameuses pluies acides d’il y a 30 ans ont bizarrement disparu des menaces existentielles). Et sans feuille de route claire (où sont les étapes, qu’est-ce que cela implique pour la vie quotidienne dans 5, 10, 20 ans ?), comment s’investir, comment se projeter ?

    Comment faire confiance, quand il n’y a aucune mesure de l’action possible, car aucun objectif n’a été défini au préalable ?

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  4. Confiance balayée par le règne de la défiance.

    Les aveuglement d’aujourd’hui ne sont pas ceux d’hier, mais sa remarque demeure actuelle. Harendt avait vu juste.

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  5. Oui, enfin nous ne devons pas oublier que nous sommes en guerre…

    En temps de guerre tous les pouvoirs en place ont toujours menti

    Macron n’a pas osé dire toute la vérité lors de son fameux discours donc je termine sa phrase

    Nous sommes en guerre … bactériologique

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    1. Ce n’est que très imparfait mais c’est partiellement juste.

      Je propose :

      nous sommes en guerre pour maintenir un ordre social qui n’arrive plus à se reproduire parce qu’il a touché ses limites internes et externes

      Nous avons utilisé la dette mais nous en touchons les limites également .

      Nous le prolongeont en paupérisant les masses , en les faisant régresser, ce qui provoque le populisme et délegitime les pouvoirs en place.

      Nous « tenons » en divisant les masses et en les culpabilisant; nous leur otons fierté et même confiance en elles meme

      Dans cette guerre pour contrôler les peuples nous utilisons toutes les peurs possibles, celle du climat, celle du chomage, celle du déclassement, celle de la santé et bien sur celle de la mort.

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  6. Les temps difficiles créent des hommes forts,
    les hommes forts créent des périodes de paix,
    les périodes de paix créent des hommes faibles,
    les hommes faibles créent des temps difficiles.

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  7. Hélas oui, mais historiquement depuis la naissance des sociétés humaines, il en a toujours été ainsi, non?
    De façon cyclique, avec des plus ou moins hauts et bas, en fonctions des gouvernants, des conjonctures, des espoirs, des croyances…

    Certaines générations doivent être sacrifier pour le bonheur des suivantes.
    Je suis prêt à me battre dans la dureté, pour que les enfants demain puissent encore rire!
    Je me rassure aussi en disant tout cela…
    Car il est vrai que l’avenir à moyen terme n’inspire pas la confiance…et il faudra se battre.

    Merci de votre travail quotidien!
    😁✊🙏

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