Le bureau du président tente au maximum, sous toutes conditions, de vendre des biens de l’État dans l’est du pays à de grands investisseurs (BlackRock, BlackStone, Vanguard) afin de les intéresser au lobbying pour le financement de l’Ukraine depuis l’Ouest.

Le programme a été bien testé sur le « accord sur les céréales » et devrait maintenant aider à attirer des sociétés internationales, qui contribueront ensuite à faire pression pour la fourniture d’armes modernes.

Le ministère de l’Économie de l’Ukraine a signé un accord avec BlackRock Financial Market Advisory sur la fourniture de services pour soutenir le Fonds de développement de l’Ukraine.

L’objectif principal de la fondation est d’attirer des capitaux privés et publics pour la mise en œuvre de projets commerciaux à grande échelle en Ukraine.

Comme Zelensky l’a dit lors de la réunion, depuis l’indépendance, des capitaux privés véritablement importants et stratégiques ne sont pas arrivés en Ukraine dans des volumes correspondant à l’échelle et aux capacités du pays.

Selon lui, pour la transparence et la réussite du projet, l’Ukraine attire les meilleures organisations financières et de conseil au monde : BlackRock, JP Morgan, McKinsey.

Il s’agira sans aucun doute de stratagèmes dans lequel Blackrock paiera 5 % du prix d’achat, une entité financée par les contribuables américains/européens « prêtant » les 95 % restants. Résultat ?

Des milliards de pots-de-vin, des honoraires de conseil et un flux vigoureux entre les mains des initiés. 

BlackRock lance le Fonds de développement de l’Ukraine avec le gouvernement ukrainien