Réponse à Claude et à sa conclusion:
Tout est possible dans notre système planifié
Le texte de Claude est en dessous de ma réponse.
Tout ce que vous évoquez est possible: tout et son contraire.
L’un de mes axes de réflexion est celui ci: les observateurs s’efforcent de prévoir, comme si cela avait un sens, ce qu’il peut se passer.
Ma conviction est que la démarche est faussée dès son début, car ce qui est faux, c’est le « il » de « il faut ». Le « il » de « il peut se passer ».
Ce » il » présuppose que les choses suivent leur cours, qu’elles se déroulent comme si leur logique était endogène.
Or cela n’est pas/plus vrai; le monde est orienté, piloté, optimisé aux profits, au pluriel, de classes dominantes et de leurs alliés. Il est soumis aux contradictions internes, externes et aux jeux de ceux qui ont les leviers.
Vous connaissez ma loi du triangle; action, réaction, résultante.
Le résulat des processus en cours sera une résultante et non le résultat des forces spontanéees.
Ce qui signifie que pour moi la question autour de laquelle il faut se concentrer est celle ci: quel sera à un moment donné l’intérêt des élites. Qu’auront elles avantage à faire, pour leur survie, pour le maintien de leur ordre, pour conserver leur tête sur leur épaules , éviter les fourches et les piques, pour continuer de dominer.
Rien n’est joué, tout se joue. Et dans ce qui se joue, dans ce combat il faut que les forces du refus, les vrais rebellles soient présents.
Et c’est l’Aventure. Le monde est en marche. L’histoire est en marche.
L’une des erreurs, triste erreur des médiocres leaders populistes est de ne pas savoir insuffler l’espoir dyonisiaque, l’espoir de vie, chacun est un surhomme et c’est cela qu’il faut ré-insuffler, refaire découvrir. Sortir des geigneries, des victimisations, des rationalisations, retrouver l’Anima. Les populistes sont les incarnations imparfaites, maladroites des forces de vie: les autres sont les zombies, les fantomes sous les draps des desquels ce que l’on trouve, ce sont les forces de mort.
Notre période est une periode ou le mort s’efforce de saisir le vif.
Et pour cela qu’il est légitime de la refuser.
Re-bander sa vie.
Merci Monsieur Bertez
Personne ne peut savoir ce que l’avenir nous reserve.
et si?..
Les trillions des dettes souveraines environs 200 trillions dans le monde, pourraient permettre aux actions de ne pas baisser et peut être de monter encore beaucoup.
SI, le sauve qui peut hors des obligations (même un faible pourcentage de ces monstrueuses dettes) vers les actions, ferait augmenter le marché des actions de manière explosive.
Si les taux continuent /montent parce que la prime de risque exigée monte agressivement et que la perception change en faveur des investissements dans le privé au détriment des obligations d’états parce que les déficits publics n’arrivent plus a être couvert à bas couts/taux ultra bas c’est le risque de faillite des états,
Si la monnaie part à la recherche de biens tangibles et hors de la dette publique et dans les actions internationales
Sans parler de la valeur boursière des entreprises qui doivent pouvoir se refinancer en continue en attirant les capitaux, grâce. .. à leur valeur boursière
Détruire la valeur du cash, style Venezuela !et faire monter en parallèle les bourses (en nominal) pour que les banques aient l’air solvables et éviter le crédit crunch tout en prétendant faire un resserrement financier pour éviter les bulles et l’inflation rapide !
Les gouvernements endettés au -delà des possibilités de lever des taxes pour couvrir les intérêts des dettes, ont toujours fait défaut
soit, en provoquant une grande l’inflation (détruire la/les monnaies) pour payer les dettes en monnaie de singe,
et/ou en faisant purement et simplement défaut sur les anciennes dettes et en forçant le public /caisse de pensions a acheter les nouvelles émissions sous prétexte de sécurité et entraide nationale !
C’est presque un coup d’état financier qui a été organisé en faisant un transfert de richesses des épargnants, des créditeurs des salaries vers les débiteurs, les CEO et autres catégories qui ont pu profiter des largesses des états (taxes réduites), des taux ultra bas, des comptabilité laxistes permettant les « leverages » exponentiels et du fameux put des banques centrale
Tout est possible dans notre système planifie
« L’une des erreurs, triste erreur des médiocres leaders populistes est de ne pas savoir insuffler l’espoir dyonisiaque, l’espoir de vie, chacun est un surhomme et c’est cela qu’il faut ré-insuffler, refaire découvrir. Sortir des geigneries, des victimisations, des rationalisations, retrouver l’Anima. »
Dans le mille Mr Bertez !
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