C’est une forme récente de lutte entre les capitalistes et le peuple, que de favoriser l’accession de gens de peu de valeur, de scrupules et de morale à la tête des états.

Ne me dites pas que c’est une thèse complotiste car c’est exactement le contraire; je soutiens que cela n’est pas voulu, pas concerté et c’est simplement une logique d’adaptation du système qui s’impose sans que personne ne l’ait pensée. Le monde n’est pas mu par la volonté des hommes, mais par la logique interne du Système. L’apparente volonté des hommes est produite par le Système.

Tout se passe comme si c’était pensé, mais ce n’est absolument pas le cas. Le système est mu par une sorte d’inconscient. Comme le prétend la glose américaine moderne de Princeton*, Dieu existe mais il est inconscient.

La Gnose de Princeton est un livre écrit par l’auteur français Raymond Ruyer, 

Les élites sont vicieuses mais pas assez intelligentes pour penser leurs stratégies! Non les stratégies sont le résultat des adaptations cybernétiques en essais et erreurs du système pour se prolonger. Le système a une sorte d’inconscient, comme un Blob qui le fait envisager et se diriger vers ce qui lui est le plus favorable.

Il y a depuis longtemps une bataille entre ceux qui manipulent les monnaies de crédit privées et leurs sbires pour détruire la propriété publique, la souveraineté nationale et créer un monde de capitalisme financiarisé et sous domination techno-féodale..

Les BRICS sont toujours des États-nations souverains. Ils possèdent une forte conscience ethnique, un sens aigu de la souveraineté nationale et s’efforcent d’utiliser leurs propres ressources à leur profit.

L’objectif du capital financier international est de détruire le sentiment de souveraineté dans ces régions. En effet, ils entravent le façonnement du monde selon la logique et les intérêts des capitalistes.

Actuellement, le dollar et son pouvoir juridictionnel constituent l’arme la plus puissante des capitalistes. Je pense que la « dédollarisation » est une tentative des BRICS de neutraliser cette arme. La valeur d’instrument d ‘échange du dollar est moins importante que son statut de réserve de valeur pour les riches et ultra riches du monde entier et surtout elle est moins importante que son statut de réservoir de liquidités mondiales et de maillage bancaire sous jacent .

L’Empire du Milieu est frustré par les tentatives des BRICS et du Sud de placer la gestion du crédit sous la responsabilité des gouvernements et des populations autochtones.

Les objectifs n’ont guère changé par rapport au passé.

Fondamentalement, il s’agit de détruire la propriété publique et le système de propriété publique dans divers pays, de privatiser, d’endetter et de remplacer la classe dirigeante de chaque pays par une classe de banquiers, propagandistes des intérêts des riches, des compradors , achetés et payés par l’Empire .

L’ Objectif de l’Occident est de discréditer fondamentalement les idées et les pulsions démocratiques, de montrer que les régimes qui en sont issus sont lamentables, c’est clair avec Zelensky , mais c’est la même chose avec Macron, choisi pour discréditer objectivement le système démocratique. Et peu importe que ce soit voulu et conscient; c’est ce que l’on constate quand on observe de loin, de Sirius , sans se laisser influence par les récits.

Le capital financier techno-feodal international aspire à une situation effroyable où des voyous névrosés peuvent facilement s’installer au pouvoir. Le peuple et l’État, facilement manipulables par la publicité télévisée, sont ainsi à la portée de cette classe de capitalistes.

Tout cela revient à « créer un monde plus facile à manipuler pour les ultra riches et les techno capitalistes ».

Ce n’est pas hasard si BlackRock, pieuvre financiere sans vraie tête qui a supplanté Goldman Sachs vient de se révéler comme le controleur du WEF.

BlackRock a été présenté comme l’un des artisans du départ de Klaus Schwab par la presse. Il est remplacé par un duo de milliardaires, l’Américain Larry Fink, cofondateur du fonds d’investissement BlackRock, et le Suisse André Hoffmann, vice-président du groupe pharmaceutique Roche.