Pour que cela tienne, il n’y a qu’une solution: l’ état permanent d’exception. Du terrorisme au covidisme.

Dans un long texte, Youssef Hindi s’interroge sur la voie que suit le régime Macron .

Après avoir démontré que les lois et dispositions prises pour lutter contre le terrorisme ont préparé le terrain pour une dictature ou une tyrannie, il s’interroge également sur les évolutions futures et les réactions des Français.

Ce qui me frappe au fil des rappels historiques non contestables c’est la continuité: la personnalité des individus qui se sont succédés au pouvoir n’a aucune importance! On dévale la pente des pertes de libertés, des contrôles , des surveillances et des censures au nom d’une pseudo sécurité théorique.

Je dis théorique car la sécurité réelle , quotidienne des français on voit bien que tous, s’en fichent.

C’est au nom d’une sécurité abstraite, mais en même temps sécurité-spectacle que les pouvoirs successifs agissent. C’est une certaine sécurité qui est invoquée, pas celle de tous les jours, pas celle que réclament les gens dans leur vie courante; celle là ils la recusent et ils disent comme Dupond que cette demande de securité de tous les jours procède d’un faux sentiment d’insécurite.

Pour autoriser des textes et des dispositions pratiques de plus en plus scélérates, l’insécurité abstraite, l’insécurité spectacle est magnifiée, amplifiée, on bat les tambours, on monte sur les estrades, on convoque des processions .. pour les autres insecurités, celles qui concernent tout le monde, chaque jour, on étouffe les faits, on maquille les statistiques, on banalise.

Le glissement des régimes n’est pas le fait d’un homme ou d’une femme, non c’est une tendance de fond du système; pas seulement du système français.


Je prétends que cette tendance de fond est à la fois spontanée et concertée. Cette tendance a à voir avec le délitement de nos tissus sociaux, avec les fractures des sociétés civiles, avec la fin des consensus sur nos organisations politiques.

Cette tendance a à voir avec l’état du système; il a du mal à se reproduire, il a du mal à survivre à l’identique, il a du mal à respecter les principes et les valeurs sur lesquels il s’est fondé ou qu’il lui même produits.

Ce système a buté, il a même chancelé, c’est incontestable et il serait idiot de refuser de voir que c’est parce qu’il buté sur ses limites qu’il eu besoin de changer. La crise qui dure maintenant depuis des décennies produit de nouveaux besoins de régulation autoritaires. Le système ne parvient plus à croitre au rythme antérieur, à préserver l’ascenseur social qui faisait tenir tranquilles les pauvres et les classes moyennes, la production de richesses plafonne, les salaires sont érodés depuis 30 ans, l’investissement et l’emploi stagnent , les régimes de protection sociale sont en quasi faillite, les budgets sont déficitaires les gouvernements croulent sous les dettes.

Il y a un lien direct entre la crise larvée, souterraine, non reconnue du système et l’évolution de nos régimes politiques. Le populisme a touché un tiers de la population, les extrêmes ne sont certes pas puissants, mais ils vocifèrent. La légitimité réelle est inexistante et quand elle existe elle repose sur mensonges et mystifications. Le ciment social a disparu.

Les pouvoirs ne sont soutenus que par un pourcentage ridiculement faible de citoyens.

Pour que cela tienne , il n’y a qu’une solution: le recours à la violence d’état.. L’ état permanent d’exception.

État d’urgence sanitaire et gouvernement hors la loi

Maître Virginie de Aurajo Recchia, juriste et avocat au barreau de Paris, a produit un rapport sur la gestion sanitaire du gouvernement français depuis le début de l’année 2020 : « RAPPORT DICTATURE 2020 – TERRORISME D’ETAT, ATTEINTE AUX INTÉRÊTS FONDAMENTAUX DE LA NATION ET CRIME CONTRE L’HUMANITÉ » (publié le 24/12/2020). Un document qui « relate l’ensemble des faits reprochés de manière synthétique ainsi que les grands axes de poursuite pénale ». [19]

Maître de Aurajo Recchia reproche, entre autres choses, au gouvernement d’avoir :

- porté atteinte volontairement à la vie et à l’intégrité des personnes,
- pris des décisions allant à l’encontre des intérêts fondamentaux de la Nation et des citoyens,
- manipulé l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public,
- géré la crise de façon totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière,
- interdit un traitement disponible anti-covid-19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire,
- interdit aux médecins de ville d’exercer librement,
- pratiqué l’euthanasie active et passive sans consentement,
- annulé des interventions hospitalières et reporté le traitement des maladies graves,
- fermé des services hospitaliers,
- supprimé des lits d’hôpitaux,
- refusé de solliciter les hôpitaux et cliniques privées,
- mené une campagne massive de faux tests RT-PCR SARS-CoV-2 valeur Ct>30 (Ct : estimation de la charge virale),
- orienté la population vers des vaccins possiblement dangereux,
- infligé un traitement inhumain à l’égard des enfants.

Quant à la séparation des pouvoirs, qui a été de fait définitivement abolie à l’occasion de la crise sanitaire, l’avocate précise :

« Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures.

Nous pouvons notamment le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n°2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire [20], par laquelle le Conseil constitutionnel refuse de censurer ladite loi alors que :
- le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote),
- l’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise. »

Nous vivons de facto sous un régime anomique (anomie = absence de loi), au sens où le pouvoir politique actuel ne respecte plus la loi ni la morale dont elle est censé découler. Dans cet État d’exception, seule la loi du tyran est appliquée et non plus la loi commune.

L’abolition de la loi commune annonce l’établissement d’une nouvelle loi ; et de cette loi nouvelle nous avons des prémices inquiétants.

L’avènement d’un nouveau régime et d’une loi nouvelle

Le mercredi 20 juillet 2021, l’Assemblée nationale a rejeté l’amendement n°CL185, présenté par Mme Ménard qui proposait que le pass sanitaire prenne «  fin dès lors que la circulation du virus ne représente plus un danger suffisamment grave pour légitimer son application ». [21]

Ce qui signifie que le Parlement, à la botte de l’Exécutif, entend maintenir le pass sanitaire même si le virus venait à disparaître ou à avoir le taux de létalité d’un petit rhume (ce qui est le cas du variant Delta). Preuve que le pass sanitaire n’a pas pour objet de préserver la santé publique ; c’est un outil de contrôle s’inscrivant dans le cadre du nouveau régime et de la nouvelle loi.

Un pass sanitaire d’ores et déjà obligatoire, depuis le 21 juillet 2021, dans les cinémas, théâtres, salle de sports, parcs d’attraction et autres lieux de loisirs. L’Assemblée nationale a voté, le 23 juillet, une loi imposant le pass sanitaire dans les entreprises recevant du public et le vaccin obligatoire pour les professionnels de santé. Une loi qui a été examinée par le Sénat – avant le Conseil constitutionnel – qui n’y a apporté que quelques allègements : les sénateurs ont « restreint le champ d’application du passe sanitaire aux espaces confinés et en ont exclu les mineurs. Le passe sanitaire ne s’appliquera ensuite aux salariés concernés qu’à partir du 15 septembre et non plus du 30 août ». [22]

Si le pass sanitaire n’est qu’un outil, cette loi n’est quant à elle qu’une étape dans l’établissement d’une société dystopique en devenir.

Si la désobéissance civile et la révolte ne sont pas suffisamment radicales, les sociopathes au pouvoir iront plus loin dans leur hubris et leur folie politique.

La société qu’ils veulent instaurer a été décrite dans un rapport du Sénat, datant du 3 juin 2021 titré Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés. On peut relever dans le titre l’emploi du pluriel, « crises sanitaires », et l’utilisation de la novlangue ; la suppression des libertés aurait pour objectif de les retrouver. Les auteurs de ce rapport sont les sénateurs Véronique Guillotin (Mouvement radical), Christine Lavarde (Les Républicains) et René-Paul Savary (Les Républicains). [23]

Le rapport sénatorial propose de surveiller votre comportement via votre téléphone en analysant « des données des opérateurs téléphoniques (antennes GSM) ou des géants du numérique (géolocalisation) pour étudier l’évolution de la mobilité et le respect des règles de confinement ». Pour justifier cette intrusion dans votre vie privée, les sénateurs, auteurs du rapport, convoquent la stratégie du gouvernement chinois qui a eu un « recours intensif aux outils numériques sous toutes leurs formes et avec tous les types de finalités, y compris les plus intrusives, avec une ampleur inégalée non seulement dans le monde, mais aussi dans l’histoire. La Chine a, sans ambigüité, privilégié la lutte contre la menace sanitaire par rapport à la protection des libertés individuelles, en particulier la liberté d’aller et venir et celle d’avoir une vie privée. Si le modèle chinois n’est évidemment pas transposable aux pays occidentaux, on ne peut pas, pour autant, se satisfaire d’une simple posture d’indignation : la stratégie chinoise est, globalement, une grande réussite sur le plan sanitaire. »

Peut-être que les sénateurs, comme Macron et son gouvernement, s’imaginent que leur politique folle menée depuis le premier confinement a opéré une transformation anthropologique telle que les Français se sont transformés en Chinois en l’espace d’une année. C’est là l’un des signes que les dirigeants occidentaux tentent de mener une révolution utopique anthropologique en refaçonnant l’âme des peuples devenus encombrants.

Le passage suivant du rapport résume assez bien la direction que prend le pouvoir actuel :

« Dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d’exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population, assorti le cas échéant de sanctions dissuasives, et fondé sur une exploitation des données personnelles encore plus dérogatoire.

Ces outils sont les plus efficaces, mais aussi les plus attentatoires aux libertés – mais une fois de plus, il serait irresponsable de ne pas au moins les envisager, ne serait-ce que pour se convaincre de tout faire en amont pour ne pas en arriver là.

De nombreux cas d’usages sont possibles, et notamment :
- Le contrôle des déplacements : bracelet électronique pour contrôler le respect de la quarantaine, désactivation du pass pour les transports en commun, détection automatique de la plaque d’immatriculation par les radars, portiques de contrôle dans les magasins, caméras thermiques dans les restaurants etc. ;
- Le contrôle de l’état de santé, via des objets connectés dont l’utilisation serait cette fois-ci obligatoire, et dont les données seraient exploitées à des fins de contrôle ;
- Le contrôle des fréquentations, par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que l’on est contagieux ;
- Le contrôle des transactions, permettant par exemple d’imposer une amende automatique, de détecter un achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce etc.) en dépit des restrictions. »

Ces sociopathes vont plus loin, en proposant par exemple d’imposer une « petite hausse des cotisations sociales si le nombre ou la durée des sorties excède un certain seuil ».

Ce rapport a au moins le mérite d’afficher la claire intention d’instaurer une dictature :

« Si une « dictature » sauve des vies pendant qu’une « démocratie » pleure ses morts, la bonne attitude n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs. »

Révolution ou dictature ? Quelle issue ?

Le processus de transformation du régime peut déboucher sur deux principales issues : l’instauration d’une dictature écrasant le peuple qui acquiesce, ou bien l’échec qui se traduira par une révolte de plus en plus violente, un chaos temporaire, l’état de siège et la chute du pouvoir actuel voire du régime.

Toutefois, il est très difficile d’anticiper avec précision l’évolution de la révolte qui semble (re)démarrer. Les manifestations des 17 et 24 juillet ont été massives, mais on ne peut pas encore parler d’insurrection. Peut-être que le processus s’enclenchera avec une désobéissance civile massive, le refus d’appliquer et de faire appliquer le pass sanitaire par des professions entières et des secteurs d’activité essentiels. Quoi qu’il en soit, la révolte s’accentuera au fur et à mesure qu’augmentera la violence politique.

L’un des écueils à éviter pour le mouvement actuel est la récupération par quelques hommes et partis politiques qui entendent conduire la révolte vers une voie de garage en proposant comme solution ultime le vote pour leur petite personne aux élections présidentielles de 2022, et faire ainsi avancer leur carrière. Mais l’ère du politique professionnel est arrivée à son terme.

La pouvoir, représenté par Macron, a déclaré une guerre ouverte au peuple. À l’issue de cette guerre il y aura un vainqueur et un vaincu. Mais la lutte entre les deux forces s’étendra sur de longs mois, voire quelques années. Il y aura des batailles gagnées, d’autres perdues. Mais il faudra à cette révolte, pour qu’elle devienne révolution, des figures et une direction.

Ces figures ne peuvent être des inspecteurs des finances, des avocats grisés par la médiatisation, ayant perdu pied et se donnant en spectacle chez Hanouna ou des politiciens ayant mangé à tous les râteliers. Peut-être verrons-nous émerger des figures issues du monde réel, des petits patrons (lesquels sont directement menacés par le pouvoir) associés à une véritable élite intellectuelle et scientifique hors contrôle de l’Université et des lobbies.

Le régime, et tout particulièrement le pouvoir macronien, apparaît comme dominateur, mais il est peu sûr de lui-même et de son assise ; à tel point qu’il a exempté de vaccination la police et la gendarmerie [24] – la seule et unique barrière qui protège Macron et sa clique de la colère populaire.

Il ne faut pas s’y tromper, la fébrilité et la violence de l’actuelle équipe dirigeante indiquent non pas un début mais une fin de règne.

Voilà bientôt trois années que le pays est entré dans une séquence historique de révolte (depuis novembre 2018 avec les Gilets jaunes) ; et cette révolte, dont la France périphérique est le noyau initial, grossit au fur et à mesure que Macron déploie son « projet » et élargit les catégories de français auxquels il mène la guerre.

À l’instar de la Terreur, par laquelle la Révolution a tenté de s’accomplir et de s’installer, l’actuelle révolution macronienne pourrait bien se retourner contre ses tenants. Souvenons-nous qu’après la chute de Robespierre « un violent mouvement de l’opinion exigea et obtint le châtiment des ‘‘bourreaux barbouilleurs de lois’’. La guillotine servit encore pour les plus marquants et les plus abominables des terroristes, comme le tribunal révolutionnaire avait servi contre ceux qui l’avaient institué. » [25]

Et si la macronie ainsi que tous ses collaborateurs, de gauche comme de droite, finissaient par être punis par là où ils ont péché ?

Youssef Hindi

7 réflexions sur “Pour que cela tienne, il n’y a qu’une solution: l’ état permanent d’exception. Du terrorisme au covidisme.

  1. En complément, une analyse à mon sens objective et pertinente…proche du propos de Y.H et de vos propres analyses, Mr Bertez.

    « Une énième vague de coups d’État sanitaires déferle sur le camp atlantiste »
    https://les7duquebec.net/archives/265924

    « Comment entretenir la pandémie, pour justifier et légitimer le coup d’État sanitaire moderne accompli avec des moyens de conditionnement psychologique hautement technologique, sinon par la fabrication hystérique du péril viral mythologique agrémenté de maquillages statistiques délibérément amplifiés.

    Comment justifier et légitimer l’accélération de la destruction des infrastructures économiques considérées comme obsolètes du point de vue du grand Capital, sinon par une énième vague de propagandes sanitaires virales, appuyées sur un traitement de l’information anxiogène propre à susciter un état de sidération sur fond de psychose collective ».

    « Actuellement, le monde entier assiste à la faillite d’un système économique en déclin, à la débâcle de l’ordre social dominant, à l’échec historique d’une classe bourgeoise agonisante, à l’incurie criminelle des Etats, à la militarisation de la société impulsée par les classes dominantes aux fins de sauver leur système en pleine décomposition ».

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  2. Bonsoir M. Bertez
    Montjoie! Saint Denis!
    Et on leur pélera le jonc
    Comme au bailli du Limousin
    On l’a pendu un beau matin
    On l’a pendu avec ses tripes!

    paroles G. de Montmirail- J. Lafripouille, Musique: anonyme 12ème siècle
    Musée des Arts et Traditions Populaires.

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  3. La recomposition politique est peut être lancée.
    Plus aucune illusion sur les LR : le Sénat a fait semblant de s’opposer en négociant le poids des chaînes. Sur 3 candidats déclarés, un médecin enfermiste, deus suppôts du pass de la honte. Le quatrième non déclaré qui installe la reconnaissance faciale dans ses transports régionaux. Que des amis de la liberté!
    Les LFI (Ruffin et Panot) ont fait le job à l’Assemblée mais ne mobilisent pas les foules. Les PS réclament la vaccination obligatoire pour tous! Les RN se sont opposés du bout des lèvres et se font déborder par Philippot.
    Les institutions ont toutes failli, je pense que le Conseil Constitutionnel sauvera la face en rallongeant un peu la longueur des chaînes.
    Vous avez taillé mon fils, maintenant il faut coudre disait Catherine de Médicis à Henri III. Nous en sommes là, la taille, la destruction de l’ancien sont en cours d’achèvement. On ne voit pas très bien ce qui en sortira mais au moins la destruction est bien avancée maintenant. C’est le préalable à la reconstruction.
    Nous allons vers l’effondrement économique et social. Le sujet n’est plus de l’éviter mais de savoir si nous l’affronterons dans la dignité pour reconstruire ensuite, ou dans la veulerie pour se perdre définitivement.

    Au fond, le seul choix qui nous reste, veulerie ou dignité.

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    1. On enferme Philippot sous le qualificatif  » d extreme droite » depuis quelques jours, pourtant lui seul est à l initiative des mouvements populaires contre le pass sanitaire, et ce, depuis le premier jour (35 eme semaines à se battre seul devant les fenêtres de Veran contre les mesures liberticides) . il révèle au grand jour, et par son énergie à se battre, toute la veulerie de tous les autres leaders politiques. Bravo à lui !

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