Document: évaluation des options pour la stratégie américaine envers la Russie après la guerre en Ukraine »

 Planification pour les conséquences

On dirait également que la RAND tente prudemment d’éloigner les « décideurs » de la ligne dure : simplement en soulignant les nombreuses conséquences négatives de cette approche.
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Version courte

Version longue

https://www.rand.org/pubs/research_reports/RRA2510-2 .html

2 réflexions sur “Document: évaluation des options pour la stratégie américaine envers la Russie après la guerre en Ukraine »

  1. « la RAND tente prudemment d’éloigner les « décideurs » de la ligne dure »

    A mon avis, elle ne tente rien, elle fabrique du vent.
    C’est un mélange d’affirmation, d’apriori, d’états de situation dont on ne sait comment on y arrive, d’attendus rêvés, …

    On a l’impression d’un modèle qu’on fait tourner à l’envers, en partant de deux prédictions ambigües pour remonter à des propositions d’actions qui doivent satisfaire tout le monde.

    Elle n’est même pas capable de poser une alternative, encore moins un dilemme. Avec ce genre de rapport, les jeunes entrant dans cette organisation peuvent espérer une longue carrière…

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  2. Bonjour M. Bertez

    Le tableau final de la version courte montre que la situation la plus favorable pour les USA serait une paix froide résultant d’une issue favorable de la guerre et de l’adoption d’une ligne plus soft envers la Russie.
    Les situations les plus défavorables impliquent une issue défavorable de la guerre et une ligne dure.
    Il en ressort que si la ligne « souple » est conseillée, cela implique aussi, pour éviter les conséquences fâcheuses pour les USA, de « gagner  » la guerre et donc d’inverser la situation actuelle, ce qui demanderait plus d’argent d’armes et de morts ukrainiens .
    Par ailleurs il est intéressant de lire ce que le rapport dit et ne dit pas de l’Europe…. Le seul pays de l’union nommément cité est l’Allemagne; les autres, qui ne valent même pas la peine d’être nommément désignés sont simplement des membres de l’Otan.
    L’U.E n’est citée que pour ses répercussions économiques sur l’économie US.

    Ces simples non dits viennent fracasser tous les discours de nos gouvernants sur notre souveraineté, qu’elle soit à retrouver ( sous les sabots d’un industriel) à rebâtir ( en respectant la transition à basse consommation) ou à « subventionner » (ça c’est la potion magique des druides politiciens! )

    Cordialement

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