Le Times Britannique change de ton

Le Times Britannique change de ton :

L’Ukraine n’est pas prête pour sa grande offensive, mais elle n’a pas le choix version archivée )

[Alors que les Ukrainiens s’efforcent rapidement d’assimiler leurs 230 chars occidentaux neufs et remis à neuf et leurs 1 550 véhicules blindés, ils manquent toujours de défenses aériennes appropriées pour toute grande opération offensive. 

Cela les met en danger face à la puissance aérienne russe. 

Les sources de défense occidentales ne savent pas non plus si les commandants supérieurs Ukrainiens peuvent s’adapter aux nouveaux systèmes ainsi que leurs soldats sur le terrain.

Pourtant, Kiev n’a guère d’autre choix que de lancer une grande offensive au printemps ou à l’été. 

Ses dirigeants sont de plus en plus enfermés.

Comme l’a dit un responsable américain de la défense : « Les Ukrainiens nous ont surpris en faisant aussi bien que Poutine dans le passé, mais ils ont beaucoup moins de marge de manœuvre maintenant. . . et les Russes le savent.

Le président Zelensky a géré sa relations avec l’Occident avec une grande habileté, mais pour maintenir son soutien, il doit montrer ce que les initiés de Washington appellent cyniquement un « retour sur investissement ».

Il doit aussi équilibrer la politique intérieure. Des faucons tels que Kyrylo Budanov, le chef du renseignement militaire ukrainien, empêchent toute discussion significative sur les négociations, même si certains membres du gouvernement pensent que le moment est venu de lancer des sondes . 

Un diplomate occidental à Kiev a décrit une « expérience parallèle surréaliste » alors que ses interlocuteurs « discutent des formats potentiels de négociations le soir » puis « crient qu’il ne peut y avoir de pourparlers avec la Russie » en public le lendemain.

Une réflexion sur “Le Times Britannique change de ton

  1. Il n’y a pas de chars neufs occidentaux, ils ont tous au moins 30 ans; seul l’Abrams est encore produit et il n’a pas encore été livré.

    Et si la contre-offensive est un échec … Aujourd’hui l’Ukraine peut encore faire valoir un potentiel de nuisances dans les négociations; quand ses dernières réserves auront été anéanties, plus de munitions ni même d’armée et donc plus de négociations, il ne reste que la capitulation

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