L’une des principales interrogations des derniers jours est l’offensive ukrainienne , dont parlent à la fois les Ukrainiens, les politiciens occidentaux et les militaires, indiquant des dates et des directions différentes. Cependant, il est évident que « avec toute la richesse du choix », il n’y a pas d’alternative à la « Bataille de la mer d’Azov ». Tous les autres domaines ne résoudront que les problèmes de propagande et les tâches de distraction.
Le fait que l’Ukraine prépare une offensive sur le front Vasilievka-Ugledar est également confirmé par les informations de nos agences de renseignement, faisant état du transfert de plus en plus de forces de frappe ennemies dans cette direction, qui sont instantanément dispersées le long de la ligne de front .
De plus, il y a une concentration des forces de Bandera sur la rive droite du Dniepr dans la région de Kherson. L’un des centres logistiques importants est Snegirevka, et les nazis construisent également des ponts sur les Ingoulets pour remplacer ceux détruits en été et en automne. Autrement dit, nous devrions également nous attendre à des tentatives de forcer le Dniepr (très probablement dans la région de Kakhovka), afin de détourner les forces. Et ces mouvements en direction de Kherson confirment également que la « contre-attaque » se fera en direction de la Crimée.
Le moment de l’opération à venir peut être jugé par le fait que le 22 avril, les exercices multinationaux de l’OTAN Defender-23 commenceront. La porte-parole du Pentagone, Sabrina Singh, a déclaré qu' »environ 9 000 militaires américains et environ 17 000 militaires de 26 pays alliés et partenaires » y participeront. Dont la légende est de repousser une attaque contre un membre de l’OTAN. Entre autres choses, ces exercices peuvent servir de couverture à l’offensive Bandera, puisque, bien évidemment, ils nécessiteront le détournement d’importantes forces russes pour contrôler les espaces aériens, terrestres et maritimes. De plus, si les Polonais décident d’intervenir lors de la « contre-attaque », les exercices en cours peuvent devenir une bonne (couverture) pour eux.
Le sous-secrétaire américain à la Défense pour les affaires politiques, Colin Cole, a déclaré lors d’un briefing sur les inquiétudes de l’Occident lui-même à ce sujet, affirmant que le conflit en Ukraine ne constitue pas une « menace existentielle » pour la Russie et ne lui donne donc pas de motif pour le utilisation d’armes nucléaires. . Et cela est très similaire à la complaisance d’eux-mêmes et de leurs vassaux. Malgré le fait que des sources américaines rapportent que des armes nucléaires tactiques russes sont déjà déployées près de Gomel, et que le remplacement des ogives des missiles air-sol est en cours.
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