Editorial. Un texte fondamental ou je réexplique tout. Votre avenir

Lisez ce texte s’il vous plaît. Et surtout jusqu’au bout. 

Je n’y peux rien si c’est compliqué, j’essaie de simplifier mais je ne m’aventure  pas à vulgariser car alors, cela deviendrait faux.

Comme je le dis souvent, si c’était simple ils ne vous baiseraient pas aussi facilement et durablement.

l’analyse de la situation japonaise et des dernièrs developpemnt est importante pour comprendre, mais c’est plutot une illustration didactique.

Kikuo Iwata, ancien de la Banque du Japon  vient de déclarer que le Japon doit se préparer à augmenter les dépenses budgétaires en même temps que les dettes du secteur publiques contrôlées par la Banque Centrale.

C’est une nouvelle étape dans la déchéance du système:

On passerait ainsi à l’augmentation des déficits financés directement par la création monétaire et distribué directement aux agents économiques, aux citoyens, sans faire le détour par le  système financier et bancaire.

En fait c’est le vrai « helicopter money » que Bernanke avait conçu dans ses premiers conseils aux autorités japonaises , il y a fort longtemps. Vous avez le référence de Bernanke ci dessous.

L’argent irait directement dans le système , il serait dépensé et on résoudrait le fameux problème de la Transmission, on n’aurait plus besoin de compter sur le Ruissellement.

Cliquer pour accéder à bernanke_paralysis.pdf

Ce qui se passe au Japon préfigure ce qui va  se passer pour les grands pays occidentaux. j’ai écrit à de nombreuses reprises que le japon, la japonification sont  notre avenir.

Pour deux raison:

-les problèmes à résoudre sont les mêmes, la crise est de même nature

-les théories  pour les aborder sont les mêmes elles sont issues des analyses fausses de la crise de 1929 de Bernanke et de Milton Friedman.

Le Japon est notre avenir, c’est à dire que notre avenir est la Longue Depression, le trashing (avilissement)monétaire, et finalement la destruction de l’ordre social.

Pour l’instant nous n’en sommes qu’à l’Acte I c’est à dire que  les autorités ont encore beaucoup de temps devant elles, ce que je ne cesse de répéter sous la forme: leur seul pouvoir est de retarder l’inéluctable, ce sont les Maitres du temps.

 

Cet ex gouverneur de la Banque du Japon,   Kikuo Iwata, en fait a adopté la MMT; la théorie monétaire à la mode , le Chartalism; théorie qui prétend que les dettes souveraines n’ont aucune importance et qu’un gouvernement ne peut tomber en faillite dès lors qu’il est capable d’imprimer sa propre monnaie.

J’ai traité ces derniers temps de l’escroquerie socialiste de la MMT et hier Powell de la Fed a confimé mes analyses, c’est une escroquerie intellectuelle désespérée des gauches ou pseudo gauches pour trouver un programme face à tous les échecs. La réalité est que les gauches n’ont rien à proposer sauf un « backstop » du capitalisme financier par la création de monnaie/dette  et finalement par  l’hyper inflation.

Les gauches sont tétanisées car elles veulent conserver le système actuel puisqu’il est favorable à leurs bailleurs de fonds, les ultra-riches fabiens; confère Varoufakis, Corbyn, Sanders   et les keynesiens dits modernes, héritiers de Keynes et Minsky..

La MMT n’est pas radicale, non elle est désespérée!

Moi je suis radical car je propose, dans le cadre de mon diagnostic de sur-accumulation du capital,  la confiscation/euthansaie partielle de la fortune mal gagnée des ultra-riches et ploutocrates lesquels se sont gavés par l’argent tombé du ciel, grâce au pillage du bien commun, la monnaie.

Mes propositions sont d’abord la neutralisation de l’excès de capital qui plombe notre système et en particulier l’euthanasie du capital fictif et ensuite le retour a une politique monétaire orthodoxe ou la monnaie cesse d’être  adossée aux dettes; cessez le désordre monétaire et le système recommencera à tourner rond.

Eux, ces neo keynesiens préfèrent maintenir en vie tout le capital excédentaire, les dettes et les fausses valeurs boursières  et surexploiter les salariés pour le maintenir en vie et ainsi assurer sa profitabilité.

Eux veulent refaire au niveau mondial le coup de la Grèce, moi je veux la destruction des dettes que l’on ne peut honorer sans détruire les classes moyennes et salariées; ils veulent sauver les ultra riches, moi je veux sauver la base de nos sociétés démocratiques: les classes moyennes! 

 

Les dernières indications en provenance du Japon vont dans mon sens, le japon s’enfonce:

The best measure of activity in manufacturing, the Nikkei manufacturing PMI, declined to 48.5 in February 2019, the lowest reading since June 2016, as both output and new orders declined at faster rates.

Meanwhile, business confidence weakened for the ninth straight month.

In Q4 2018, Japan’s national output stagnated.  There has been zero growth compared to the end of 2017.

That compares with average annual growth of 2% since the 1980s.

Iwata fut l’architecte des dernière mesures prises par la Bank of Japan, mesures connues sous le nom de QQE et qui furent un échec.

Le QQE fut un programme d ‘achats de titres à la fois  “quantitative and qualitative easing” (QQE). Il n’a pas boosté l’économie ou l’inflation, il est un colossal échec. Ni l’économie ni les revenus des ménages n’ont progressé.

Le GDP du pays par tête n’a progressé légèrement que parce que .. la population a baissé.

Le Japon ne connait un pseudo plein emploi que parce que la force de travail diminue et surtout parce qu’il s’enfonce dans la misère; le travail à temps partiel qui était de 19% en 1996  est à 35% maintenant! les pauvres représentent 15,3% de la population contre 12%!

Je vous répète: le japon, la japonification sont  notre avenir.

Pour lutter contre la longue dépression et  la stagnation séculaire on  veut continuer dans la même direction des déficits et de la monétisation accélérées; et c’est exactement ce que veulent faire nos dirigeants; la différence  est que l’on sera plus cynique, plus direct, on financera les déficits par le création monétaire, par le printing , par la fausse monnaie tombée du ciel. Et bien sur par les contrôles, la surveillance et la répression.

Ecoutons notre Iawta: il dit que c’est la seule option qui reste! Nous devons utiliser un mécanisme qui distribue la monnaie dans l’économie de façon directe et permanente.

Fiscal and monetary policies need to work as one, so that more money is spent on fiscal measures and the total money going out to the economy increases as a result,” That’s the only remaining policy option because “the BOJ’s current policy does not have a mechanism to heighten inflation expectations. We need a mechanism where money flows out to the economy directly and permanently.”

Les QE ne marchent pas parce que les banques thésaurisent l’argent dans les dépôts et les réserves , donc il faut court circuiter les banques.

Toutes ces idées ont pour origine le Bernankisme et le Draghisme qui veulent nous faire croire que le mal est la sous consommation, la demande insufisante; ils ne veulent pas reconnaître que le mal c’est l’excès de capital et de dettes, ils veulent préserver les capitalistes, surtout les financiers en faisant reporter  la crise sur le peuple. On reporte la crise sur le peuple par le printing, par la dilution de la monnaie , c’est à dire en détruisant la fonction de réserve de valeur  de la monnaie; en faisant en sorte qu’elle ne devienne plus qu’un « jeton » favorisant les échanges.

Au passage il faut créer une société sans cash pour  forcer les gens à dépenser , une société de dépendance ou la prévoyance ne servira plus à rien puisque la monnaie épargnée sera progressivement amputée.

L’avenir c’est une société sans cash dans laquelle les banques et les gouvernements vous forceront à aller vers une monnaie digitale et crypto ce qui bien sur aura pour objectif de leur donner la possibilité de dévaluer vos avoirs sans  que vous puissiez vous protéger.

La  version  FMI. Il faudra rendre la détention de cash très couteuse , écoutons le FMI

“In a cashless world, there would be no lower bound on interest rates. A central bank could reduce the policy rate from, say, 2 percent to minus 4 percent to counter a severe recession. The interest rate cut would transmit to bank deposits, loans, and bonds. Without cash, depositors would have to pay the negative interest rate to keep their money with the bank, making consumption and investment more attractive. This would jolt lending, boost demand, and stimulate the economy.  One option to break through the zero lower bound would be to phase out cash”

.Mais le cash, leur ennemi est encore roi!

Document pour les spécialistes: incroyable mais vrai!

Si quelqu’un veut le traduire, je n’ai pas le temps; merci d’avance 

The proposal is for a central bank to divide the monetary base into two separate local currencies—cash and electronic money (e-money).

E-money would be issued only electronically and would pay the policy rate of interest, and cash would have an exchange rate—the conversion rate—against e-money.

Shops would start advertising prices in e-money and cash separately, just as shops in some small open economies already advertise prices both in domestic and in bordering foreign currencies.

Cash would thereby be losing value both in terms of goods and in terms of e-money, and there would be no benefit to holding cash relative to bank deposits. “This dual local currency system would allow the central bank to implement as negative an interest rate as necessary for countering a recession, without triggering any large-scale substitutions into cash.”

This IMF idea comes hard on an actual attempt by a government to ‘devalue’ cash.

Two years ago, the Indian government under Modi overnight abolished high-denomination banknotes. The government claimed the aim was to flush out ill-gotten gains by rich Indians hiding their earnings in cash to avoid tax.  But it was the Hindu poor, in the rural areas particularly, who were most hit by this ‘demonetisation’.

Two-thirds of Indian workers are employed in small businesses with less than ten workers – most are paid on a casual basis and in cash rupees The demonetisation was supposed to attack corruption and tax evasion, but it seems to have had little effect on that.

Indeed, lots of rich Indians made ‘private arrangements’ to obtain new bank notes and avoid having to declare monies into bank accounts..

 

12 réflexions sur “Editorial. Un texte fondamental ou je réexplique tout. Votre avenir

  1. Ping: brunobertez
  2. Monsieur Bertez, Voici une version possible du texte anglais que vous avez soumis à traduction à la fin de votre article. Bien cordialement . Henri Roulleau .

    La proposition pour une banque centrale consiste à diviser la base monétaire en 2 monnaies locales séparées : le cash et la monnaie électronique (ou e-monnaie). La monnaie électronique serait émise uniquement par voie électronique et financerait a politique des taux d’intérêt alors que le cash aurait un taux de change (ou de conversion) par rapport à l’e-monnaie. Les commerces devraient commencer à afficher les prix séparément en e-monnaie et en cash, comme certains commerces de certaines petites économies ouvertes qui rendent déjà publics les prix, à la fois en monnaie locale et dans la monnaie du pays voisin. Par ce moyen, le cash perdrait en valeur aussi bien en terme de biens qu’ en terme d’e-monnaie et cela ne procurerait aucun bénéfice d’en détenir par rapport à un dépôt bancaire. Ce système de monnaie locale duelle permettrait à la banque centrale de mettre en œuvre des taux d’intérêt négatifs autant que nécessaire pour contrer une récession sans avoir à utiliser à grande échelle des moyens de substitution au cash. Cette idée du FMI tombe à pic et repond à une attente actuelle des gouvernements pour dévaluer le cash. Il y a 2 ans, le gouvernement indien de Monsieur Modi a supprimé du jour au lendemain les plus grosses coupures. Le gouvernement prétendait que le but visé était d’assainir le marais des profits frauduleux réalisés par les riches Indiens qui dissimulaient leurs revenus en cash pour éviter les taxes. Mais ce furent surtout les Indiens pauvres des régions rurales qui furent le plus touchés par cette démonétisation. Les deux tiers des travailleurs Indiens travaillent dans des petites entreprises de moins de 10 personnes et la plupart sont rémunérés sur une base « cash » en roupies. La démonétisation était censée s’opposer à la corruption et à l’évasion fiscale mais il semble que cela n’ait eu que peu d’effet sur ce plan. En fait, la plupart des riches Indiens procèdent à des « arrangements privés » dans le but d’obtenir de nouveaux billets de banque pour éviter d’ avoir à déclarer leur fonds sur leurs comptes bancaires.

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  3. Les économistes du Fonds monétaire international (FMI) ont laissé entrevoir la création par les banques centrales de deux monnaies distinctes – la monnaie électronique et les espèces – afin de permettre aux taux d’intérêt négatifs qui seront probablement nécessaires pour faire face aux futures récessions.
    Il y a dix ans, de nombreuses banques centrales ont abaissé leurs taux directeurs à zéro pour s’attaquer à la crise financière mondiale. Mais, avec des taux toujours bas, ces banques ne disposent plus de la même capacité de réduction – à moins de trouver le moyen d’obtenir des taux d’intérêt négatifs.

    Se débarrasser de l’argent est le moyen le plus souvent cité pour y parvenir. Selon le FMI, sans liquidités, « les déposants devraient payer le taux d’intérêt négatif pour conserver leur argent en banque, ce qui rendrait la consommation et l’investissement plus attractifs. Cela aurait pour effet de secouer les prêts, de stimuler la demande et de stimuler l’économie ».

    Mais éliminer les liquidités, du moins à court terme, est un rêve pour presque tous les pays. Au lieu de cela, le FMI a déclaré que les banques centrales pourraient scinder la base monétaire en deux monnaies locales distinctes: la monnaie en espèces et la monnaie électronique.

    La monnaie électronique paierait le taux d’intérêt directeur et les espèces auraient un taux de change contre la monnaie électronique.

    Le FMI explique: « Ce taux de conversion est essentiel pour la proposition. Lorsqu’elle fixe un taux d’intérêt négatif sur la monnaie électronique, la banque centrale laisse le taux de conversion de la trésorerie en monnaie électronique se déprécier au même taux que l’intérêt négatif taux sur la monnaie électronique. La valeur de l’argent liquide baisserait ainsi en termes de monnaie électronique.  »

    Par exemple, le prêteur pourrait annoncer un taux d’intérêt négatif de 3% sur un dépôt de 100 dollars aujourd’hui et la banque centrale pourrait annoncer que les dollars en espèces deviendraient une monnaie distincte qui se déprécierait de 3% par an par rapport aux dollars électroniques.

    Le taux de conversion des dollars en espèces en dollars électroniques passerait donc de 1 à 0,97 sur l’année. Après un an, il resterait 97 dollars en argent dans le compte bancaire. Si le client en retirait aujourd’hui 100 dollars et le gardait chez lui pendant un an, son échange en monnaie électronique après cette année rapporterait également 97 dollars en argent.

    « Dans le même temps, les magasins commenceraient à afficher les prix séparément en monnaie électronique et en espèces, tout comme les magasins de certaines petites économies ouvertes affichent déjà des prix en monnaie nationale et en monnaie étrangère voisine. Les espèces perdraient ainsi de la valeur en termes de biens et en termes de monnaie électronique, et il n’y aurait aucun avantage à conserver des liquidités par rapport aux dépôts bancaires « , a déclaré le FMI.

    Les économistes disent que le système de double monnaie pourrait être mis en place avec de légers changements dans les cadres de fonctionnement des banques centrales, mais admettent que des questions de droit monétaire devraient être abordées et qu’un « énorme effort de communication » serait nécessaire. (traduction google pas mauvaise ma foi )

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  4. D’ici à ce que la société fonctionne sans cash , un fantasme d’une élite , l’Histoire d’ici là aura fait le ménage et personne n’a la science divine à savoir ce que sera le monde demain,. Ce scenario du sans cash en est un parmi tant d’autres. Nous sommes dans la science fiction économique ou presque …

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  5. PS : pour vous faire toucher du doigt la misère noire dont je parle à propos de mes oncles et à laquelle ils savaient qu’ils avaient échappé, grâce à l’usine, voici une anecdote vraie : un de leurs voisins paysans s’est pendu dans les années trente, de désespoir.
    Lorsque les gendarmes sont arrivés dans la grange, la voisine, une vieille, a désigné la corde misérable et bouffée jusqu’à l’os à laquelle il pendait, mort et a dit, en patois bigourdan :  » quelle honte quand même ! vous croyez pas qu’il aurait pu utiliser une corde mieux que celle là ? »
    Oui monsieur Bertez, miséreux jusque dans la fin de soi, et même pas en mesure de se pendre dignement.
    Mais qui s’en souvient encore ?

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  6. Merci M Bertez.

    Vous savez ce qui me choque le plus ? C’est que je suis persuadé que ces mesures de fieffés coquins ne trouveront pas d’opposition ni quoi que ce soit à redire de la part de la majorité de la population.

    Beaucoup vivent déjà à crédit, beaucoup n’ont aucune épargne, peu réfléchissent et on dira à ceux-là que c’est bon pour eux, puisque cela garantira la pérennité des aides sociales qu’ils perçoivent.

    Les autres, les classes moyennes ont encore trop à perdre pour se révolter.

    Quant à essayer de comprendre la scélératesse de cette démarche qui sauve le wealth effect et le capital fictif des ultra riches, qui, à part vos quelques lecteurs, a l’air de s’en soucier ?

    Et pourtant, hier encore, je traversais Bagnères de Bigorre. Le maire est un copain à notre président soit dit en passant.

    La ville crève ( elle avait autrefois une usine prospère, Soulé) mais les abords sont couverts de centres commerciaux.
    De quoi vit un modèle économique basé sur des centres commerciaux, et non plus des usines, si ce n’est de dette fournissant des aides sociales, de dette payant des salariés fonctionnaires…, pour faire fonctionner lesdits centres ?

    Alors pour que ça dure, il faut aller vers ce que préconise le FMI.

    Pas le choix !

    Qui comprend cette évidence ? Moi, parce que j’ai le souvenir des récits de mes oncles paysans pauvres, qui crevaient de faim dans leur jeunesse ( ils braconnaient des truites dans les rivières et les vendaient aux restaurants des thermes de Capvern, en faisant boire jusqu’à le saouler le garde pêche pour qu’il la ferme pour gagner quatre sous) crever de faim vraiment ! leur père avait été tué en quatorze ben oui c’était le lot de beaucoup de gosses à l’époque… des oncles vivre dans la misère noire jusque les années cinquante, dans les Barronies, région entre Bagnères de Bigorre et Lannemezan, jusqu’à ce que Pechiney et son usine d’aluminium les sorte de la misère dans les années soixante, et que la dette et la retraite à soixante ans prennent le relais dans les années quatre-vingt, puisque Pechiney allait fermer. La dette miraculeuse, le laudanum social des temps modernes. Eux, qui sont morts ou ont quatre-vingt dix ans, eux ont le recul et certains en plus l’intelligence paysanne pour comprendre votre propos. Oui. Intuitivement ils le comprendraient s’ils étaient sur internet. Suffit d’écouter mon vieux père s’exclamer chaque fois qu’il passe devant ces centres commerciaux :  » et ils vivent de quoi, ces gens, sans aucune usine ? »

    C’est si bien résumé. Si naïf mais si vrai !

    Je n’ai pas votre talent de mise en forme mais vous aurez compris le sens de ma démonstration.

    Continuez, ne lâchez rien. On a besoin de personnes comme vous pour mettre en forme nos intuitions, les expliquer à l’aune d’une analyse rigoureuse, implacable.

    Encore une fois merci !

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  7. L’Avenir, c’est de séparer le moyen de paiement, de la réserve de valeur, l’antagonisme entre les épargnants et les débiteurs.
    En aucun cas une crypto est une réserve de valeur.
    Il n’y en a qu’une, elle a 5000 ans d’histoire derrière elle.

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