Il y a longtemps que nous avons compris le Sytème et son évolution: c’est la financiarisation de tout et la monétisation débridée.

Il s’agit de déplacer ce que l’on appelle l’exploitation des salariés de la production de biens et de services vers la finance et les flux financiers.

Il faut que tout ce qui touche à la monnaie et à l’argent soit en fait taxé, soumis à prélèvement par le système bancaire et plus généralement par le couple maudit banques/gouvernements.

L’usage de votre propre argent est taxé. Ainsi vous payez des frais pour laisser de l’argent en compte, pour faire un chèque,  vous payez des frais et pénalités si vous n’en laisssez pas, vous payez des agios pour dépasser vos limites, vous payez pour payer (!) par le biais de votre Carte Bleue, et maintenant vous allez payer pour … échanger vos grosses coupures, vos billets de banques contre d’autres au guichet. Ainsi le précurseur est la Grèce, ou les banques viennent d ‘ajouter une ligne à leur tarifs: ils ont ajouté une ligne de commission pour l’échange des billest de 500  contre des billets plus petits.

Ah les braves gens..

C’est l’objectif que je presseNS depuis longtems, toute la circulation monétaire doit tre en banque, îl faut sans  cesse élargir l’assiette du prélèvement!

Votre argent n’en est plus, c’est un service que le couple maudit veut faire payer. Non seulement vous etes exploités quand vous travaillez, non seuelment vous êtes  exploités par les marchands du temple , mais on vous exploite de plus en plus par l’utilisation du produit de votre travail c’est à dire la monnaie. L’exploitation devient de plus en plus abstraite, de en plus en plus soft.

Attention  en ce moment il y a une grande offensive des banques pour vous faire convertir vos soldes bancaire positifs en produits qui ne vous rapportent rien, mais qui leur rapporte à eux.

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Ci dessous le tarif infâme des échanges de coupures. Ceci est surement illégal car contraire aux principes du cours forcé et du cours légal. La coupure de 500 a valeur libératoire n’en déplaise aux profiteurs.