La question migratoire dans l’ordre du monde

La Gauche aime Jaurès. Du moins quand celà lui convient. Pour ce qui ne lui convient pas, elle l’ignore. « Dans les choses extérieures, écrivait-il, il suffit de l’action de minorités violentes ou sournoises pour déterminer les catastrophes si les peuples ne veillent pas »… »A toutes les époques de l’histoire, la guerre a été pour pour les partis de réaction et et pour leurs chefs, qui se sentent incessamment en péril, la diversion espérée et recherchée ».

Nul ne peut douter que le parti socialiste soit un parti de réaction.  Il s’est fixé comme objectif d’aligner la France sur l’ordre usuraro-libéral-allemand, d’augmenter les taux d’exploitation des salariés, de reprendre les acquis sociaux, de faire rendre gorge aux citoyens pour payer les usuriers, de laminer les couches sociales petites et moyennes pour satisifaire aux demandes Allemandes.

Ce parti de la réaction retourne à l’essentiel de ce qui fut la motivation des élites Françaises qui ont collaboré pendant la seconde guerre mondiale: la volonté de mettre au pas, tous ces braillards qui demandent toujours plus et refusent de courber l’échine. Nous sommes dans le droit fil de la Révolution Nationale, dans la Cagoule et X-Crise, il suffit de remplacer les cagoulards par les énanistes et autres inspecteurs des finances, sujets supposés savoir, mieux que nous.

Le parti Solférinien est un parti de réaction et les indications des sondages ne trompent pas, son chef, Hollande ne réussit plus à capter la confiance de son électorat naturel. Sa situation est précaire, il est, comme dirait Jaurès « en péril ».  Il endort les masses par la propagande, le détournement de la vérité et l’enfumage.  Mais cela ne suffit pas, il faut faire appel aux vieilles recettes unifiantes, les recettes de la massification. C’est ce qui est fait à trois niveaux qui s’articulent  et se complètent; celui de la multiplication des interventions belliqueuses et celui des  conséquences de toutes ces guerres, le terrorisrme et l’invasion migratoire.

Tout cela est cohérent et a déjà été exploré. Si la prise de conscience ne s’en fait pas, c’est parce que les partis de droite ne le dénoncent pas, partisans qu’ils sont, eux aussi de cette même politique de retour en arrière scélérat. Les médias, passés tous aux mains des puissances d’argent et des baronnies financières, dépendants des grandes entreprises  françaises et étrangères, par le biais du capital, de l’endettement et de la publicité, les médias ne sont pas opposants, au service du peuple, ils sont au service des minorités agissantes, « sournoises » comme dirait Jaurès. La presse d’opinion a disparu,  remplacée par la presse commerciale et les micros-trottoirs ont remplacé les éditoriaux des Camus ou Tesson. Si l’on ajoute à tout  cela l’action continue et secrète des aristocraties du savoir enanique, aristocratie quasi héréditaire et irresponsable, donc inamovible, on comprend que les citoyens ont peu de chance de pouvoir accéder à la moindre vision claire de la situation dans  laquelle se trouve leur pays et encore moins claire de celle dans  laquelle ils sont eux même plongés.

Les observateurs, qui comme moi, essaient de démeler le vrai du faux, qui essaient de metre un peu d’intelligibilité dans le désordre organisé de la désinformation, sont bien souvent obligés d’aller voir du côté des sources alternatives. Ce qui nous frappe, c’est la montée en puissance des sources dont l’origine est Russe ou Iranienne . Ce qui nous frappe c’est le fait que nous reconnaissons, nous décelons  cette influence Russe dans les textes et productions aussi de bien de l’extrême droite souverainiste, de l’extréme droite ultra libérale libertaire que de l’extrême gauche. En fait on sent l’influence Russe dans tout ce qui rejette la sociale démocratie UMPSCFDTMEDEF en France; et à l’étranger le phénomène est le même.

Tout se passe peu à peu comme si un clivage des  camps s’opérait , comme si une mise en ordre encore un peu floue se faisait, les uns étant partisans d’un Système, les autres résitant à l’extension de ce Système. Nous ne qualifions pas le Système, car cela nous semble prématuré et les erreurs d’interprétation, les contresens  sont quasi inévitables. Ce que nous constatons c’est une mise en ordre du monde et une mise en ordre de la pensée de ce monde autour d’une ligne de partage et autour de points d’ancrage et d’affrontements . Ce qui nous frappe également c’est que peu à peu tout s’y rattache en visions globales du monde, les deux camps qui sont en formation, finissent par tracer deux visions globales du monde, de l’homme, de la morale, de la vie, deux visions qui sont antagoniques.

Nous ne sommes plus dans les oppositions binaires simplistes, le droite/gauche; le  collectif/individuel, le capital/travail, non, tout cela s’est diversifié , a essaimé, muté en une multitude d’oppositions que l’on retouve dans tous les domaines de la vie publique et privée. Et ce qui est également frappant c’est le fait que peu à peu, dans  chaque camp se forme un ensemble, un corpus homogène dans lequel les participants se reconnaissent et se classent. Tout finit par s’ordonner et devenir homogène pour former des visions du monde radicalement opposées.

Je pense que la question du complotisme est au  coeur du combat qui se livre. J’ai souvent abordé cette question. mais je pense qu’il faut sans cesse y revenir, elle est centrale. Le complotisme c’est ce qui permet de donner un sens, une cohérence à tout un ensemble de faits et d’évènements qui n’en ont pas en apparence. Le complotisme permet d’exposer un lien entre les faits, entre les évènements, entre les tendances. Il cré du sens par le biais de l’intentionalité. Et l’homme a besoin, pour se créer des convictions et des croyances, de ces liens. Le complotisme répond à cette demande de sens nécessaire au fonctionnement de l’esprit humain et de son jugement.

Nous sommes dans le fondamental, pas dans le circonstanciel. Ce n’est donc pas un hasard si dans un monde complexe oü l’orignie des phénomênes est dissimulée, (secret des affaires, secrets d’états, secrets défense, connivences honteuses, stratégies communes), ce n’est pas un hasard si les penseurs alternatifs ont besoin de recourrir à la thèse complotiste. C’est obligatoire, c’est lié à la logique de fonctionnement à la fois du monde et de l’esprit humain.

Les adversaires, nommons les  « les prétendus Maîtres du Monde » pour simplifier, s’en sont aperçu très vite, ils ont compris que la forme des critiques qui leur étaient adressée était vulnérable, cette forme, étant vulnérable, c’est à son niveau qu’il faut prioritairement lutter. Ils ont ainsi réussi a mettre en avant les faiblesses du complotisme, ses compromissions, ses origines sombres, puis ils ont tout amalgamé afin d’obtenir dans la population l’effet recherché c’est à dire le rejet en bloc des affirmations diffusées par les complotistes. Ainsi se détruit l’information alternative, elle ne touche pas le public. L’habileté a consité à , à chaque fois évacuer les contenus pour ne retenir que la forme. On discute jamais de ce que disent les complotistes, on appose l’étiquette « complotiste » et le tour est joué. Et il y a tout un ensemble d’organisations, groupes, sites, médias qui font ce travail, de façon plus ou moins coordonnée, ils posent les étiquettes. Ils marquent du fer rouge du complotisme. C’est un travail gigantesque en apparence, mais très décentralisé, à un point tel qu’il devient spontané. De la même façon que l’on est « anti-fa » on est anti-conspi. Pourquoi? A cause de l’opprobre, des amalgames réussis. Le complotisme tire toute une association malfaisante, toute une chaine honteuse: racisme, antisémite, fasciste, irrationnel, ringard, archaique, primaire, etc etc.

 

Lisez le texte ci dessous. Il est symptomatique à la fois du clivage que nous essayons d’esquisser et du phénomene qui se dessine, la formation de corpus homogènes , radicalement antagoniques, d’explications du monde.

C’est un texte complotiste. Lisez le à la lueur de notre introduction ci dessus.

 


 

http://www.polemia.com/le-nouvel-ordre-mondial-espere-la-mort-de-la-civilisation-blanche-europeenne/

Polémia

Le Nouvel Ordre mondial espère la mort de la civilisation blanche européenne

Par Robert Bridge (paru sur le site « Russia Insider » 20 décembre 2015)

♦«Si vous ne pensez pas que tout ceci fait partie d’un énorme plan, vous êtes très, très naïf.»

Des Etats-Unis à l’Europe, l’élite occidentale permet à un afflux massif d’étrangers d’entrer dans leurs pays, transformant radicalement le visage des sociétés occidentales dans la perspective de diviser, de conquérir et d’étendre son pouvoir militaire et financier sur une planète inconsciente.

Angela Merkel a été récemment qualifiée par le Time’s Magazine de « Personnalité de l’année » pour avoir pris la tête du mouvement d’accueil des réfugiés dont l’arrivée menace de déchirer l’Union européenne.


Malgré l’image créée par les médias d’une Europe prête à accepter des masses de réfugiés dans leurs sociétés conservatrices, l’histoire récente nous montre une tout autre face de la situation. Dès 2010, la chancelière allemande Angela Merkel, pour répondre à la montée de sentiments hostiles à l’immigration, choqua le monde en reconnaissant que les efforts de créer une société multiculturelle en Allemagne avaient « complètement échoué ».

Aujourd’hui, Merkel a adopté un ton tout à fait différent face à la vague de réfugiés qui assaille l’Europe des quatre points cardinaux. Comptant sur l’absence de mémoire de l’opinion publique, le leader allemand a souhaité la bienvenue sur toute la longueur de la frontière de son pays, disant au monde que l’Allemagne accepte son destin en admettant plus d’un million d’arrivées nouvelles ; presque le même jour, 130 personnes étaient tuées par des gens se réclamant du fondamentalisme islamiste en région parisienne.

Une partie du changement sentimental à l’égard des réfugiés est venue de l’histoire tragique d’Aylan Kurdis, l’enfant syrien dont le corps a été rejeté par les flots sur la côte de la Turquie, une fois que le bateau dans lequel il voyageait eut chaviré. Bien sûr, les médias détenus et contrôlés par de grands groupes, et jamais en reste pour parler d’un événement tragique (surtout s’il est accompagné de photos choquantes), l’ont publié sur la première page de tous les journaux européens. C’étaient les mêmes journaux qui ignoraient les malheurs des enfants du Moyen-Orient victimes des agressions de l’OTAN contre des pays souverains comme l’Afghanistan, l’Irak, la Libye et maintenant la Syrie. Il suffit de lire le sous-titre de la première page du Sun, quotidien anglais, qui affirmait : « Bombardez la Syrie pour venger Aylan ». C’est ainsi qu’on instrumentalise une tragédie pour vendre à l’opinion la plus laide des politiques : la guerre.

Alors que les Européens sont forcés, par une campagne médiatique permanente, à accepter les réfugiés syriens ou sinon paraître des néofascistes (un terme que peu d’Allemands arrivent à accepter en raison du souvenir atroce de l’Allemagne nazie, souvenir que les médias ravivent sans cesse dans le cœur des Allemands), les réfugiés sont attirés comme par un aimant par une Europe qui promet l’argent facile et des emplois à gogo. Notons toutefois qu’il est prouvé que la plupart des nouveaux arrivants en Europe ne viennent pas de Syrie mais d’autres pays déchirés par la guerre comme l’Afghanistan, l’Irak et la Libye.

Les réfugiés reçoivent en Allemagne jusqu’à 345 euros par mois du gouvernement alors qu’en Suède ce chiffre est de 224 euros. Comparé à la situation des pays d’où viennent les réfugiés, la tentation de recevoir de l’argent automatiquement est impossible à ignorer.

Ce chaos a-t-il été planifié ?

Même si, en apparence, la crise des réfugiés sembla avoir pris les gouvernements occidentaux par surprise, en fait elle correspond à leur plan de domination mondiale (une domination tous azimuts) qui fut présenté par un groupe aujourd’hui disparu de néoconservateurs américains connu comme « le projet pour un nouveau siècle américain » (PNAC). En septembre 2000, le groupe a sorti un document qui a pour titre « Reconstruire la défense américaine, les stratégies, les forces et les ressources pour un nouveau siècle » dans lequel des individus assoiffés de volonté de puissance affirment leur but d’asseoir la puissance américaine dans le monde entier afin de rester la super-puissance mondiale suprême.

Le PNAC identifie 5 nations comme « profondément hostiles à l’Amérique » : la Corée du Nord, l’Irak, l’Iran, la Libye et la Syrie (un peu plus tard l’ancien général américain Wesley Clark en ajoutait trois autres à cette liste : le Liban, la Somalie et le Soudan). On ne s’étonnera pas que deux de ces cinq pays ont déjà été victimes d’une occupation/capitulation dirigée par les Etats-Unis, tandis que la Syrie essaye encore de survivre, et ce uniquement grâce à l’intervention de la Russie.

Moscou semble être arrivé à la juste conclusion que l’Etat Islamique est une armée créée et mandatée par les Etats-Unis pour détruire les murs de protection des Etats souverains.

A en juger par l’ampleur de ces plans diaboliques, il est totalement impossible que les Etats-Unis n’aient pas prévu qu’un flot de réfugiés désespérés se dirigerait bientôt vers l’Union européenne à la recherche de leur survie. Mais, là encore, cela correspond à une partie du plan d’ensemble désiré par les élites américaines, car sinon ils n’affirmeraient pas aussi agressivement les droits des étrangers illégaux face aux droits de leurs citoyens de souche. C’est clair quand on voit les désastres provoqués par l’élite occidentale dans l’économie européenne où des nations comme la Grèce, l’Italie, le Portugal et d’autres sont au bord de la faillite, ne survivant que grâce à des prêts impossibles à rembourser imposés par le FMI et la Banque mondiale.

Il est tentant d’appeler l’attention sur la vie pittoresque de Barack Hussein Obama – premier président américain noir d’origine kenyane dont on sait qu’il a des opinions bien précises sur la façon dont ont été et sont traitées les minorités – pour expliquer la destruction des frontières nationales dans le monde entier et surtout de façon frappante aux Etats-Unis et dans l’Union européenne. En fait, le milliardaire de l’immobilier Donald Trump semble avoir réussi à se faire nommer candidat des Républicains à l’élection présidentielle sur la seule promesse de construire un « mur gigantesque » pour séparer l’Amérique du Mexique. Alors, pourquoi Obama ne fait-il pas la même promesse pour faire taire une bonne fois pour toutes ce Trump menaçant ?

Bien que je pense qu’Obama est prédisposé à la fois par la couleur de sa peau et par son histoire à montrer de la compassion pour le sort des réfugiés et des minorités, et par conséquent peu enclin à fermer les frontières de l’Amérique, je ne pense pas que la race du président américain puisse tout expliquer (ce qui empêcherait d’ailleurs toute critique à son égard comme émanant d’un raciste). Le fait est là : Obama applique une ligne écrite il y a plusieurs années. Washington est sous la coupe de manipulateurs cachés trop puissants pour que le hasard intervienne de quelque façon que ce soit dans la politique des Etats-Unis.

Selon le sociologue allemand Gunnar Heinsohn, au milieu du XXIe siècle, des millions de migrants en provenance d’Afrique et d’Asie (950 millions d’entre eux voudraient d’ores et déjà s’implanter dans l’Union européenne) vont plonger l’Europe dans un retour à la barbarie. N’est-ce pas exactement ce que Barack Obama, avec ses racines africaines, souhaite grâce à sa politique étrangère ?

Ce serait une erreur de reprocher à l’individu Barack Hussein Obama de détruire la civilisation blanche européenne si fière dans le passé (qui ne tient plus qu’à un fil aujourd’hui dans quelques foyers de résistance tenace comme la Russie, la Hongrie et la Biélorussie). Le responsable est surtout le système maléfique que tout président américain est contraint d’accepter ou de combattre dès son arrivée dans le Bureau ovale (John F. Kennedy est peut-être la meilleure preuve de ce qui arrivera à tout président des Etats-Unis qui essaiera d’être indépendant et d’exiger un véritable changement).

Nous ne pouvons plus nous permettre de nous faire des illusions sur ce qui se passe réellement dans le monde aujourd’hui. Les Etats-Unis s’activent pour détruire volontairement les vieilles nations, ce véritable ciment qui maintient l’unité des cultures et des civilisations. Peu importe si l’Etat est un ami ou non, chrétien ou musulman, riche ou pauvre. Le plan essentiel est de détruire toute homogénéité raciale et de la remplacer par un système unipolaire impérial dirigé par les Etats-Unis et reposant sur la force brutale pour maintenir « l’ordre et la paix ». Comme déjà dit, c’est plus facile si les citoyens n’ont plus rien de commun avec leurs voisins. Le microcosme de ce système démoniaque est déjà à l’œuvre auprès de l’Américain moyen, aux Etats-Unis, où la police vient de recevoir un armement militaire à user contre le peuple américain. Pendant ce temps, nos frontières restent ouvertes aux tueurs, aux violeurs et aux trafiquants de drogue d’Amérique du Sud.

En Europe, exactement la même tragédie se joue comme un meurtre de sang-froid en plein jour. Comme le veut la téméraire politique étrangère américaine devenue folle après les attentats du 11 septembre, les pays de l’OTAN sont entraînés, impuissants, dans des batailles en dépit des cris et des protestations des peuples contre ces guerres illégales qui ont déjà eu lieu en Irak, en Afghanistan, en Libye et aujourd’hui en Syrie. Toutes ont abouti, ou aboutiront bientôt, à des Etats en faillite.

Mais les véritables Etats faillis seront finalement ceux de la vieille Europe coloniale qui est sur la ligne de front du tsunami de réfugiés provoqué par les Etats-Unis qui ruine actuellement la région et menace de submerger toutes les villes, de Lisbonne à Helsinki. Ce développement se poursuit entre les mains de Washington tandis que les peuples d’Europe – de plus en plus terrifiés par les actes de guerre, le terrorisme et l’effondrement financier organisés et planifiés – sont à la recherche d’un sauveur pour venir à leur secours. Le moment venu, ils marcheront gaiement et aveuglément vers leur captivité, tels des agneaux sur le chemin de l’abattoir, croyant qu’ils sont libres jusqu’au moment final de leur destruction – autrement dit, quand le véritable visage du tyran mondial leur aura été révélé et qu’il sera trop tard pour inverser leur destin.

Robert Bridge
Russia Insider
20/12/2015

Robert Bridge :

Titre original :
US Elites Are Trying to Destroy Europe with Immigrants

Source : Russia-Insider.com

Traduit de l’anglais

Correspondance Polémia – 27/12/2015

Une réflexion sur “La question migratoire dans l’ordre du monde

  1. Entre la corruption du langage, quasi permanente, de ceux qui détiennent les pouvoirs et l’étiquetage de « complotiste » pour tout citoyen ou groupe de citoyens n’adhérant pas à la doxa du Ministère de la Pensée, les « maîtres » ont créé eux-mêmes des Résistances.
    Le domination actuelle des « maîtres » repose, à mon sens, sur le fait que ces Résistances sont éparses, non fédérées et non encore convergentes, d’où la volonté des « maîtres » de continuer à les diviser à tous prix.
    La convergence et la fédération de ces Résistances sont indispensables et mêmes vitales pour qu’une autre trajectoire que celle tracée par les dominants puisse advenir.

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