Oxford economics
Nous estimons que les dépenses de consommation dans la zone euro ont augmenté de 0,8 % t/t au T2, malgré une inflation élevée persistante qui pèse sur les revenus réels et déprime la confiance des consommateurs. Les indicateurs à haute fréquence de dépenses, notamment de services, et de consommation des ménages contribueraient positivement à la croissance au troisième trimestre. Cependant, les perspectives continuent de se détériorer pour le quatrième trimestre et au-delà, les fondamentaux de la consommation devant se détériorer au cours de l’hiver.:
- Le rythme et l’ampleur du rebond de la consommation ont surpris à la hausse au premier semestre.
- Nous pensons que le fort rebond récent des dépenses de consommation est insoutenable et qu’il est peu probable qu’il se poursuive au-delà du troisième trimestre, et certaines données à haute fréquence montrent déjà des signes de ralentissement.
- En fait, il y a très peu de raisons d’être optimiste en matière de consommation.
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Les dépenses de consommation n’ont augmenté en valeur moins que l’inflation, ce qui veut dire qu’elles ont diminué en volume
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