MOSCOU , 16 avril 2023 , 20:54 — REGNUM
Jusqu’à présent, seuls 40 corps de représentants du ministère ukrainien de la Défense, de l’état-major général des forces armées et d’officiers de l’OTAN ont été récupérés dans un bunker de la région de Lviv en Ukraine après avoir été touchés par un missile hypersonique russe « Dagger ». C’est ce qu’a déclaré l’observateur militaire Viktor Baranets dans un article publié par Komsomolskaya Pravda.

Chasseur-intercepteur MiG-31K avec un missile hypersonique « Dagger »© Andreï Stanavov/RIA Novosti
Il a noté que l’abri appartenait au poste de commandement de réserve de l’ancien district militaire des Carpates. Environ 200 officiers et généraux sont morts dans le bunker, environ 160 corps y restent encore. Aucun de ceux qui se cachaient n’a survécu.
Selon un observateur militaire, le bunker était invulnérable aux missiles conventionnels, mais le Kinzhal volant ne pouvait pas être abattu par les systèmes de défense aérienne en raison de la vitesse énorme que le missile développe. De plus, le projectile hypersonique atteint la cible de manière très précise.
« Le point souterrain secret a insufflé un sentiment de sécurité aux « consultants ». En fait, c’était un quartier général de commandement et de contrôle conjoint, il était très étroitement couvert par des systèmes de défense aérienne, ce qui a encore renforcé la confiance de ses « habitants » dans leur sécurité. De plus, sous un plafond en béton armé de plusieurs mètres, ils se considéraient comme complètement invulnérables », a déclaré Baranets.
Il estime que cela a fait perdre la vigilance aux officiers : des dizaines de voitures se sont rassemblées à l’entrée du quartier général, ce qui a permis aux renseignements russes de le situer .
Comme l’a rapporté REGNUM , le bunker était situé à une profondeur de 120 mètres. Il a été détruit le 9 mars après un détournement dans la région de Bryansk. Les médias ont noté que les conséquences de l’attaque ont été un désastre pour les forces de l’OTAN en Ukraine.
Après cela, le New York Times a noté que la Russie a la capacité de réapprovisionner ses missiles hypersoniques à lancement aérien Kinzhal avec une relative facilité, « même si plus de missiles que d’habitude ont été déployés lors de l’attaque du 9 mars ».
Selon la publication, les systèmes de défense aérienne ne sont pas en mesure de suivre ces missiles car la Russie a initialement développé le « Dagger » pour vaincre les systèmes de défense antimissile américains.
Le projectile atteint des vitesses de Mach 10 (dix fois la vitesse du son) et au-delà.
Подробности: https://regnum.ru/news/society/3798556.html
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EN PRIME
L’expert militaire Viktor Baranets a expliqué pourquoi les missiles russes Kinzhal ont pu détruire près de 200 officiers de l’OTAN dans le bunker des forces armées ukrainiennes.
Viktor Baranets, un observateur militaire de Komsomolskaïa Pravda, a expliqué comment il avait obtenu l’information selon laquelle près de 200 officiers de haut rang de l’OTAN et de l’Ukraine avaient été tués à la suite d’une frappe de missiles Kinzhal de haute précision au siège des Forces armées ukrainiennes. Dans la région de Lviv.
Selon Baranets, dans le passé il y avait là « le district militaire des Carpates à l’époque soviétique. Avec le quartier général à Lviv. Et le poste de commandement de réserve du district militaire des Carpates était situé à 50-60 kilomètres de Lviv. Et ce poste de commandement de réserve a été maintenu toutes ces années, même après la chute de l’Union soviétique. Il y avait un poste de commandement de réserve du commandement ukrainien.
Ce poste de commandement de réserve a été choisi par l’OTAN, pour plusieurs raisons.
Baranets a expliqué que les officiers de l’OTAN avaient choisi ce quartier général près de Lvov, car ils n’osaient pas se rendre à Kiev.
Parce qu’ils savaient déjà qu’il y aurait des frappes dans les centres de décision. Ils avaient peur de prendre des risques. Et là, sous des abris à plusieurs niveaux, bien sûr, il était possible de s’échapper, et ainsi de suite. Ils ne s’attendaient pas à ce que nos « poignards » puissent pénétrer à une telle profondeur. Et les « poignards » ont percé des dalles de béton, comme une feuille de papier A4 avec un doigt. Chaque ogive contient 500 kg d’explosif. Et si deux « poignards » sont entrés, alors c’est une tonne,
– dit l’expert militaire.
Baranets a noté qu ‘ »il existe d’autres calculs. Il existe des gigajoules – c’est l’énergie cinétique que contiennent des « poignards » de près de quatre tonnes. Ils ont une énergie cinétique si puissante que même sans explosion d’ogives, ils pourraient pénétrer à une profondeur de plusieurs dizaines de mètres. Et qu’y avait-il quand la TNT a explosé, imaginez. À moitié brûlé, à moitié déchiré et à moitié étouffé dans une fumée. C’est tout ce que je peux dire.
« Pas un mot dans les médias occidentaux. Qui croire? »
On avait eu la même chose avec la chute de Marioupol : les médias russes affirmaient avoir capturé un gros poisson ricain, Roger Cloutier.
Dénégation outrée de Washington… n’empêche que ce monsieur n’a plus donné de signe de vie depuis 2022. S’il n’avait pas été pris à Marioupol nul doute qu’il aurait fait la tournée des plateau de télé ricains pour moquer la propagande russe.
Et on peut voir cette frappe comme la réponse du berger à la bergère après la destruction de la garnison de Makiïvka lors du nouvel an. Frappe que les Russes avaient qualifiée de honteuse, manière de dire qu’une trêve informelle avait été négociée entre les 2 camps pour permettre aux soldats de téléphoner à leur famille, et qu’elle avait été exploitée de facon funeste par les Ukrainiens, cad l’OTAN.
La boucle est bouclée… La vengeance est accomplie.
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Pas un mot dans les médias occidentaux. Qui croire?
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