Sarkozy, a tenté dimanche de regagner la confiance populaire, la confiance des « gens d’en bas ». Lors d’un meeting à Paris, il s’est posé en défenseur du peuple. Ses adversaires disent qu’il se droitise. On voit mal ce qu’il pourrait faire d’autre, coincé par le positionnement de Juppé, son seul espace est à droite.
« Si le peuple revient au coeur de tout, alors nous gagnerons », a lancé l’ancien président. Il a multiplié les références à la « France qui travaille » et dénoncé le « déclassement » du pays sous le mandat de Hollande.
Disant vouloir « parler au nom de cette majorité silencieuse » exposée « aux maux si profonds du pays », il s’est posé en « candidat pour parler du quotidien des Français, pas pour être le représentant d’une élite pour qui tout va bien ».
Sarkozy avait annoncé vendredi qu’en cas de victoire en mai 2017, il soumettrait aux Français deux référendums sur le contrôle de l’immigration et l’internement des personnes « les plus dangereuses » fichées par le renseignement.
« Je solliciterai l’avis des Français par le référendum, car cela sera à eux de décider, et, à personne d’autre », a-t-il répété dimanche.
Le premier débat télévisé de la primaire est prévu jeudi.
Le seul problème, c’est que lors du précédent referendum, il a « pissé » sur le peuple.
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Evidemment pas de référendum sur les régimes spéciaux.Quand on voit ce qu’il a fait du référendum sur l’europe ça ne manque pas de saveur
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