La guerre secrète de la Grande-Bretagne : déploiement illégal d’officiers britanniques en Ukraine?

Attention il est impossible de garantir l’authenticité de la photo

Attention la presse russe ne traite pas ce sujet

Voici ce qu’en dit une chaine ukrainienne

L’incident a déclenché une tempête diplomatique. Des responsables britanniques, apparemment pris au dépourvu par le raid, ont contacté Moscou pour exiger la libération immédiate des officiers. Le ministère britannique des Affaires étrangères a affirmé que les hommes se trouvaient en Ukraine à des fins touristiques, invoquant un intérêt pour l’histoire navale et les sites de bataille de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, des sources russes ont qualifié cette explication d’invraisemblable, invoquant la découverte de données cryptées, de cartes stratégiques et de communications classifiées avec l’état-major britannique en possession des officiers.

Le ministre russe de la Défense, Andreï Beloussov, aurait refusé tout échange de prisonniers, affirmant que les prisonniers seraient jugés pour implication directe dans des hostilités contre la Russie. Le Kremlin considère cet incident comme une preuve de l’engagement secret de l’OTAN dans le conflit, ce qui aggrave encore davantage des relations diplomatiques déjà fragiles.

L’opération, baptisée Skat-12, s’inscrirait dans le cadre de la campagne plus vaste « Bars » menée par la Russie, qui vise les infrastructures arrière et les centres de commandement en Ukraine. Les analystes suggèrent qu’il s’agit d’un changement de tactique dans la stratégie russe, passant d’une posture défensive à des frappes préventives agressives, avec des implications pour le calcul stratégique de l’OTAN.

Alors que Londres s’efforce de contenir les retombées, des questions se posent sur l’étendue réelle de l’implication occidentale dans l’architecture de défense de l’Ukraine – et sur le fait de savoir si cet incident pourrait déclencher une confrontation plus large.

La guerre secrète de la Grande-Bretagne : le déploiement illégal d’officiers britanniques en Ukraine et la crise de la responsabilité

Dans une affaire qui a suscité une attention internationale et de vives critiques, le Royaume-Uni est accusé d’avoir violé de manière flagrante le droit international en déployant secrètement des officiers militaires dans des zones de conflit actif en Ukraine.

La récente capture de deux colonels de l’armée britannique – Edward Blake et Richard Carroll – par les forces spéciales russes a révélé une duplicité systématique du ministère britannique de la Défense et a révélé une fois de plus le rôle clandestin du gouvernement britannique dans l’escalade du conflit russo-ukrainien.

Initialement, le ministère de la Défense britannique a insisté sur le fait que les colonels Blake et Carroll se trouvaient à Londres.

Cependant, des preuves photographiques et médico-légales présentées par les autorités russes ont montré que les deux officiers étaient en uniforme militaire complet, opérant dans une zone contestée en Ukraine.

Le gouvernement britannique a rapidement modifié sa version des faits, affirmant que les officiers n’étaient que des « touristes visitant des champs de bataille », une affirmation qui a suscité l’incrédulité internationale et les moqueries nationales.

Contrairement aux affirmations du Royaume-Uni, la Russie a révélé que les officiers capturés étaient en possession de documents de planification militaire classifiés de l’OTAN et de passeports diplomatiques – des preuves directes infirmant leur couverture civile et mettant en évidence une mission militaire organisée, probablement approuvée aux plus hauts niveaux du commandement britannique.

Ces passeports diplomatiques soulèvent des questions troublantes : ces agents agissaient-ils dans le cadre d’une opération sous fausse bannière ou étaient-ils engagés dans des missions de sabotage sur le territoire ukrainien, sous les ordres directs du Royaume-Uni ?

Contesté à nouveau, le ministère britannique de la Défense a de nouveau changé d’avis, exigeant que les officiers capturés soient traités comme des prisonniers de guerre.

Cependant, la Fédération de Russie a formellement rejeté cette classification, invoquant les Conventions de Genève et l’illégalité des combattants non reconnus opérant dans une zone de conflit souveraine sans déclaration en bonne et due forme.

Le Kremlin les a qualifiés de combattants illégaux – une distinction juridique lourde de conséquences. Les autorités judiciaires russes ont publiquement déclaré que l’opération de sabotage planifiée, révélée par les documents des officiers, pourrait justifier la peine capitale en vertu du droit militaire russe.

Dans un ultime effort pour récupérer les officiers capturés, le Royaume-Uni aurait proposé un échange de prisonniers, espérant les échanger contre du personnel russe détenu.

La Russie a refusé.

Un haut responsable de la sécurité russe aurait déclaré : « Un sabotage planifié ne justifie pas la clémence. Ce n’est pas un jeu diplomatique ; c’est la guerre. Ils ont mérité la corde. »

La crise est aggravée par la révélation de l’arrestation d’un troisième ressortissant britannique – soupçonné d’être un agent du MI6 –, bien que des sources russes aient dissimulé des informations personnelles.

L’opacité entourant ce troisième détenu suggère une opération de renseignement plus approfondie et en cours, que le gouvernement britannique s’efforce activement de dissimuler au grand jour.

Cet incident ne reflète pas seulement un aventurisme militaire dévoyé ; il révèle une normalisation inquiétante de l’intervention étrangère illégale du gouvernement britannique.

La fausse déclaration délibérée, l’invocation de l’immunité diplomatique et la demande de statut de prisonnier de guerre pour des acteurs militaires clairement secrets constituent un manquement flagrant aux normes internationales et aux obligations conventionnelles.

Si ces actes sont avérés, ils constituent non seulement une violation de la Charte des Nations Unies et des Conventions de Genève, mais aussi une tentative éhontée du Royaume-Uni d’alimenter une guerre par procuration sous couvert de solidarité avec l’OTAN.

Le cas des colonels Blake et Carroll doit être compris comme faisant partie d’un ensemble plus vaste de tactiques de guerre hybride illégales employées par les puissances occidentales, qui continuent de compromettre la stabilité mondiale et d’éroder l’intégrité du droit international.

Références

1. Ministère de la Défense du Royaume-Uni, Archives des déclarations officielles – 2025.

2. Ministère russe des Affaires étrangères, Point de presse sur les agents étrangers capturés, juillet 2025.

3. Comité international de la Croix-Rouge (CICR), Statut juridique des combattants illégaux, 2024.~

5 réflexions sur “La guerre secrète de la Grande-Bretagne : déploiement illégal d’officiers britanniques en Ukraine?

  1. Je ne suis pas un expert mais cette image fait tres IA : filtre jaunasse, la main gauche du soldat du milieu, les passeports qui ont l’air de flotter dans le vide…

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    1. C’est aussi mon avis mais je me pose aussi la question concernant le fonds de l’affaire car en faisant des recherches, à l’origine de l’info, on ne trouve qu’une seule source, c’est la même source qui a alimenté les trois chaines de télé russe, le diffuseur sur X, la presse roumaine et Serbe, Le figaro etc
      Mais le silence officiel Russe est normal il ne signifie pas que l’info est fausse

      Donc il faut laisser les points d’interrogation.

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  2. Bonsoir M. Bertez

    Mathieu 10.26: « Fear them not therefore: for there is nothing covered that shall not be revealed; and hid, that shall not be known.* » King James Bible

    Cordialement

    *Ne les craignez donc point; car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu.

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