Un pays à genoux devant des criminels

Un pays à genoux devant des criminels

8 réflexions sur “Un pays à genoux devant des criminels

  1. on a les hommes politiques que l’on mérite … ils sont au pouvoir comme des marionnettes , car ceux qui tiennent les ficelles peuvent leurs faire faire ceux qui veulent … ils sont tenus par … les bollock … la manipulation es leurs art …

    NO FUTUR sauf dans le sang

    J’aime

    1. Nous avons à faire à des robots, pour eux les évidences n’existent pas.
      Continuons comme ça, et la cinquième République finira dans le sang.
      Lequel? L’avenir le dira.

      J’aime

      1. J’ai vécu immergé dans la politique pendant certaines années de ma vie, cela m’a dégouté d’en faire activement. Quand vous dites a un politicien ami, une vérité une evidence , cela ne change rien a sa position, jamais cela ne sert . Quand vous insistez cela débouche toujours par , sous une forme ou sous une autre: tu ne peux pas comprendre. Nous ne sommes pas dans l’irrationnel, nous sommes dans une autre rationalité. Un autre monde!
        C’est un monde en soi et remarquez que jamais quelqu’un de la société civile n’a réussi à y faire quoi que ce soit , tous ont été éjectés ou sont partis.

        J’aime

  2. Bonjour M. Bertez

    A un journaliste qui lui demandait si les membres du Conseil Constitutionnel étaient serviles, Mitterrand aurait répondu en ricanant  » Serviles? Mais non voyons, ils sont juste obéissants! »

    A part ceux à qui on aurait pu « mettre la livrée » ( cf. Andrea Camilleri), les autres sages représentent parfaitement ces hauts fonctionnaires bien propres sur eux qui possèdent une très grande intelligence sociale en plus de leurs talents évidents mais purement « techniques ». Ce qui signifie qu’ils ont réussi à toujours faire preuve de bien-pensance, sans jamais avoir été soupçonnés, à quelque moment que ce soit, d’indépendance d’esprit.
    Une remarque cependant: leurs CV respectifs ne mentionnent aucune spécialisation en droit constitutionnel… Ce qui pourrait peut-être constituer l’élément décisif ayant déterminé leur nomination à ce poste, couronnement d’une carrière exemplaire et décorée comme il sied .
    Lorsque leur notice nécrologique paraîtra, devant l’inévitable mention de « grand serviteur de l’Etat » je prendrai sans doute, si je suis encore de ce monde, l’ air grave et hocherai la tête avec componction car j’aurai probablement oublié, en raison de séquelles neurologiques dues aux vaccins, leurs dégoûtants attentats à la pudeur sur la Liberté, l’Égalité et la Fraternité.

    Cordialement

    J’aime

  3. D’un point de vue statique, votre titre est approprié. Dans une vision dynamique, quelques lueurs d’espoir.
    1) démonstration a été faite de l’absence totale de contrepouvoirs institutionnels, nombreux sont ceux qui retiendront la leçon,
    2) les mains faibles sont tombées, ne restent que les mains fortes, celles que l’on va voir dans les mouvements sociaux,
    3) l’opinion est versatile comme toujours ; d’autant plus qu’au moins la moitié de la population vaccinée le sera pour de mauvaises raisons (pas sanitaires – par obligation, pression sociale ou jouissance immédiate) ; et j’attends ce que donneront les remontées de terrain des gens privés d’accès aux soins,
    4) et surtout, la politique du tout-vaccinal va s’avérer un échec total dès cet automne avec les variants « échappés » et ce ne sont pas les éléments de langage sur la 3ième (et pourquoi pas la 4ième) injection qui tiendront longtemps.

    Bref, je dirais que le temps joue contre « eux » mais à une condition : ne pas se placer sur leur terrain de jeu, ils n’attendent que cela et les FDO sont bien tenues en main. Donc, non – violence et retourner patiemment l’opinion par une multitude de piqûres. Il ne faut pas pratiquer la guerre sociale ouverte, perdue d’avance, mais la guerre asymétrique en comptant sur la durée et la lassitude pour les épuiser.

    J’aime

  4. Nous avons de plus en plus l’impression que notre personnel politique (et ses complices médiatiques) est une mafia. Avec ses règles, ses stratégies, qui n’ont rien à voir avec l’intérêt général. Des sages, ou des « parrains »?

    J’aime

Laisser un commentaire