Bientot le 17 Novembre, le diesel des beaufs contre le vélo des bobos

Macron et ses ou son conseiller ont commis une erreur de débutant: ils ont annoncé des mesures qui concernent l’ensemble des Français  en même temps. Ils ont unifié les Français alors que toute leur stratégie est fondée sur l’inverse, sur la division!

Les élites et leur ingénieurs sociaux pratiquent la  » boiling frog », puis la division du corps social, puis la nazification etc. Ce faisant elles font avaler des mesures qui au fond, en dernière analyse n’ont le soutien que de moins du quart des citoyens. Les techniques sont très au point car elles sont testées dans les différents pays et puis  affinées. Des gens comme Bruegel travaillent sans relache.

On brise les classes, on pulvérise les solidarités; on atomise, puis on prend des mesures parcellaires, divisives, toujours progressives, par étapes . Ainsi on élimine, on passe au dessus des oppositions, en prenant soin de ne jamais attaquer de front.

Ici Macron est parti bille en tête, sans stratégie, sur de lui , de son culot et muni de sa simple arrogance.

Au plan tactique il n’avait qu’un petit bouclier: le prétexte écologique. Il s’est dit qu’en cas de résistance, il allait pouvoir invoquer l’excuse de l’écologie pour couvrir sont nième prélèvement sur la population. Il s’est dit c’est bon: l’écologie est une vague porteuse, elle est noble, « fair », elle justifie les sacrifices. Ah ces fameux sacrifices mis à toutes les sauces qui font des Français des vaches à lait perpétuelles . Et puis s’est il dit, accessoirement je vais jouer les villes contre les campagnes, l’urbain contre le territoire comme le fait la festive Hidalgo  mairesse de Paris, cela a l’air de marcher. Le vélo des bobos contre le diesel des beaufs, quelle bonne idée.

Comment peut on commettre pareille erreur?

Parce que l’on panique. On panique budgétairement car on  ne parvient pas à remplir ses promesses vis à vis des Allemands et plutôt que de choisir de mécontenter Merkel,  alors on se résout à prendre le risque de mécontenter tous les Français, c’est à dire de produire une masse unie devant soi.

Cela confirme mes analyses répétées qui avancent l’idée que le vrai point faible de Macron ce n’est bien sur pas son intelligence, mais son absence totale de jugement.

On peut être intelligent et même un peu cultivé et tout ignorer de l’humain. On ne gouverne pas un pays; en dernière analyse ce sont toujours des hommes que l’on gouverne. L’ENA prédispose aux dossiers, la finance aux chiffres, mais seule la vie, la vraie vie donne les moyens de com-prendre les comportements des hommes. Il faut s’êrte coltiné la vie pour comprendre les hommes.

Nous sommes dans l’art, dans le sang, la sueur, la pisse, la peur, tout ce qui fait l’épaisseur de  l’humain et qui échappe aux rationalisations et aux abstractions. La sueur, c’est plus épais et cela sent plus fort que les digits monsieur Macron.

Les sondeurs qui quantifient passent à côté de l’essentiel et les ingénieurs sociaux certes manipulent les comportements et créent de la mêmitude, mais personne à ce stade n’a créé une génétique, un OGM social qui permettent de faire avaler toutes les pilules et tous les répulsifs..

L’humain est affaire de jugement, d’art, d’expérience, d’empathie,  pas affaire de bouquins.  Et puis pour les conduire il faut aimer et respecter les hommes.

Cet homme ne sait pas juger, peser, apprécier. Et comme il est seul, peut être avec Brigitte, alors personne ne peut lui servir de garde fou, personne ne redresse ses mauvaises appréciations. Macron n’a pas de relais qui lui fait remonter ce qu’il considère comme la puanteur du bas vers le haut.

C’est évident l’impôt sur l’énergie est un des impôts les plus séduisants car il est inclus dans une consommation large qui n’a pas très bonne presse comme le tabac, mais l’impôt sur l’énergie touche tout le monde et son gros défaut, lorsqu’un certain seuil est dépassé, son gros défaut quand une dose  de confiscation est atteinte, son gros défaut donc c’est d’être fédérateur. Surtout au début de l’hiver, surtout quand les transports en commun, SNCF en tête sont défaillants . Surtout quand on vient de payer les impôts locaux, surtout quand on a en ras le bol de Macron. C’est la célèbre goutte d’eau ou le très populaire fétu de paille qui brise le dos du chameau.

Macron a tout faux.

Et il s’empêtre avec ses contre mesures idiotes qui consistent à maintenir ses ponctions tout en construisant des usines à gaz ( sic) qui ne sont manifestement destinées quà séduire les bobos comme les subventions aux voitures électriques dont il ignore jusqu’au prix. Comme si le ménage qui a un vieux véhicule diesel, sa chaudière au fuel, ménage menacé de précarité avait les 26 000 euros à sortir pour bénéficier des primes Macron!

Malgré ses erreurs, Macron a des alliés, en tout premier lieu, les syndicats, dont la CFDT qui adore le jaune qui est son emblème. Les partis aussi boudent le rassemblement populaire, diable, on ne va pas mélanger les torchons populaires avec les serviettes hygiéniques politiciennes! Chacun à sa place, ce ne sont pas les petits messieurs en costume trois pièces qui vont défiler dans les rues avec les beaufs quand même.

Je souris avec plaisir de l’ingéniosité et de la créativité populaire: quelle belle invention spontanée que ces gilets jaunes. Tout un symbole que chacun reconnaît sans hésitation et puis quelle leçon spontanée de marketing. Le peuple adopte tout de suite un emblème, qu’il comprend: les gilets jaunes Il a compris. Il se fait baiser sur les mots d’ordre des communicants du pouvoir, vous savez ces communicants ignobles qui créent des slogans récupérateurs pour bénéficier des retombées des attentats, vous savez ces slogans qui nous vendent du collectif, eh bien le peuple a retenu la leçon et il en crée lui aussi des symboles!

Bravo.

Mélenchon a vu l’essentiel, je vous invite à le lire ci dessous.

Mais lisez et apprécier ce que je mets en extrait. Quel dommage que ce soit la encore une formulation d’intellectuel à la sauce de gôche parce que tout est dit. Il faudrait que quelqu’un se mette au travail pour enfin être capable parler au peuple nom de nom! Comme je ne cesse de le dire, un peuple cela ne préexiste pas, un peuple cela se construit,  par la parole, par la parole juste.

Mélenchon:

« En effet, dans cette circonstance, le peuple se fédère sur une revendication sociale qui concerne son existence matérielle élémentaire. Car les ruinés de l’augmentation ne rouleront pas moins. Ils ne le peuvent pas. Mais ils se nourriront, se soigneront ou se chaufferont moins. La hausse du prix du carburant frappe davantage que le réservoir de la voiture et le budget transport des familles. Elle déclenche aussi une prise de conscience plus globale de la critique du système de production, de consommation et d’échange construit sur un modèle d’organisation du territoire où rien n’est possible sans voiture. Le 17 novembre se construit comme un épisode à l’intérieur d’un rejet plus global et profond de tout un monde. Voilà ce qui se joue le 17 novembre. »

 

La semaine politique de l’itinérance mémorielle et de la célébration du centenaire du 11 Novembre 1918 aura été une étape significative de la décomposition politique du régime macroniste. À l’heure où s’effondraient des immeubles, des balcons et des escaliers à Marseille, comme une allégorie cruelle de ce sur quoi débouche l’abandon des populations en régime économique libéral, le trône de la monarchie présidentielle s’écroulait d’une halte à l’autre sous des interpellations ajustés. Et pendant ce temps montait la colère populaire contre le détroussage qu’est l’augmentation des prix du carburant. Si bien que l’épisode de la réhabilitation de Pétain se présenta comme une confusion de plus, ruinant tout le sens de « l’itinérance mémorielle » elle-même, et privant en quelques mots la présidence actuelle de la légitimité que l’Histoire confère a ceux qui exercent cette fonction. 

Car on ne gouverne pas la France contre son Histoire. Pétain ne prit pas de « funestes décisions » mais mena une politique de collaboration avec l’envahisseur et d’anti sémitisme contre les Français. Cela fait de lui un traitre et un criminel condamné à l’indignité nationale.

On en était là quand Trump se mit à insulter la France et son combat anti-nazis. À la même heure, madame Merkel se prononçait devant le parlement de Strasbourg pour une armée européenne dans le cadre de l’OTAN.

Et Macron se laissa balader d’un bout à l’autre de chaque séquence comme s’il n’avait plus aucune prise sur les évènements.

Et de fait, en ce moment, il n’a plus de prise sur les évènements.

Son quinquennat est donc à la merci d’évènements comme celui qui murit dans le peuple profond à propos du 17 novembre. Partout, celui-ci se présente comme un phénomène d’auto-organisation populaire. Beaucoup annoncent vouloir y participer activement. Ici et là des réunions préparatoires extrêmement importantes se tiennent pour organiser le blocage des rues et routes. Il va de soi que les menaces du nouveau ministre de l’Intérieur Castaner contre « les tentatives de blocage total » sont devenus aussitôt un puissant encouragement à essayer de le réaliser. Je ne crois donc pas exagérer en disant que le 17 novembre sera un évènement clef, peut-être un tournant de la situation politique de notre pays.

Pour ma part, comme la plupart des porte-paroles de notre Mouvement, je souhaite le succès de la journée de blocage du 17 novembre. J’invite mes amis sur le terrain quand ils sont d’accord avec cette idée à participer activement à la réalisation des actions en y apportant toute leur expérience militante. Et bien sûr, je leur demande et leur recommande de veiller bien scrupuleusement de ne prendre aucune attitude qui réduise la signification de l’action à celle d’une famille politique en particulier. Pour que le mouvement s’épanouisse, pour qu’il contamine dans les jours et les heures qui suivront, il faut qu’il soit le plus large, le plus ouvert, le plus inclusif possible. Pour cela, la récupération politique de l’extrême droite à été très nuisible. Elle a fourni un prétexte tout trouvé pour écarter de l’action des gens qui aurait voulu s’y engager. Ne pas commettre l’erreur parallèle est un impératif pour nous.

En effet, dans cette circonstance, le peuple se fédère sur une revendication sociale qui concerne son existence matérielle élémentaire. Car les ruinés de l’augmentation ne rouleront pas moins. Ils ne le peuvent pas. Mais ils se nourriront, se soigneront ou se chaufferont moins. La hausse du prix du carburant frappe davantage que le réservoir de la voiture et le budget transport des familles. Elle déclenche aussi une prise de conscience plus globale de la critique du système de production, de consommation et d’échange construit sur un modèle d’organisation du territoire où rien n’est possible sans voiture. Le 17 novembre se construit comme un épisode à l’intérieur d’un rejet plus global et profond de tout un monde. Voilà ce qui se joue le 17 novembre.

Les partisans de L’Ere du peuple et de la « théorie de la révolution citoyenne » ne s’y tromperont pas. Ils reconnaîtront dans les évènements en cours une confirmation de leur thèse sur les formes de l’activité populaire de notre époque. L’incroyable retrait des confédérations syndicales, celui des partis et journaux de la « Gauche », reproduit jusqu’à la caricature un clivage désormais constant. Il a déjà opposé nos objectifs de fédération du peuple avec l’avant-gardisme ordinaire de tous ceux qui ne croient pas à la capacité d’auto-organisation populaire. Il continue dans cette situation par une méthode ou macronistes et avant-gardistes se retrouvent unis pour manifester une « compréhension » de la colère populaire qui exalte un paternalisme désuet puisqu’il se combine avec le refus de la participation à l’expression de cette colère. Le communiqué d’Europe-Écologie-les-Verts est, de ce point de vue, un monument de cette bonne conscience arrogante si socialement typée.

À l’inverse, en faisant le pari d’une conscience écologique en construction dans cet épisode, le discours de Mathilde Panot à l’Assemblée Nationale recueille 3 millions de vues. Cela exprime quelque chose de particulièrement fort. L’appel des personnalités éco-bloqueurs du 17 novembre va encore dans ce sens. Notre capacité à lier la lutte du 17 au champ de l’écologie politique globale dont nous nous réclamons est décisive pour la suite. Cela n’est pas un placage de discours. Au contraire. La brutalité et la grossièreté des attaques visant à culpabiliser la conscience écologique populaire pousse celle-ci à vouloir s’affirmer, et c’est notre devoir d’en être une expression.

Tout cela ouvre un clivage une fois de plus. Mais il n’est pas rédhibitoire. D’un certain point de vue, il est même sain. Il fixe les idées et les ressentis. Certes, la « gauche » reste l’arme au pied et distribue des pensées profondes moralisantes. Mais ce discours n’a aucun impact sur la réalité. Sur le terrain, peu s’en soucient ! Bien sûr, nous devons ramener les gens de « gauche » au peuple. Mais par-dessus tout faire ce qui doit être fait pour le succès de l’action populaire elle-même. De là viendra confiance en soi et volonté d’agir de nouveau. Les formes d’auto-organisation sur le terrain et les discussions sont autant d’acquis pour la prise de conscience du très grand nombre.

Et c’est un point d’appui essentiel pour le processus d’insoumission générale auquel nous travaillons.

7 réflexions sur “Bientot le 17 Novembre, le diesel des beaufs contre le vélo des bobos

  1. Le récit des turpitudes macronesques évoquent sauf quelqu’un d’intelligent.

    Et sa non compréhension de la nature de l’identité allemande et de la parfaite compréhension des allemands que jamais les italiens, les espagnols, les français ne seront des partenaires fiables selon les critères allemands (rapport à la loi, aux traités, à l’argent, au capitalisme, …) relève également d’une erreur de plus haut niveau : Macron n’a pas modélisé correctement l’Allemagne et va donc planter son quinquennat uniquement avec cette erreur, puisque tout repose là dessus.

    Le reste montre qu’il n’est pas uniquement mauvais sur les modèles mais également qu’il ne connait pas la vie des français.

    Ce type n’est qu’une enflure égotique, ce qui produit erreur de jugement sur erreur de jugement.

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  2. « Le diesel des beaufs contre le vélo des bobos » titrez-vous.

    Effectivement, il y aurait plusieurs remarques à faire :
    – Sur le Diesel, la France est devenue championne d’Europe (70%) avec 5 autres pays sur 30 pays européens ou le Diesel est majoritaire dans le parc roulant.
    Haro sur le Diesel qu’ils disent au gouvernement … et pourtant, n’est-ce pas justement ceux-la qui l’ont tant favorisé fiscalement depuis plusieurs décennies avant de faire volte face ? On attend avec impatience sur le Haro sur l’Essence dans 20 ans une fois que l’on aura fini la lutte contre le Diesel …
    https://www.lesechos.fr/10/04/2014/LesEchos/21666-088-ECH_diesel—les-raisons-d-une—exception-culturelle—francaise.htm
    https://fr.euronews.com/2018/01/10/voitures-en-europe-le-diesel-n-est-pas-mort

    – Sur les transports en commun, je les utilise des que je peux (circuler en grande agglomération relevant de plus en plus du sado masochisme …) mais l’un de nos chers ministrables a t’il déjà pris le moindre RER/Tram/Metro a l’heure de pointe ? Tenter de ramener deux semaines de courses à pied ?

    – Sur la désertification des centres-villes au profit des centres commerciaux, qui s’en étonne ? Entre la réduction du nombre de places de stationnement, certains aménagements urbains, l’augmentation du nombre de places payantes ainsi que de leur prix (C’est une exception certes, mais dans Paris intra muros, on est rendu à 4e de l’heure … quand le stationnement coute autant que le prix du repas !).
    Aujourd’hui les bouchons sont dans les centres villes mais alors maintenant c’est pour aller au centre commercial.

    – Petite parenthèse historique, sur les CC et la « grande distribution », grande fierté française mais dommageable pour les petits commerces/filières de production/agriculture, je ne peux que constater qu’avec une certaine ironie que l’industrialisation et la modernisation à marche forcée de la France sous De Gaulle n’y est sans doute pas pour rien. C’est aussi le début de la bétonisation et l' »enlaidissement » des villes.
    Qui aurait pu imaginer que cela finirait comme cela ?

    – Enfin sur la ville en elle-même, pour en revenir au titre du billet.
    Il est facile de se gargariser d’être écolo avec les transports en commun en ville et de pointer les méchants automobilistes de la périphérie urbaine, mais la ville, sans les transports routiers, qu’est ce que c’est ?
    Qui va livrer les supermarchés pour que les rayons soient pleins ? Et les animaux, ils sont élevés en ville également ? Les légumes ça pousse dans le béton ? Les usines produisent-elles en ville ?
    En bref, l’opposition ville/campagne est profondément stupide, la ville sans la campagne n’est pas grand chose, de même que les ruraux en sens inverse ont parfois besoin d’y aller également.

    – La ville étouffe mais ce n’est pas gagné pour le retour à la campagne !
    Avec la disparition des services de proximité, c’est un cercle vicieux qui n’est pas près de s’interrompre.
    – de population -> – de services/commerces -> – de population -> – d’attraits pour attirer des services/commerces -> encore – de population …

    Un dernier « élargissement » :
    Nous sommes passés d’une économie industrialisée à une économie de services/loisirs (avec notamment le grand retour du paiement du travail à la tache style chauffeurs/livreurs « Uber » … quel grand progrès de la modernité !), qui finira en cul de sac …
    Si la « grand gamelle économique » arrive, et qu’en plus les petits sous de l’état en plus se font rares, quand les services se feront rétamer (Il faudra bien choisir entre le paquet de pâtes et la sortie restaurant/cinéma/service de ménage …), qu’adviendra t’il de l’économie de services tout court ? On en reviendra à l’industrie, à la terre ? En somme … à la campagne ?

    H.S : Encore merci pour votre blog, qui est un petit phare bien nécessaire dans cet océan de merde médiatique. Je me joins à d’autres lecteurs quand à une éventuelle publication d’un recueil de vos si précieux éditoriaux.

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  3. J’aime bien « …la récupération politique de l’extrême droite a été très nuisible. »
    Il est vrai que pour un Mélenchon le peuple ne saurait être que de gauche donc il ne peut être accusé de récupération, les autres c’est que des fachos ou en voie de le devenir…
    Je sais bien qu’il n’y a, pour l’instant, personne qui ait de l’envergure à droite mais j’ai du mal à comprendre votre admiration (?) pour ce type.
    Faut-il pour s’opposer à l’ordure hyper-néo-libéralo-mondialiste encenser l’ordure lénino-trotskyste ?

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    1. Monsieur, votre texte est déplacé. Nous ne sommes pas dans un média MSM ici mais dans un « service » dont l’objectif est de faire progresser la compréhension de notre époque.

      Au lieu de l’ignorer je le publie car il me sert à illustrer la division que je déplore; vous tombez dans le piège tendu par les élites, vous crachez sur Mélenchon. tout comme d’ailleurs Mélenchon crache sur vous avec un mauvaise foi tout à fait égale.

      Il faut être singulièrement obtus pour trouver que j’admire Mélenchon, mais là n’est pas l’essentiel, l’essentiel se trouve dans le fait, que vous reconnaissez, que le personnel politique dit de droite est très en dessous de la barre qu’il faudrait franchir pour prétendre être compétent.

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  4. Macron correspond assez précisément à la définition du con donnée dans la recension suivante : « le con serait quelqu’un qui manque d’intelligence émotionnelle et reste abusé de lui-même tout en abusant des autres du fait de son égocentrisme. »

    https://www.challenges.fr/entreprise/vie-de-bureau/comment-reperer-et-eviter-ses-collegues-les-plus-cons_625594?fbclid=IwAR1sho_jiUIVwl96wYcyk1ff4ognfTS8dVKLpnldYFBt1iVvgSM-CZfVBgU

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