Semi éditorial. Comment ils préparent cyniquement votre ruine. Tout s’accélère.

Au lendemain de la crise dite des subprimes , mais en réalité crise de surendettement et de suraccumulation, Alan Greenspan s’est livré à une analyse que les médias MSM ont totalement loupé.

Il l’a pourtant developpée publiquement devant le Senat et dans des conférences privées dans l’enceinte d’Universités prestigieuses. Il m’a été donné d’assister à l’une de ces conférences.

Bien souvent on croit que l’interlocuteur n’a rien dit d’intéressant et puis brutalement on réalise qu’il a laché quelque chose de fondamental sous une apparence de banalité.

Ce fut le cas à cette époque.

J’ai entendu Greenpan dire: « si il y a eu la crise c’est parce que contrairement à ce que j’espérais et qui était pourtant logique, les très grandes institutions n’ont pas disséminé le risque. Elles ont été gourmandes, elles l’ont conservé pour augementer leur rentabilité et elles l’ont dissimulé dans des conduits spéciaux, opaques ».

Si Greenspan me l’avait demandé je lui aurait expliqué que c’est lui qui avait fait une erreur d ‘analyse intellectuelle.

Les managers, les auditeurs, les boites de rating, les analystes financiers, actionnaires, tous sont de passage: ils n’ont que des vues d’optimisation à court terme, c’est du « mismatch ». On donne le pouvoir de controle du long terme à des gens qui ont des motivations de court terme.

(C’est un peu ce qui se passe en  politique, ce sont des gens de passage, de court terme qui engagent le long terme. Mismatch de folie.)

Cela ne peut donc marcher car les intérêts  de ceux qui devaient controler ne sont pas alignés sur la durée des risques et récompenses. Donc au lieu de refiler le risque comme prévu au public, les managers des TBTF l’ont conservé et planqué et ils ont touché les bonus.

Si ils avaient  fait ce que Greenspan strtucturellement espérait ils auraient disséminé le risque sur le grand public, ses caisses d’assurances, ses caisse de retraites, ses portefeuilles, bref ils auraient tranformé une mer de risques en une infinité de petits ruisseaux. Ils auraient utilisé la capillarité, mot prononcé par Greenspan. Les grandes rivières, les mers de risques, une fois disséminées ne présentent aucun danger systémique.

Les salopards qui gèrent le système actuellement l’ont bien compris et sans rien dire, de façon subreptice, il en tirent la leçon. La concentration des risques: plus jamais cela et c’est d’ailleurs ce que les modèles discrets/secrets  de la Fed essaient de suivre: la concentration. En passant, aussi ils modélisent , suivent et mesurent « les animal spirits ».

Non seulement les institutions pivots, celles qui sont systémiques , surtout les americaines ne gardent plus les risques, elles les revendent , mais elles les disséminent sur le monde entier; et ce sont vos caisses de retraites -souvent corrompues par de bons déjeuners-  et vos  institutions de prévoyances qui, imprévoyantes les achètent car elles ont soif de rendement.

En France les inspecteurs des finances, les politiciens tentent de  faire la même chose, elles prennent des dispositions pour vous orienter vers la Bourse, vers la prise de risque en annulant toutes les autres rémunérations et en vous attirant également par les mesures fiscales, miroirs aux alouettes. 

Vous dites ah les braves  gesns? Non! Je dis ah les s….ds.

 

Mon cher lecteur,
Toutes les forces se jettent dans la bataille.
  • BlackRock, le géant de l’investissement, veut capter l’argent des retraites des cadres français pour le mettre EN BOURSE.

 

  • Les banques françaises et les assureurs veulent capter l’assurance vie des français pour la mettre EN BOURSE et en plus confisquer les rendements des fonds euros.

 

  • Et voilà maintenant que l’on veut envoyer 350 milliards de salaires aussi… EN BOURSE. C’était un engagement de Bruno Lemaire que les banques lui rappellent comme par hasard aujourd’hui même (dans Les Échos). L’objectif officiel est de permettre aux salariés de devenir propriétaires de leur entreprise à hauteur de 10%. C’est louable mais arrive au pire moment, lorsqu’il n’y a rien à gagner et tout à perdre.
Nous parlons de milliers de milliards d’euros lentement accumulés par des dizaines de millions de particuliers prudents et soucieux de l’avenir, eux au moins.
Oh comme cela est vicieux.
Regardez, vous disent-ils, les bourses ont pris 20% en un an ! Vous devriez en profiter, vous disent-ils.
Allez-y, vous disent-ils .
Et pourtant vous n’y allez pas alors ils vous forcent la main avec l’aide d’un État complice, asservi.
Les grands médias aussi sont complices. Vous ne pouvez plus compter sur eux pour vous informer et je dois compter sur vous pour faire circuler cette information vitale pour votre épargne et celle de dizaines de millions de Français. C’est IMPORTANT, s’il vous plaît, faites suivre cette lettre à votre carnet d’adresse. Personne ne le fera à votre place, personne ne démasquera cette manipulation grossière et destructrice.
Car voici ce qu’ils ne vous disent pas : p lus personne n’est acheteur net d’actions en bourse.
Pas les particuliers, pas les banques, pas les fonds d’investissement, même pas les banques centrales.
Plus personne sauf un !
Alors qui ?
Les seuls acheteurs nets d’actions en bourse sont les entreprises qui rachètent leurs propres actions, généralement en s’endettant.
Les seules personnes qui investissent en bourse aujourd’hui s’appauvrissent (en s’endettant) pour enrichir les actionnaires historiques.
Il ne s’agit pas de créer de la valeur mais simplement de transférer de la valeur existante.
Mais les dettes ne suffisent plus. Il y a surchauffe, le système risque de s’emballer alors vous êtes le prochain sur la liste.
Aujourd’hui, investir en bourse, c’est l’assurance de vous appauvrir pour enrichir ceux qui étaient-là avant vous, c’est un gigantesque Ponzi, un des rouages du plus grand transfert de richesse de tous les temps.
Il est urgent de sortir du piège qui se referme insensiblement depuis 10 ans.
C’est l’objet de l’édition de Risque & Profit que je vous envoie EN CADEAU jusqu’à demain soir. Elle est consacrée à l’assurance vie et son alternative qui vous permet de diminuer vos risques en augmentant vos plus-values.
Dans cette nouvelle édition, vous découvrirez :
  • Le risque suprême que font peser les taux négatifs sur vos assurances vie ;

 

  • Les mesures prises pour légalement confisquer votre assurance vie en cas de crise ou faillite majeure ;

 

  • Les limites de l’intérêt fiscal et le coût caché de la forêt des frais ;

 

  • Que penser des Unités de Compte et comment vous y retrouver ;

 

  • La stratégie simplissime qui augmente mécaniquement vos espérances de gains en diminuant vos risques.
L’assurance vie a connu son heure de gloire dans les années 1990 et 2000, ce produit financier est aujourd’hui obsolète, il bride vos gains et augmente vos risques bien plus qu’il n’adoucit votre fiscalité.
Mais qui le dit ?  Alors je l’écris.
Mais qui propose des alternatives sérieuses ? qui ne vous font pas prendre des risques insensés, généralement en bourse ?  Cette édition de Risque & Profit le fait.
Il n’y a pourtant rien de compliqué. Et si votre banquier ne vous propose pas ce placement, il vous aidera à le faire si vous le souhaitez.
C’est un numéro FONDAMENTAL dans lequel vous découvrirez l’alternative qui augmente vos potentiels de gain et diminue vos risques mécaniquement. Il NE s’agit PAS d’un nouveau type investissement simplement d’ une manière plus efficace d’investir que des fonds euros devenus obsolètes et dangereux.
Si vous ne devez choisir qu’un seul de tous mes conseils, à tout âge, c’est celui-là.
Je ne dis pas cela légèrement. Dans Risque & Profit vous découvrez :
  • les avantages de l’or ;

 

  • l’intérêt des cryptos ;

 

  • La diversification des monnaies ;

 

  • le placement utile qui rapporte 5 fois plus qu’une assurance et vie
Oui cette stratégie est plus importante encore que l’or car si je vous conseille de placer jusqu’à 20% de votre patrimoine en or, ce placement-là, bien moins volatil, fonctionne pour les 80% restant.
Ce numéro est OFFERT EN CADEAU jusqu’à demain soir, samedi minuit.

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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle

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