Editorial ou je stigmatise ceux qui crient sans arrêt au loup, et ou j’explique comment le système se prolonge.

Avant de lire cette introduction critique, je vous invite à lire le texte qui se trouve en dessous , il est de l’auteur alternatif bien connu: PCR , PAUL CRAIG ROBERTS.

Ce texte est intitulé LA GRANDE DEPOSSESSION.

En voici l’essentiel, c’est PCR qui parle:

j’explique la conclusion de David Rogers Webb selon laquelle une crise financière massive est imminente dans laquelle nos actifs financiers sont la garantie de la bulle financière et des produits dérivés et entraînera la perte de nos actifs mais nous laissera avec nos dettes comme cela est arrivé à ces derniers. dont les banques ont fait faillite dans les années 1930.

C’est notre ami et lecteur Charles qui nous a interrogé sur ce texte et m’a donné l’occasion d’en parler .

La crise du capitalisme est chose sérieuse, la crise du capitalisme sénile financiarisée encore plus.

Cette crise est écrite , inéluctable, elle est endogène, ce qui signifie que c’est en lui même que ce système contient les forces et les principes de sa destruction. La destruction du système est en germe depuis qu’il s’est imposé et plus il se développe et plus les forces de destruction deviennent redoutables; les forces des destruction sont constituées du couple accumulation de capital /besoin de profit.

Déjà le système bute sur ses limites et pour continuer, pour se prolonger il est obligé de muter, il ne peut plus se reproduire à l’identique. Il est obligé de se renier et de devenir étatiste, constructiviste, dirigiste, monopoliste, tyrannique et même sous certains aspects socialiste. Socialiste pour les masses tout en restant libéral ou pseudo libéral pour les ultra riches. Il est obligé de détruire son bouclier systémique lequel bouclier, constitué des classes moyennes, est en cours de paupérisation. Il détruit l’ascenseur social. Il n’y a plus assez de butin pour tout le monde…

Ce système est historique c’est à dire qu’il est un moment de l’Histoire comme le fut par exemple la féodalité. Comme les civilisations de Paul Valery , il est mortel; mais il a la peau dure car il s ‘incarne dans un ordre social qui ne veut bien sur pas périr: les ultra riches et leurs compradors veulent continuer, ils ne veulent pas lâcher.. Ils veulent jouer les prolongations le plus longtemps possible; et grace à leur argent ils ont acheté les gouvernements, les médias, les consciences, les intellectuels, les clowns et fous du regime; grace à cela, ils peuvent durer longtemps bien plus longtemps que vous ne l’imaginez.

Et puis ils ont un grand secret , c’est la monnaie; ils ont réussi à accaparer un bien qui auparavant était bien commun, social, civil: la création de monnaie, la gestion de la monnaie, la théorie de la monnaie, la reflexion sur la monnaie . bref ils ont accaparé, kleptocrates qu’ils sont devenus, la béquille suprême qui permet au système de tenir et tenir et encore tenir.

Ils ont accompli l’oeuvre au noir, trouvé le secret de la transformation du plomb en or, ils ont la maitrise de l’alchimie monétaire qui permet de créer le Pognon a volonté!

Le Temple de cette mutation n’est pas le Temple d’Athena comme dans les temps anciens, non c’est le Temple de la Bourse.

Un temple dont à ce jour peu de gens ont percé le méta-secret, peu de gens ont compris que l’accumulation du capital et sa mise en valeur Ponzique ne se faisait plus prioritairement au niveau de l’entreprise ou de l’exploitation du travailleur; peu de gens ont compris les mystères de l’enrichissement boursier avec son phénomène de base qui est non pas la multiplication des pains mais la multiplication des profits d’une année en un cours de bourse qui capitalise 20, 30 ou 40 années à venir.

La bourse crée maintenant par son mode de valorisation une richesse qui n’existera que dans 20, 30 ou 40 ans, 50 ans et peut être n’existera jamais.

Le vrai lieu de l’enrichissement ce n’est plus l’entreprise c’est le marche boursier avec ses règles du jeu alchimiques. Les règles du jeu alchimique rendent ultra riches maintenant des gens, sur la base de richesses qui au mieux n’existeront que dans bien longtemps, en moyenne des dizaines d’années plus tard.

Bien peu de gens même « spécialistes » de la bourse l’ont compris, pas beaucoup plus d’ailleurs que de banquiers qui ont compris quelque chose à la monnaie!

C’est là, dans le Temple de la bourse que se passe la pratique alchimique qui permet de transformer le bien commun, la monnaie , en trillions. Cette monnaie dont les ultra riches ont accaparé la gestion et qu’ils transmutent et accumulent en trillions pour la classe des happy few.

Voila pourquoi je suis en désaccord total avec PCR et tous ceux qui proclament que la crise est imminente; Ils crient au loup sans même comprendre comment le système tient, survit à ses contradictions et à ses antagonismes.

En criant au loup ils sont nuisibles, ils désamorcent peu à peu la prudence et la méfiance. Ils déconsidèrent les vrais lanceurs d’alerte à force de se tromper, à force de crier à contre temps.

Ma réponse à Charles qu’i m’interrogeait.

PCR est un auteur que je suis et que j’apprécie.

Je connais ses textes  mais vous avez raison d’attirer mon attention

 car je n’avais pas vu jusqu’alors l’intérêt de l’utiliser et d’en  discuter dans

 le cadre d’une analyse critique.

PCR  part à juste titre d’un constat d’impossible: le système est limité.

Il ne peut continuer à produire du crédit, des dettes, des actifs financiers, 

des fausses valeurs car  face à la masse  de capital fictif (promesses) .il 

n’a tout simplement pas les moyens de les honorer, -de « delivrer » au sens 

anglais- les cash flow exigés.

Face aux limites endogènes du système  financiarisé, le  capital fictif 

n’est plus rémunéré par les cash flows, les bénéfices ou le surproduit 

ou encore la plus value marxienne , il est rémunéré par le Ponzi.

Le Ponzi c’est  la plus value que les détenteurs anciens d’actifs financiers

 réalisent sur le dos des acquéreurs nouveaux.

C’est un système dit Ponzi: le rendement des titres

 est insuffisamment attrayant mais il est complété par une plus value à

la  revente laquelle plus value est générée/solvabilisée par la création monétaire 

nouvelle en quête d’emploi.

La création monétaire se fait par le canal bancaire, financier c’est ce qui est important.

C’est pour cela qu’elle  ne produit pas de hausse des prix des biens et services mais des

hausses de prix des actifs financiers et  immobiliers.

En passant l’immobilier est le point faible du système car il n’est pas pur signe 

comme la finance, l’immobilier a une valeur d’usage ce qui en fait le domaine 

par excellence d’apparition  des contradictions de la politique monétaire. 

L’immobilier c’est là ou il y encore ancrage de la finance dans le réel et 

dans la Valeur en général.

La loi de la tendance à la baisse de la profitabilité ne disparait pas, mais elle 

est contournée;  transférée et déplacée du  niveau réel au niveau du monde

imaginaire de la finance. Pour se survivre le système s’envoie en l’air c’est un phénomène général .

il y a toujours insuffisance de profits pour investir productivement , pour rémunérer 

le capital, pour payer des salaires décents, mais il y a une échappatoire qui consiste 

à rémunérer le capital  par des promesses fictives c’est à dire par des 

plus values sur le dit capital.

La profitabilité est un rapport endogène, interne entre l’activité de l’entreprise et le 

capital qui l’a sous tend;  le Ponzi est un rapport des détenteurs du 

capital entre eux et les uns sur les autres. 

Ce Ponzi peut être sans cesse réalimenté par la politique monétaire de la 

banque centrale et c’est ce qui a été fait en 2009: quand une bulle éclate 

on détruit du Ponzi sur l’immobilier et les créances immobilières et on recrée

 un autre jeu Ponzi ailleurs sur un autre support. Au Ponzi sur l’immobilier en 2009 a succédé le Ponzi sur les fonds d’état grace à la baisse des taux, aux QE etc

Actuellement on crée un Ponzi colossal sur les thèmes de la transition 

climatique, de l’intelligence artificielle comme on en avait créé un en 2000 

sur l’internet et les télécommunications

Le système de la financiarisation est complexe et mal compris y compris par PCR.

Ce système permet au capital d’échapper aux lois marxiennes, à la loi de la Valeur  

non pas au niveau du capital réel mais au niveau des contreparties monétaires 

du capital, au niveau de ses contrevaleurs. Au niveau de ce qui donne des droits.

Le capital peut éviter la Crise en s’envoyant en l’air dans les airs de la finance et 

en multipliant les crises dites financières!

Il suffit de provoque et d’accepter les  conséquence des crises financières periodiques..

 .Le capitalisme financiarisé dépasse ses contradictions en s’envoyant dans les airs 

de la finance; en séparant l’ombre qui est le capital financier du corps qui est le capital 

productif réel.

Mais même temps dialectiquement il se tue à long terme car la finance et  la spéculation 

peu à peu  peuvent  supplanter le capitalisme productif comme on le voit aux USA.

Et  le capitalisme perd sa base de  production de plus value, il est obligé d’aller chercher

 sa plus value ailleurs, de se délocaliser, de devenir plus impérialiste, de faire les guerres  comme  

d’abord les britanniques puis maintenant les américains

. Le capital financiarisé évolue vers le capital soit rentier  comme les grandes firmes de

technologies américaines , soit de spéculation. 

Nous sommes dans un système neuf.

Il consiste à rendre le capital bio-dégradable en le scindant en deux: d’un coté  le vrai capital 

réel, les usines, les procédés, les machines, l’appareil productif, et de l’autre les contrevaleurs

financières du capital comme les titres, les « papiers » en général, par le biais de crises 

récurrentes périodiques, mais jamais fatales et jamais existentielles donc jamais 

destructrices de l’ordre social de domination.

Je reviendrai sur ces questions un jour , mais ma conclusion est que PCR et ses émules n’ont 

pas saisi la mutation moderne et post moderne du système ce qui les conduit à retomber dans

 la pensée bourgeoise mécanique, faute de comprendre le mouvements dialectique radical  du système.

.

La description du développement de la crise à venir par  PCR est  une fantaisie peu cohérente. 

Pour le moment le Capital est loin, très d’avoir épuisé tous ses trucs et tricks, ils sont intelligents les bougres

.

Bien Vous 

BRUNO  .

La grande dépossession, partie 3

Paul Craig Roberts

Dans la première partie, j’ai expliqué que la prochaine crise financière ne sera pas sauvée par la création de monnaie par la banque centrale, mais par nos actions, nos obligations et nos soldes bancaires.

Dans la deuxième partie, j’ai expliqué les changements réglementaires discrets sur plusieurs années qui nous ont dépossédés de notre propriété.

Dans la troisième partie, j’explique la conclusion de David Rogers Webb selon laquelle une crise financière massive est imminente dans laquelle nos actifs financiers sont la garantie de la bulle financière et des produits dérivés et entraînera la perte de nos actifs mais nous laissera avec nos dettes comme cela est arrivé à ces derniers. dont les banques ont fait faillite dans les années 1930.

Webb commence par la formule économique selon laquelle la vitesse de circulation de la monnaie multipliée par la masse monétaire est égale au produit intérieur brut nominal. V x MS = PIB.

La vitesse de circulation est une mesure du nombre de fois qu’un dollar est dépensé au cours d’une période de temps donnée, par exemple trimestrielle ou annuelle. Une vélocité élevée signifie que les gens dépensent rapidement l’argent qui leur tombe sous la main. Une faible vélocité signifie que les gens ont tendance à conserver leur argent.

La vélocité a un impact sur la capacité de la Réserve fédérale à gérer la croissance économique avec les changements de la masse monétaire. Si la vitesse de la monnaie diminue, une politique monétaire expansionniste n’entraînera pas une augmentation du PIB. Dans une telle situation, on dit que la Réserve fédérale « tire sur une corde ». Au lieu de faire grimper le PIB, l’augmentation de la masse monétaire fait grimper la valeur des actifs financiers et de l’immobilier, ce qui entraîne des bulles financières et immobilières.

Webb note que les baisses de vitesse sont des précurseurs de crises financières. Une forte baisse de vitesse sur plusieurs années a précédé le krach boursier de 1929 et la Grande Dépression qui a donné naissance aux agences de régulation. Le 21ème siècle se caractérise par une baisse de vitesse à long terme qui a atteint le niveau le plus bas jamais enregistré, tandis que les actions et l’immobilier ont été poussés à des niveaux sans précédent par des années de taux d’intérêt nuls. Lorsque cette bulle éclatera, nous serons dépossédés.

La bulle va-t-elle éclater ?

Oui. La Fed est soudainement et rapidement passée de taux d’intérêt de zéro à 5 %, un renversement de la politique qui a fait grimper les prix des actions et des obligations. La Fed augmente les taux en réduisant la croissance de la masse monétaire, supprimant ainsi le facteur soutenant les cours élevés des actions et faisant s’effondrer la valeur des obligations. Cela entraîne une baisse de la valeur des actions et des obligations servant de garantie aux prêts, ce qui signifie bien sûr que les prêts et l’institution financière qui les sous-tendent sont en difficulté. Les obligations en ont déjà pris un coup. Le marché boursier se maintient parce que les participants pensent que la Fed est sur le point d’inverser sa politique de taux d’intérêt et de baisser ses taux.

Webb note que les données officielles montrent que la vélocité de la monnaie s’est effondrée au 21e siècle lorsque la Fed a introduit un « assouplissement quantitatif ». Il fait valoir à juste titre que lorsque la vitesse de la monnaie s’effondre, la Fed appuie sur une corde. Au lieu que la création monétaire alimente la croissance économique, elle produit des bulles d’actifs dans l’immobilier et les instruments financiers, ce qui est le cas actuellement.

Lorsqu’après plus d’une décennie de taux d’intérêt proches de zéro, la Fed augmente les taux d’intérêt, la valeur des portefeuilles financiers et de l’immobilier s’effondre et produit une crise financière.

Alors que les autorités ont mis en place un système qui renfloue les créanciers garantis avec nos dépôts bancaires, nos actions et nos obligations, nous n’aurons ni argent ni actifs financiers à vendre contre de l’argent. Les personnes dont les maisons et les entreprises sont hypothéquées les perdront, comme elles l’ont fait dans les années 1930, lorsqu’elles ont perdu leur argent à cause de faillites bancaires. Les personnes payant une voiture perdront leur moyen de transport. La façon dont fonctionne le système est que vous perdez votre argent mais pas vos dettes.

Les créanciers garantis sont les créanciers des institutions en difficulté. En fin de compte, les créanciers garantis sont les méga-banques définies comme des « créanciers privilégiés ».

L’effondrement de la valeur des actifs financiers en 1929 a entraîné la faillite de 9 000 banques ( https://www.encyclopedia.com/economys/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/banking-panics-1930-1933 ). Une faillite bancaire signifiait que vous perdiez l’argent que vous aviez en banque. Cela signifie la même chose aujourd’hui, quelle que soit l’assurance-dépôts, car vos dépôts ont été transformés en garantie pour les créanciers. De plus, l’assurance-dépôts de la FDIC est une blague. Les actifs de la FDIC se chiffrent en milliards. Les dépôts bancaires se chiffrent en milliers de milliards. La loi Dodd-Frank a donné la priorité aux produits dérivés par rapport aux déposants bancaires, de sorte qu’un titulaire de compte bancaire est en ligne avec les réclamations liées aux produits dérivés. Apparemment, les réclamations d’assurance de la FDIC seront émises sous la forme d’émission d’actions dans une banque en faillite.

Tout cela s’est déjà produit, mais pas à l’échelle de ce qui nous attend.

Dans le cadre du régime réglementaire en place, l’effondrement financier signifie aujourd’hui que l’argent sera retiré de l’économie et sera concentré, ainsi que toutes les richesses, entre quelques mains. Une économie moderne ne peut pas fonctionner sans argent et sans entreprises distribuant de la nourriture, des biens et des services. Webb note qu’il s’agit d’une occasion idéale pour les banques centrales d’introduire la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) avec laquelle elles ont expérimenté.

La fourniture de CBDC à la population fournirait une masse monétaire et des revenus à une population dans le chaos total et rétablirait l’ordre à une population reconnaissante. Mais cela donnerait également un contrôle total aux dirigeants. Webb cite Augustin Carstens, directeur général de la Banque des règlements internationaux, qui dit que la principale différence entre la monnaie actuelle et la monnaie numérique de la banque centrale est qu’avec la CBDC, la banque centrale saura comment chaque personne utilise son allocation de monnaie numérique, ce qui donne à la banque centrale la banque a un contrôle absolu sur vous grâce à la capacité de réglementer vos achats, de désactiver les achats refusés et de discipliner les dissidents. Vous recevrez les moyens de subsistance tant que vous aurez un bon score de crédit social, ce qui signifie que vous n’êtes pas en désaccord avec les récits officiels.

Webb estime que ce résultat est l’intention des changements réglementaires et correspond à l’agenda du Forum économique mondial : « vous ne posséderez rien ». De nombreux documents réglementaires soutiennent la conviction de Webb. Par exemple, les lignes directrices 2022 du Conseil de résolution unique destinées aux banques à se préparer à la « liquidation des solvants » indiquent qu’un événement est en préparation. Le programme de travail du Conseil de résolution unique pour 2023 stipule : « 2023 sera la dernière d’une période de transition pour la mise en place des principaux éléments du cadre de résolution au sein de l’union bancaire. » Autrement dit, tout est en place.

Que Webb ait raison de dire que le régime réglementaire qui a été mis en place équivaut à une restauration délibérée du féodalisme sous une gestion de haute technologie ou que les nouvelles règles soient la conséquence involontaire de la volonté de sécurité des dirigeants n’est pas important. Le point important est que la prochaine crise financière nous dépossèdera non seulement de nos retraites et de nos actifs financiers, mais aussi de notre liberté et de notre indépendance. Si le passé sert de guide, la prochaine crise financière est proche.

Si les méga-riches et les grands intermédiaires financiers peuvent être informés de la situation, il est dans leur propre intérêt de convaincre le Congrès d’utiliser son pouvoir législatif pour démanteler le système réglementaire de dépossession qui a été créé. Mais l’heure se fait tard.

Les gens ordinaires méprisent le Forum économique mondial et son programme selon lequel « vous ne posséderez rien et serez heureux », mais c’est une erreur. Le WEF a été fondé il y a 53 ans et a recruté, pendant un demi-siècle, de nombreuses personnalités importantes du monde des affaires, de la finance et de la politique. Si vous n’êtes pas membre du WEF et participant à Davos, vous êtes plus bas sur le totem. La position sociale, politique et intellectuelle dépend de l’adhésion. Il est important de comprendre que la Grande Réinitialisation signifie la réinstitutionnalisation du féodalisme.

Notez que nous sommes également dépossédés de notre nourriture et les agriculteurs de l’usage de leurs terres : « Pas d’agriculteurs, pas de nourriture : allez-vous manger les insectes ? est un documentaire d’Epoch Original qui expose les intentions cachées derrière les « politiques vertes » mondiales, les histoires inédites d’agriculteurs contraints à la faillite, les perturbations que cela aura sur notre approvisionnement alimentaire et pourquoi les insectes comestibles sont soudainement mis au premier plan en tant que « Solution verte mondiale.

Roman Balmakov, animateur de l’émission EpochTV « Facts Matter », enquête sur le paysage en évolution rapide de notre source alimentaire mondiale – l’industrie agricole – à travers des entretiens avec des agriculteurs aux Pays-Bas, au Sri Lanka et aux États-Unis. Il s’agit de la prochaine crise mondiale ignorée par les médias du monde entier.Partager cette page

Une réflexion sur “Editorial ou je stigmatise ceux qui crient sans arrêt au loup, et ou j’explique comment le système se prolonge.

  1. Cher monsieur,

    Je vous remercie à titre personnel pour cette belle et claire mise au net, même si vous annoncez qu’il y aurait encore beaucoup à dire pour éclaircir ce noeud de vipères…

    J’en retiens, peut-être fort naïvement, que le découplage du capitalisme nouveau que vous exposez repose sur une chose: le mensonge et la dissimulation du mensonge.

    C’est fascinant (aussi bien d’intelligence et de bêtise )! On dirait l’effet d’une anamorphose…

    Cordialement,

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