Pour mieux comprendre mon cadre analytique , je vous conseille la lecture de cet ouvrage d’un auteur de la French Theory -financé par les ploutos americains- , qui nous offre plus ou moins une théorie de la déconstruction. appliquée à la Valeur et donc à la finance.

Jean-Joseph Goux Les Monnayeurs du langage | EXTRAIT Imprimer la fiche | |
PRÉSENTATION Est-ce un hasard si la crise du réalisme romanesque et pictural en Europe coïncide avec la fin de la monnaie or ? N’y a-t-il pas là un effondrement des garanties et des référentiels, une rupture entre le signe et la chose qui défait la représentation et inaugure un âge de la dérive des signifiants ? Dans une première partie, l’auteur montre comment Les Faux Monnayeurs d’André Gide est, à ce titre, une œuvre exemplaire : le langage et la monnaie, dans leur statut étroitement homologique, sont atteints ; mais aussi la valeur de la paternité et toutes les autres valeurs qui règlent les échanges, trahissant une crise fondamentale qui est aussi celle du genre romanesque. Dans la deuxième partie, nous découvrons comment, grâce à cette rupture historique entre « le langage or » d’un Zola ou d’un Hugo et « le langage jeton » de Mallarmé, Valéry, Saussure et quelques autres, il devient possible de rendre compte des traits majeurs de notre façon de symboliser. |

EN PRIME
Bonjour M. Bertez
On n’imagine pas un seul être humain à qui il serait nécessaire d’expliquer qu’un signe n’a rien à voir avec un singe bien que ces deux mots ne diffèrent que par l’ordre de deux lettres. ( Quoique la question de savoir si un signe singe ou non la réalité n’est pas encore tranchée à ma connaissance .)
Apparemment ce ne serait pas le cas dans les hautes sphères de la finance publique internationale puisque, selon votre proposition, les ploutos sont obligés de mobiliser des « intellectuels », qui d’ailleurs devant la tâche doivent abandonner la pensée pour la rhétorique, voir la vidéo, aux fins de démontrer qu’une pure monnaie de signe ne serait pas que pure monnaie de singe!
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Le titre pourrait faire penser à du Clouscard
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