« Le masque tombe. Dans un aveu stupéfiant, Larry Fink, PDG de BlackRock, se vante d’un modèle économique mondial fondé sur un accès et une influence sans précédent sur les plus hautes sphères du gouvernement, avant même leur prise de pouvoir.
Ses propos révèlent un plan effrayant : exploiter le contrôle des fonds de retraite des nations (du Mexique au Japon en passant par le Royaume-Uni) pour positionner BlackRock comme un « partenaire » indispensable.
Ensuite, courtiser systématiquement les candidats politiques, non pas comme des électeurs, mais comme des financiers mondiaux, s’assurant ainsi un accès et une influence, quel que soit le vainqueur.
Désormais coprésident du Forum économique mondial, l’influence de Fink est appelée à se formaliser et à s’amplifier. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot ; il s’agit d’un dirigeant d’entreprise décrivant ouvertement une stratégie visant à façonner les politiques et la gouvernance depuis le sommet jusqu’en bas.
La fusion de la mégafinance (BlackRock), de la gouvernance mondialiste (FEM) et de la présélection politique constitue la menace majeure pour la souveraineté nationale et l’intégrité démocratique de notre époque.
C’est le moteur non élu de la machine du « capitalisme des parties prenantes ».
Ce n’est pas un investissement, c’est de l’infiltration. »
Finck activiste auprès des entreprises !
« Nous utiliserons ces informations et nos engagements pour vérifier si les entreprises gèrent et supervisent correctement ces risques au sein de leurs activités et planifient adéquatement l’avenir.
En l’absence d’informations fiables, les investisseurs, dont BlackRock, concluront de plus en plus que les entreprises ne gèrent pas correctement les risques.
Nous pensons que lorsqu’une entreprise ne s’attaque pas efficacement à un problème important, ses administrateurs doivent en être tenus responsables.
L’année dernière, BlackRock a voté contre ou s’est abstenu de voter auprès de 4 800 administrateurs de 2 700 entreprises.
Lorsque nous estimons que les entreprises et les conseils d’administration ne publient pas de rapports de développement durable efficaces ou ne mettent pas en œuvre de cadres pour gérer ces enjeux, nous en demanderons la responsabilité aux membres du conseil ».
Bonjour M. Bertez
Pour réduire la question à un schéma limite: préférez vous que votre pays soit géré par un Larry Fink sélectionné sur ses résultats ou par un émule de Bayrou sélectionné sur sa tchatche malléable?
Dans les deux cas il y a des avantages et des inconvénients, mais Larry Fink avec ses trillions de $ en gestion a plus de possibilités bénéfiques à long terme que l’émule de Bayrou avec ses 3 mille milliards € de dettes.
Si l’on en croit les prédictions de gens comme Geoffrey Hinton ou Yampolski, dans 10 ans l’IA et la robotique auront créé 90%+ de chômeurs.
Que feront-ils de leurs 60 à 80 heures par semaine qu’ils consacraient à leur travail et déplacements associés?
Les dangers de l’IA sont désormais envisagés, lais son bénéfice fondamental , hypothétique en l’état, pourrait être qu’en ayant sorti sapiens sapiens de sa réduction à un élément de chaîne de productivité dans une société de consommation, il pourrait enfin s’atteler à devenir un être humain acceptable – tel que défini par quelques traditions pluriséculaires.
Auquel cas la question de la démocratie et de son fonctionnement actuel deviendrait tout autre.
Après tout, vous l’avez écrit dans un précédent billet: ni « l’élite de la nation » en la personne de Chirac ou de Monod , ni le jeune Tommy de la vidéo n’ont été en mesure d’appréhender pleinement ce que vous tentez d’expliquer sur le taux de profit du capital et ce qui gravite autour de ce facteur clé.
Une démocratie viable et juste peut elle naître et fonctionner sur une telle ignorance et d’une telle incompréhension?
Cordialement
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Bonjour M. Bertez
Pour réduire la question à un schéma limite: préférez vous que votre pays soit géré par un Larry Fink sélectionné sur ses résultats ou par un émule de Bayrou sélectionné sur sa tchatche malléable?
Dans les deux cas il y a des avantages et des inconvénients, mais Larry Fink avec ses trillions de $ en gestion a plus de possibilités bénéfiques à long terme que l’émule de Bayrou avec ses 3 mille milliards € de dettes.
Si l’on en croit les prédictions de gens comme Geoffrey Hinton ou Yampolski, dans 10 ans l’IA et la robotique auront créé 90%+ de chômeurs.
Que feront-ils de leurs 60 à 80 heures par semaine qu’ils consacraient à leur travail et déplacements associés?
Les dangers de l’IA sont désormais envisagés, lais son bénéfice fondamental , hypothétique en l’état, pourrait être qu’en ayant sorti sapiens sapiens de sa réduction à un élément de chaîne de productivité dans une société de consommation, il pourrait enfin s’atteler à devenir un être humain acceptable – tel que défini par quelques traditions pluriséculaires.
Auquel cas la question de la démocratie et de son fonctionnement actuel deviendrait tout autre.
Après tout, vous l’avez écrit dans un précédent billet: ni « l’élite de la nation » en la personne de Chirac ou de Monod , ni le jeune Tommy de la vidéo n’ont été en mesure d’appréhender pleinement ce que vous tentez d’expliquer sur le taux de profit du capital et ce qui gravite autour de ce facteur clé.
Une démocratie viable et juste peut elle naître et fonctionner sur une telle ignorance et d’une telle incompréhension?
Cordialement
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