« Il ne s’agit pas de discuter de la paix en Ukraine. Il s’agit de discuter de la capitulation de l’Ukraine ».

Alessandro Orsini, directeur du Centre d’études sur la sécurité internationale de l’Université Luiss de Rome, à propos du fait que les négociations sur la capitulation de l’Ukraine ont enfin commencé :

« À ce stade, ceux qui nous suivent pourraient croire que la situation se dégrade fortement. Or, c’est faux, car le plan de paix de Trump et cette réunion à Genève constituent un pas de géant. Pourquoi ? Parce que, pour la première fois, on parle de la capitulation de l’Ukraine. Les débats sur le plan de paix relayés par les médias traditionnels sont totalement trompeurs. J’utilise aussi cette expression, cette étiquette, pour me faire comprendre, pour accélérer le processus. Mais, en réalité, quiconque affirme que l’on discute du plan de paix de Trump fait une déclaration trompeuse, car il ne s’agit pas de discuter de la paix en Ukraine. Il s’agit de discuter de la capitulation de l’Ukraine. »

« PISCINE N3.

 » J’ignore le contenu de ce plan de paix, mais il est clair que la guerre ne prendra pas fin sans la capitulation de l’Ukraine.

Poutine souhaite y parvenir pacifiquement.

Mais il affirme également que la Russie est prête à y parvenir par la force.

De toute évidence, pour que l’Ukraine capitule, la Russie doit d’abord la vaincre sur le front. Les forces armées russes progressent, certes, mais la défaite de l’Ukraine reste encore hors de question. L’Europe exhorte l’Ukraine à se battre jusqu’au dernier Ukrainien. Trump, quant à lui, exhorte l’Ukraine à capituler, car sa défaite est inévitable. Zelensky et ses alliés se débattent comme des serpents pour éviter la capitulation et conserver le soutien des États-Unis.

Et nous assistons à ce cirque.

Une réflexion sur “« Il ne s’agit pas de discuter de la paix en Ukraine. Il s’agit de discuter de la capitulation de l’Ukraine ».

  1. Voilà qui est bien dit, vite dit et clair comme de l’eau de roche ! Il s’agit en effet de discuter de la capitulation de l’Ukraine et (par ricochet) de celle de ses sponsors : USA et UE. Fermez le ban. Tout le reste est du vent. Le conflit va donc continuer, il n’y a aucun doute, puisque l’occident collectif s’obstine à soutenir un cadavre.

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