Une opinion rebelle dont je ne retirerais pas un mot
L’effondrement arrive parce que le système est construit sur la fraude, la dette, le vol et les mensonges et qu’il est à court de marge.
Pas seulement financièrement. Culturellement. Démographiquement. Institutionnellement. Structurellement.
Toutes les soupapes de sécurité sont à leur maximum.
Voici la répartition détaillée :
1. Cancer financier : tout est basé sur la dette
Les États-Unis accusent un déficit annuel de plus de 2 000 milliards de dollars, en temps de paix. Les intérêts de la dette sont désormais supérieurs aux dépenses de défense. 70 % de toutes les émissions du Trésor américain sont à court terme et sont constamment renouvelées à des taux plus élevés. La Sécurité sociale et Medicare sont mathématiquement condamnées, tout comme les retraites.
La « solution » ? Imprimer davantage. Inflater davantage. Mentir davantage. Voler davantage la classe salariée. Ce n’est pas un système sain. C’est une pyramide de Ponzi ornée d’étoiles et de rayures.
2. Bombe à retardement démographique
Les baby-boomers partent en masse à la retraite = consommation en baisse, charge fiscale en hausse.
L’effondrement du taux de natalité = moins de travailleurs, de soldats, d’innovateurs, d’acheteurs. Remplacement de l’immigration ≠ . Cela crée une loyauté fragmentée, et non de la cohésion. La Chine, l’Europe, le Japon… tous sont dans une situation pire. Mais les États-Unis sont eux aussi en proie à une hémorragie interne. Aucun empire ne survit sans des gens qui croient en lui et qui se forment pour lui.
Les baby-boomers ont volé toutes les richesses, les jeunes familles n’ont pas les moyens d’avoir des enfants. Le système hait les jeunes esclaves, les exploite. Pourquoi les élever pour ça ?
3. Pourriture institutionnelle
FBI, CIA, DOJ = capturés, militarisés, méfiants. CDC, OMS, NIH = discrédités pendant le COVID. Les tribunaux sont politisés. Les universités sont des usines à fragilité et à collusion avec des ennemis étrangers pour des dollars. L’armée recrute avec des spectacles de drag queens tout en se préparant à la guerre. Personne ne croit que le système fonctionne, pas même ceux qui le dirigent.
4. Répartition des commandes mondiales Les États-Unis ne peuvent pas dominer la géopolitique comme ils l’ont fait en 1991. L’or est en hausse. Le statut de réserve du dollar est menacé. L’empire a brûlé son capital moral et a joué trop fort.
5. Énergie, chaînes d’approvisionnement, infrastructures
Le réseau électrique est fragile. Les réseaux d’eau vieillissent. Les réserves stratégiques sont épuisées. Pas de nouvel équipement nucléaire. Retour au charbon. Les véhicules électriques mettent le réseau à rude épreuve. Logistique juste à temps = vulnérable aux perturbations, à la guerre, au cygne noir ou au sabotage. On ne dirige pas un empire du 21e siècle avec des tuyaux des années 1970 et des fantasmes ESG de 2030.
6. Une culture de lâches, pas de bâtisseurs Hommes démoralisés.
Familles désintégrées. Des villes sans loi. Des écoles instrumentalisées par l’endoctrinement. Les médias sont de la propagande. La dissidence est criminalisée. La vérité est un discours de haine. Nous ne formons pas une génération de leaders. Nous créons des dépendants et des illusions.
7. Pas de boucles de rétroaction donc pas de réforme
Les élections sont achetées, truquées ou dénuées de sens. Les médias suppriment l’exposition. Les lanceurs d’alerte sont punis. La vérité est algorithmiquement enterrée. Tout système défaillant est renfloué, subventionné ou ignoré. Si l’échec n’est pas puni, alors l’échec devient une politique, les responsables des échecs deviennent des leaders. L’effondrement ne se produit pas à cause d’un événement isolé. Cela arrive parce que le système ne se répare pas tout seul. Trop capturé pour se réformer. Trop gonflé pour pivoter. Trop démoralisé pour résister. Le Centre de l’Occident ne peut pas tenir. Ni culturellement, ni financièrement, ni spirituellement.