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Vous allez tout de suite comprendre pourquoi un monde multipolaire est un doux rêve de simplet dans un monde global dont le bilan du système bancaire repose sur le dollar.
Depuis 2008 la Suisse est « tenue » par les USA car ce sont les Etats unis qui ont le droit de vie et de mort sur leurs banques internationales et donc sur le Franc Suisse,
Cela il y a des gens qui le savent mais ce qui se sait peu c’est que nous sommes exactement -et pire- , dans la même situation a cause de l’avidité de nos banques qui ont fait leur beurre sur l’eurodollar et la surexposition au dollar américain dans leurs bilans , nous sommes dollar-dépendants, d’un seul coup de crayon/clavier les USA nous mettent dans la situation de la Russie!
Pour tenir il nous faut des trillions de dollars que nous cesserons d’avoir si nous ne donnons pas gentiment la papatte en remuant la queue!
brunobertez 
A partir du moment ou l’on accepte collectivement de se surendetter en dénigrant la valeur « travail »,il est évident que l’on se passe une corde autour du cou.
Le débat public pour ces élections devrait tourner autour de trois urgences fondamentales:
Economie ,politique de santé,et retour a la démocratie .
Je pense que Macron ne voulait pas se représenter,mais qu’il y a été obligé face a la défaillance de Pécresse.
Pécresse était la candidate choisie pour continuer la politique de terre brulée actuelle.Sa défaillance met Macron dans une position inconfortable.
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Nous devrions faire tous faire défaut sur les dettes payées en dollars. À ce stade, je suis en faveur d’une remise générale des dettes (comme on le faisait au Moyen Âge). Plus personne ne devant rien à personne. Une grande réinitialisation de l’économie financière. Ce serait très démocratique, les matières premières et les moyens de production retournant ainsi à ceux qui les exploitent et non à ceux qui les financent. Ce serait encore mieux si cela s’accompagnait d’une nationalisation massive des moyens de production et des ressources, tout-en instaurant la cogestion des entreprises par les travailleurs (ce qui comprend des dirigeants, des ingénieurs, des financiers etc. mais non inféodés à la finance).
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Cher Monsieur,
Mitterrand n’était pas dupe non plus. Peu avant sa mort, il tenait à Georges-Marc Benhamou les propos suivants :
« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment, et pourtant une guerre à mort. »
Sa femme Danielle a également rapporté dans la Tribune de Genève en 2007 ou 2008, lors d’un interview donné à l’occasion de la sortie de son livre « Le livre de ma Mémoire » les propos suivants :
« Je disais à François : puisque tu as le pouvoir pourquoi est-ce que tu ne t’en sers pas pour changer le pays ? »
Il répondait : « Je n’ai pas le pouvoir, La France comme tout le reste du monde est assujettie à une dictature financière qui gère tout ! »
Mais Miterrand comme de Gaulle n’étaient pas des global young leaders.
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Jusqu’à Chirac on a été dirigé par des gens qui avaient encore un peu le sens de l’intérêt national. Chirac est le dernier qui a dit non aux américains et qui a rendu les français fiers.
Pas un enfant irakien n’est mort sous nos bombes pour des armes de destructions fictives.
C’est cet héritage que nous dilapidons à vitesse grand V.
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