Essai: Mais pourquoi donc obéissent ils? De la soumission.

La plupart des analystes et commentateurs déplorent les effets sans s’interroger sur les causes des situations qu’ils déplorent. Cela me parait très net s’agissant de la question présente, très grave de l’acceptation par le peuple de la servitude.

C’est un problème vieux comme le monde: comment se fait il que des gens en apparence sensés puissent accepter cela, a-t-on envie de s’exclamer en lisant l’Histoire.

Et encore plus près de nous comment les peuples ont ils pu être trompés, fourvoyés encore comme ils le furent pendant la Seconde Guerre Mondiale? Comment les peuples ont ils encore pu se faire baiser lors de la crise de 2000, puis celle de 2008, puis celle de 2020 ou ils été tondus pour sauver les ultra riches?

Je crois vous l’avoir expliqué à plusieurs reprises, l’une de mes lectures récurrentes favorites, ce sont les Mémoires de Goebbels. Rien de tel pour douter, pour perdre ses illusions , pour hair la politique. Goebbels, ça c’est du vaccin!

Ces interrogations me travaillaient ces derniers jours alors que l’observais, éffaré et incrédule la pente que nous descendions face à l’Absolutisme du Néant de Macron.

Je ne me lance pas dans ces reflexions car elles sont tellement vastes que je risque d’y sombrer et d’y passer toute ma vie; qu’ est ce qui fait que les hommes aient un tel gout, une telle attirance pour la servitude, pour l’obéissance, pour la sécurité à tout prix , pour la conformité etc ? Pourquoi jouissent ils d’être privés du sens de leur vie? Pourquoi chérissent-ils leurs chaines?

L’une de mes réponses que j’expose de temps à autre c’est qu’ils vivent dans une névrose, une nevrose de groupe, une névrose sociale, une sociose, ils sont dans un imaginaire comme les anciens l’étaient dans l’imaginaire de la religion. il y a dans la soumission et l’obeissance du Sacré et de l’Imitation.

J’ai des réponses personnelles car c’est un sujet qui me taraude mais je n’ essaie pas de les articuler dans un texte cohérent ; l’effort à fournir serait trop grand.

Ces reflexions se développent, à beaucoup de niveaux différents, niveau de l’étre, niveau de la psychologie des profondeurs, niveau de la logique du vivant, niveau de l’organisation sociale, niveau économique, etc

J’invite souvent les lecteurs quand je frole cette question de la soumission à lire Dostoievski , Le Grand Inquisiteur. Mais il est évident qu’il faut aller visiter La Boétie, Nieztsche, Freud, Marx , Hayek, Sade, la Mythologie grecque, et mille autres personnes qui ont abordé le sujet.

Vous voyez, quand on tire sur le fil on n’en finit pas, tout y passe car la question du gout pour la soumission est plus ou moins symétrique de la question des origines, de la culture, du mimétisme, du déterminisme, de la liberté, du sens de l’Histoire, etc … alors !

Quand on pénêtre ce domaine, on entre dans le Labyrinthe du Grand Tout.

Je n’ai pas envie d’exposer , ne serait ce qu’une partie de mes reflexions, mais j’ai trouvé que ce texte de l’excellent complotiste Brandon Smith pouvait vous apporter quelque chose et nourrir vos propres interrogations .

Note : Brandon est complotiste avéré; mais souvenez vous de ce que j’ai analysé; le complotisme est une technique de présentation, ce n’est pas une verité en soi, c’est une façon de faire comprendre la verité comme une image, comme une personnification de ce que l’on ne voit pas: le système .

Le complotisme attribue à des groupes de personnes une volonté consciente de faire telle ou telle chose alors que bien sur il n’en est rien, ce qui est à l’oeuvre ce n’est pas la volonté, la subjectivité des hommes, non c’e qui est l’oeuvre c’est la logique objective, l’inconscient du système,un peu à la Carl Jung et un peu à la Hegel.

Brandon Smith.

L’hypothèse courante en matière d’autocratie ou d’oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu’ils n’ont jamais l’intention de tenir. C’est une simplification excessive. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans la dictature est si complexe qu’il nécessite une compréhension avancée de la psychologie humaine.

À notre époque moderne, on ne peut pas simplement ordonner aux gens de se soumettre sous la menace d’une arme, du moins pas tout de suite. Ils doivent être amenés à se conformer, et pas seulement cela, mais ils doivent être amenés à penser que c’était LEUR IDÉE depuis le début. 

Sans cette dynamique d’autocensure et d’auto-esclavage, la population finira par se rebeller, peu importe à quel point le régime est oppressif. Une tyrannie millénaire ne peut exister à moins qu’un certain nombre de personnes ne soient dupées au point de l’applaudir, ou qu’elles en profitent directement.

Et c’est là que nous trouvons la vraie clé du totalitarisme – Il ne prospère que parce qu’il y a une partie inhérente d’une société donnée qui l’aime secrètement et veut qu’elle existe. 

On pourrait appeler ces gens des idiots utiles, mais c’est bien plus que cela. Ils n’ignorent pas nécessairement ce qu’ils font ; ils comprennent dans une certaine mesure qu’ils contribuent à la destruction des libertés d’autrui… et ils s’en délectent. Bien sûr, il y a des élitistes et des mondialistes qui organisent des conspirations fondamentales et recherchent de plus en plus de contrôle, mais ils ne pourraient rien accomplir sans l’aide de l’armée de sociopathes qui vivent parmi nous.

Cette caractéristique étrange et destructrice est toujours visible aujourd’hui à la lumière des enfermements du covid et de la pression pour les vaccinations forcées. 

Il est clair qu’il y a des gens qui sont trop préoccupés par les décisions personnelles de santé de tout le monde et surtout des autres . 

La science et les statistiques prouvent qu’ils n’ont rien à craindre du virus, mais ils ignorent la science. I

Ils ont soif de pouvoir. Ils sont tombés dans un culte qui ignore toute logique et exige fidélité à ses récits frauduleux. Ils ne se soucient pas des faits, ils se soucient seulement de conformité. Ils veulent que nous nous conformions.

Eh bien, comme je l’ai dit à maintes reprises : nous ne nous conformerons pas !

Et ainsi commence le conflit épique ; un conte aussi vieux que la civilisation elle-même. Il existe deux types de personnes dans ce monde : celles qui veulent contrôler les autres et celles qui veulent qu’on les laisse tranquilles. Mais qu’est-ce qui motive les maniaques du contrôle ? Pourquoi sont-ils comme ils sont ? Examinons quelques-unes des causes…

Le moteur de la peur

Il y a des gens qui sont motivés par le succès, par le mérite, par l’espoir, par la prospérité, par la foi, par l’optimisme, par l’amour et par l’honneur. Et puis, il y a des gens poussés par la peur. Il existe des centaines de peurs différentes, mais seulement quelques façons de réagir à chacune d’entre elles. Les collectivistes répondent à la peur par un besoin désespéré de microgérer leur environnement ; ils croient que s’ils peuvent gouverner les gens et les événements dans une certaine mesure, ils peuvent éliminer les résultats inattendus et être libérés de la peur. Mais la vie ne fonctionne pas ainsi et ne fonctionnera jamais.

Le niveau d’influence que ces personnes recherchent est tellement au-delà d’eux qu’il ne pourra jamais être atteint. C’est-à-dire qu’ils ne seront jamais satisfaits tant qu’ils n’en auront pas plus. Leurs peurs les hanteront toujours parce que les peurs ne peuvent pas être traitées de l’extérieur, elles ne peuvent être traitées que de l’intérieur.

De plus, les choses qu’ils craignent tournent souvent autour de leur propre narcissisme et sont de leur propre fabrication. Ils craignent l’échec, mais ils travaillent rarement assez dur pour réussir. Ils craignent d’être exposés, mais seulement parce qu’ils mentent constamment. Ils craignent les conflits, mais uniquement parce qu’ils sont faibles de corps et de caractère. Ils craignent la mort, car ils ne croient en rien de plus grand qu’eux-mêmes. Ils réclament la domination de leur environnement parce qu’ils croient à tort qu’ils peuvent tromper le destin et les conséquences de leurs propres choix terribles.

La sécurité de la foule

La question de la peur s’étend à l’état d’esprit commun des totalitaires et à la façon dont ils trouvent la sécurité. L’idée de voler de ses propres ailes et de défendre ses principes face à l’opposition leur est complètement étrangère. Ils évitent ces situations à tout prix et la notion de risque leur répugne. Alors, ils recherchent plutôt une foule dans laquelle se fondre. Cela les fait se sentir en sécurité dans l’obscurité tout en exerçant une force par l’action collectiviste. Ils peuvent se sentir puissants tout en étant pitoyables et faibles.

Ces personnes opèrent presque toujours à travers de grands groupes univoques qui punissent toute dissension dans les rangs, généralement avec des gardiens qui les font marcher droit.

La foule elle-même est une arme, son seul but au-delà du confort de ses adhérents est de détruire ces personnes qui n’ont pas les mêmes croyances ou valeurs que les contrôleurs. Il n’y a aucun but défensif à la foule ; c’est l’outil de l’ assassin, c’est une bombe nucléaire. Et, comme nous l’avons vu dans toutes les dictatures modernes, des bolcheviks en Russie aux fascistes en Allemagne aux communistes dans la Chine de Mao, la foule totalitaire est capable de tuer plus de personnes que n’importe quelle arme nucléaire existante, le tout au nom de « la plus grand bien du plus grand nombre.

Fausse piété à la place de l’estime de soi

Tous les tyrans se croient justes dans leur cause, même lorsqu’ils savent que leurs actions sont moralement odieuses. J’ai vu cette dynamique s’afficher audacieusement lors des mandats covid et des initiatives de passeports vaccins. Considérez un instant que 99,7% de la population n’est sous aucune menace légitime du virus covid ; ils n’en mourront pas et, dans la grande majorité des cas, ils s’en remettront rapidement. Pourtant, la secte covid soutient systématiquement que les personnes qui refusent les mandats, les blocages et les vaccins mettent les autres en danger, c’est pourquoi nous devons être «obligés» à nous soumettre.

La plupart d’entre eux savent d’après les données que le covid n’est pas une menace, mais les mensonges leur donnent l’occasion d’appliquer leur pouvoir par le « jugement moral », et donc ils mentent, et ils continuent de mentir sur les données jusqu’à ce qu’ils pensent que le mensonge soit accepté comme réalité. C’est un aspect commun de la plupart des cultes et des religions fondamentalistes. La volonté des adhérents/fidèles de valoriser leur foi se situe au-dessus des faits et des preuves non pas parce qu’ils essaient de protéger leur foi, mais parce que cela leur donne une chance de se sentir pieux et supérieurs. à ceux qu’ils sont déterminés à nuire.

Ceux qui ne sont pas d’accord sont étiquetés comme des hérétiques, les plus bas parmi les plus des bas, les terroristes, les fascistes . La foule anti-mandat, celle qui s’oppose aux diktats, est ainsi dépouillée de son humanité et dépeinte comme démoniaque. Les gens qui veulent rester libres deviennent des monstres, et les monstres totalitaires deviennent des héros pour sauver le monde. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson :

« Les obéissants se considèrent toujours comme vertueux plutôt que lâches. »

L’amour d’une cage

J’ai l’impression de comprendre dans une certaine mesure cet état d’esprit, mais je suis toujours choqué de la façon dont les gens qui luttent pour le pouvoir sur les autres semblent aussi aimer être esclaves du système. 

L’autoritarisme tient certaines de ses promesses de « sécurité » tant que les personnes impliquées sont prêtes à renoncer à tout élan de liberté. Si vous faites ce qu’on vous dit à tout moment et si servez le système sans faute, alors il y a de bonnes chances pour que vous puissiez conserver les avantages de la survie. Vous vivrez une vie, mais probablement pas heureuse.

Pour ceux qui vont au-delà et rejettent tout principe éthique personnel afin de faire avancer les objectifs du système, ils pourraient même profiter d’un minimum de richesse au-delà de leurs pairs. Voyez-vous, dans une société despotique, les gens qui sont le plus dépourvus d’ honneur sont les gens qui sont le plus honorés. Ils n’ont pas besoin de mérite, d’accomplissement, de compétences ou même d’intelligence ; tout ce qu’ils ont à faire, c’est vendre leur âme et faire tout ce qu’il faut pour attirer l’attention de l’oligarchie. Ils n’ont pas besoin d’être bons en quoi que ce soit, tout ce qu’ils ont à faire est d’être mauvais, et pour certaines personnes, c’est facile.

De cette façon, le système devient une couverture confortable dans laquelle les déviants autrement inutiles peuvent être emmaillotés. Ils s’y enveloppent et se délectent de sa chaleur. Ils ne sont pas concernés par la liberté parce que la liberté leur semble froide. La liberté peut être isolante et les nécessités d’une vie faite de choix est terrifiante. Lorsque tous vos choix sont faits pour vous, il n’y a jamais de doute ou de stress interne. Tout ce qui est requis, c’est que vous vous réveilliez chaque jour et que vous obéissiez.

Pour les personnes faibles et ignorantes, la soumission est un cadeau au lieu d’une malédiction. Ils croient qu’une cage est destinée à être dorée, elle n’est pas faite pour s’en échapper, et quiconque cherche à s’échapper doit être fou ou dangereux. Si des gens libres existent, alors les esclaves sont obligés de remettre en question leur propre condition et leur propre conformité, donc selon eux, tout le monde doit être réduit en esclavage pour éliminer tout doute de la société. 

Le provocateur et libre

Les petits tyrans qui infiltrent l’humanité considèrent probablement les défenseurs de la liberté comme une sorte de créatures extraterrestres bien au-delà des limites de leur univers. Ils ne peuvent tout simplement pas comprendre comment il est possible pour quelqu’un de défier le système, de se dresser contre la foule ou le collectif, même lorsqu’ils sont en infériorité numérique ou lorsque le risque est si élevé. Ils supposent que c’est une forme de folie ou un manque d’intelligence ; car comment quelqu’un d’intelligent pourrait-il penser qu’il a une chance de s’opposer victorieusement à la dictature ?

Les amoureux de la liberté sont des individualistes par nature, mais nous nous soucions aussi des libertés des autres. Il existe des récits de propagande courant qui prétendent que les individualistes sont « égoïstes », mais ce n’est pas du tout le cas. Il ne nous suffit pas d’échapper à l’esclavage, nous ne restons pas les bras croisés à regarder les autres être contraints à la servitude. Nous sommes prêts à risquer nos vies non seulement pour nous sauver, mais pour sauver les générations futures de l’autocratie.

Alors que les passeports et les mandats vaccinaux continuent de s’intensifier, les totalitaires se retrouveront encore plus déconcertés, car chaque nouveau mécanisme de contrôle entraînera une impulsion encore plus grande à la rébellion, et franchement, à ce stade, ce sera nous ou eux. Ils n’arrêteront pas leur quête de domination et nous ne nous y conformerons pas, nous sommes donc dans une impasse. Nos deux tribus ne peuvent pas coexister au sein d’une même société, peut-être même pas sur la même planète.

La vérité est que si le volontariat était un idéal reconnu, alors tout ce combat pourrait être évité. Si la secte collectiviste était prête à accepter l’idée qu’elle peut choisir de vivre dans un environnement hautement microgéré tandis que d’autres peuvent choisir de vivre de manière indépendante, alors il n’y aurait pas de crise. 

Nous pourrions facilement nous séparer. Mais ce n’est pas ainsi que pensent les totalitaires : pour eux, tout le monde est un bien qui appartient à la société, au collectif, , nous sommes une propriété à jalonner et à rééduquer jusqu’à ce que nous voyions la lumière. Et si nous ne voyons pas la lumière, nous devons être supprimés et effacés.

C’est pourquoi ils sont entièrement responsables de la guerre qui s’annonce. Ils ne peuvent s’empêcher de s’agripper à nos gorges et à nos esprits. Ils sont accros à la suprématie. Ils vivent dans un rêve fébrile et la seule drogue qui refroidit leurs veines est l’oppression totale de tout le monde autour d’eux. 

Je vois ce qui va suivre et ce n’est pas joli pour les deux côtés, mais ce sera particulièrement horrible pour les collectivistes car ils ne peuvent pas imaginer un scénario dans lequel ils perdent. Ils sont tellement sûrs de leur prééminence et de la sécurité de leurs prisons auto-imposées qu’ils verront l’échec comme un fantôme.

 Il suffirait de quelques défaites mineures pour les faire tomber, mais cela nécessite que les défenseurs de la liberté soient plus organisés qu’ils ne le sont.

L’essentiel est le suivant : les systèmes tyranniques sont planifiés par des groupes élitistes et des gouvernements et ce sont eux qui bénéficient le plus de la destruction des libertés publiques. 

Il s’agit en effet d’un complot, et les blocages pandémiques et la réponse vaccinale forcée ne font pas exception. Cependant, les systèmes tyranniques ne pourraient pas être exécutés sans l’aide d’un grand contingent psychopathe de la population, et ces personnes se rassemblent pour faire arriver des choses terribles. C’est comme s’ils percevaient un signal qui leur dit que le temps du totalitarisme est venu , ou comme si ils sentaient deja le sang de victimes innocentes .

Appelez-les de gauche, appelez-les communistes, appelez-les collectivistes, appelez-les comme vous voulez ; mais sachez qu’il . Il y a un mur de péons égocentriques , avides de pouvoir sur le chemin;  C’est un groupe triste et pathétique, ils sont dangereux dans leurs ambitions, et ils continueront à se glisser hors du bois au fur et à mesure que l’agenda du covid progressera.

*  *  *Mais

4 réflexions sur “Essai: Mais pourquoi donc obéissent ils? De la soumission.

  1. Texte intéressant, merci.

    Finalement chacun cherche sa place dans l’ordre du monde, certains ont plus d’énergie et de chance que les autres, certains se rabattent sur des supplétifs: lire par exemple l’éloge de la fuite de Henri Laborit.

    Les supplétifs peuvent être le monde des idées (la religion ou autres valeurs), les loisirs, les communautés ou identitarismes même sans pouvoir réel, etc. Ceux qui débordent d’énergie et qui n’ont pas le cul bordé de nouilles à la naissance, risqueront éventuellement le tout pour le tout jusqu’à la révolte.

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  2. Bon papier M. Bertez , pour approfondir le sujet nous vous proposons de penser au concept de la contre initiation de René Guénon (auteur d’une grande utilité pour cette époque).

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  3. L’instinct grégaire, la volonté de faire partie des gagnants, le besoin de déléguer la responsabilité de la décision, la nécessité d’un parent protecteur.

    Selon d’autres, il existe trois types de personnes : celles qui ont besoin de commander, celles qui ont besoin d’être commandées et celles qui sont libres.

    Merci pour votre essai qui souffle un bon et sain vent. Je suis abasourdi par cette soumission, moi qui considérais mon peuple comme évolué.

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