Editorial: la Grande Réinitialisation n’est pas un mythe, elle a pignon sur rue.

Pourquoi les gouvernements occidentaux agissent-ils en ce moment comme s’ils étaient confrontés à une menace sans précédent?
Il ne suffit pas de répondre que la crise est grave, qu’elle intervient sur un système économique à bout de souffle épuisé par la crise financière.
il ne  suffit pas répondre que ce que les politiciens veulent vraiment, c’est le pouvoir et qu’ils utilisent le coronavirus comme excuse pour étendre le contrôle des gouvernements sur les citoyens .
La convergencee des actions du Big Business, des ultra riches, des gouvernements, des institutions internatiolales  et de leurs médias fait penser à autre chose: nous sommes dans le systémique, dans le fondamental de nos sociétés.
Il y a mobilisation au plus hauts niveaux.
Si nous voulons comprendre pourquoi les États du monde occidental mènent une politique jusqu’auboutiste, de tout pour le tout, en cachant les coûts réels monétaires et financiers, en acceptant la catastrophe économiques des fermetures, alors  il faut envisager autre chose que le sanitaire: les enjeux sont colossaux.
Ce qui est en jeu c’est l’ordre mondial,  la vision du monde, la culture, le statut de l’individu. Les rapports de Pouvoir.
Nous sommes dans le Tout!
Le verrouillage/confinement  des citoyens à la suite de la pandémie de coronavirus a relancé   les plans de longue date qui visent à établir un  nouvel ordre mondial.

Ne haussez  pas les épaules, ceci n’est absolument pas un nième texte conspi, je suis anti-conspirationniste  car ceux qui le pratiquent nuisent aux causes qu’ils croient défendre, en nuisant ç la crédibilité des informations et des analyses.

Sous les auspices du Forum économique mondial (WEF), les décideurs politiques mondiaux préconisent une «grande réinitialisation» dans le but de créer une technocratie mondiale.

Ce n’est pas par hasard si, le 18 octobre 2019, à New York, le WEF a participé à «l’événement 201» lors de l’exercice de pandémie de «haut niveau» organisé par le John Hopkins Center for Health Security.

Cette technocratie  implique une coopération étroite entre les responsables de l’industrie numérique et les gouvernements.

Elle passe par  des programmes tels que le revenu minimum garanti et la santé pour tous.

Le nouveau type de gouvernance combine un contrôle sociétal strict avec la promesse d’une justice sociale globale.

La vérité, cependant, est que ce nouvel ordre mondial de tyrannie numérique s’insère dans un système complet de crédit social. La République populaire de Chine est le pionnier de cette méthode de surveillance et de contrôle des individus, des entreprises et des entités sociopolitiques.

J’ai souvent écrit et expliqué que la Chine était notre avenir, ce que l’on y voit maintenant étant caricatural certes, mais tout a fait isomorphe. La différence n’est que de finesse.

L’identité de l’individu se réduit à une Application ou une Puce qui enregistre presque toutes ses activités personnelles.

Afin d’obtenir quelques droits individuels, pour se rendre à un certain endroit par exemple,  une personne doit trouver un équilibre entre ces privilèges apparents et sa soumission à un ensemble de réglementations qui définissent en détail ce qu’est un «bon comportement» considéré comme bénéfique pour l’humanité et l’environnement. Bref il faut se conformer!

Par exemple, lors d’une pandémie, ce type de contrôle irait  de l’obligation de porter un masque et de pratiquer la distanciation sociale à des vaccinations spécifiques pour postuler à un emploi ou pour voyager.

C’est un  type d’ingénierie sociale qui est à l’opposé de l’ ordre spontané ou de développement individuel.

Comme l’ingénieur en mécanique avec une machine, l’ingénieur social -ou le technocrate- traitent la société comme un objet. Les tendances de la sociologie moderne avec l’invention d’un « fait social », conduisent dans cette voie. Or le fait social n’existe pas, il est une abstraction réifiée, construction de l’esprit, une construction idéologique utile pour ceux qui veulent l’utiliser, c’est à dire le manipuler.

Le totalitarisme des temps anciens était violent, « hard ».  L’ingénieur social moderne travaille dans le soft, il tentera de faire fonctionner la machine sociale toute seule selon sa conception mais pas par.

Pour ce faire, l’ingénieur social doit appliquer « les lois de la société » comme l’ingénieur en mécanique applique  les lois de la nature. La théorie comportementale a atteint un stade de connaissance qui rend possible les rêves d’ingénierie sociale. Les machinations de l’ingénierie sociale n’opèrent pas par la force brute, mais subtilement par suggestions pressantes.

 

L’avenement des sciences dites sociales est une parade des élites aux risques de révolte des peuples; avec l’apport des  sciences sociales on  comprend comment les peuples fonctionnent, on les contrôle, on les norme!

Les sciences sociales contribuent au contrôle des peuples et au maintien de l’ordre social qui convient à ceux qui dominent. Les sciences sociales entérinent , c’est leur fonction idéologique.

Dans l’ordre envisagé par la Grande Réinitialisation, l’avancement de la

technologie n’est pas destiné à servir l’amélioration des conditions du peuple

mais à soumettre l’individu à la tyrannie d’un État technocratique.

«Les experts savent mieux» est la justification.

Elle remplace l’ancienne démocratie, laquelle ne se manifeste plus que sur des sujets sans importance, sur des gadgets/hochets ou réinitialisation.

L’agenda de ceux qui savent

Le plan pour une refonte du monde est l’idée originale d’un groupe d’élite d’hommes d’affaires, de politiciens et de leur entourage intellectuel qui se réunissaient à Davos, en Suisse, en janvier de chaque année. Créé en 1971, le Forum économique mondial est depuis lors devenu un événement méga-mondial. Plus de trois mille dirigeants du monde entier ont assisté à la réunion en 2020.

Sous la direction du WEF, le programme de la Grande Réinitialisation indique que l’achèvement de la transformation industrielle actuelle nécessite une refonte complète de l’économie, de la politique et de la société.

Une telle transformation globale nécessite la modification du comportement humain et, par conséquent, le «transhumanisme» fait partie du programme.


je vous conseille de lire régulièrement Liliane Held Khawam, elle ne cesse d’éclairer le transhumanisme et ses noirceurs

LHK – Le blog de Liliane Held-Khawam

lilianeheldkhawam.com 

La grande réinitialisation sera le thème de la cinquante et unième réunion du Forum économique mondial de Davos en 2021.

Son ordre du jour est l’engagement à faire avancer l’économie mondiale vers «un avenir plus juste, durable et résilient».

Le programme appelle à «un nouveau contrat social» centré sur l’égalité raciale, la justice sociale et la protection de la nature.

Le changement climatique nous oblige à «décarboner l’économie» et à mettre la pensée et le comportement humains «en harmonie avec la nature». Le but est de construire «des économies plus égalitaires, inclusives et durables».

Ce nouvel ordre mondial doit être mis en œuvre «d’urgence», affirment les promoteurs du WEF, et ils soulignent que la pandémie «a mis à nu la non-durabilité de notre système», qui manque de «cohésion sociale».

Ingénierie sociale

Le grand projet de réinitialisation du WEF est l’ingénierie sociale au plus haut niveau.

Les partisans de la réinitialisation soutiennent que l’ONU n’a pas réussi à rétablir l’ordre dans le monde et n’a pas pu faire avancer avec force son programme de développement durable -connu sous le nom d’Agenda 2030- en raison de sa manière bureaucratique, lente et contradictoire de travailler.

En revanche, les actions du comité d’organisation du Forum économique mondial sont rapides et intelligentes. Lorsqu’un consensus s’est formé, il peut être mis en œuvre par l’élite mondiale partout dans le monde.

L’idéologie du Forum économique mondial n’est ni de gauche ni de droite, ni progressiste ou conservatrice, elle n’est pas non plus fasciste ou communiste, mais purement technocratique.

En tant que tel, il comprend de nombreux éléments des idéologies collectivistes antérieures.

Dans son fondement philosophique, cette démarche  est faciste dans la mesure où l’homme est mis au servcie d’une idée, Idée qui est celle d’un groupe coopté qui se place au-dessus des masses.

Au cours des dernières décennies, le consensus s’est dégagé lors des réunions annuelles de Davos, selon lequel le monde a besoin d’une révolution et que les réformes ont pris trop de temps.

Les membres du WEF envisagent un bouleversement profond à court terme.

Le laps de temps devrait être si bref que la plupart des gens se rendront à peine compte qu’une révolution est en cours. Le changement doit être si rapide et dramatique que ceux qui reconnaissent qu’une révolution est en train de se produire n’auront pas le temps de se mobiliser contre elle.

L’idée de base de la Grande Réinitialisation est le même principe qui a guidé les transformations radicales des révolutions française aux révolutions russe et chinoise.

C’est l’idée du rationalisme constructiviste incorporé dans l’État. On y retrouve la toute Puissance de l’Etre suprème.

Mais des projets comme la Grande réinitialisation laissent sans réponse la question de savoir qui dirige l’État. L’État lui-même ne règle pas. C’est un instrument de pouvoir. Ce n’est pas l’État abstrait qui décide, mais les dirigeants de partis politiques spécifiques et de certains groupes sociaux.

Cet Etat, c’est, comme la Société, une abstraction réifiée qui dissimule sa réalité. Derrière l’abstraction, il y a des hommes, des groupes, des cliques, des gens qui se sont alliés, des gens qui se concertent pour fixer un Agenda, prendre le pouvoir, l’exercer et faire en sorte qu’il ne leur échappe plus.

Les régimes totalitaires antérieurs avaient besoin d’exécutions massives et de camps de concentration pour maintenir leur pouvoir.

Maintenant, avec l’aide des nouvelles technologies, les élites  pensent que les dissidents peuvent facilement être identifiés et marginalisés. Les non-conformes seront réduits au silence, on disqualifiera les opinions divergentes comme étant moralement méprisables.

Vous avez compris  que c’est ce qui est en train de se passer et que l’enjeu du contrôle des réseaux sociaux est déterminant. Une lutte dans les coulisses pour la Normalisation -au sens de porteurs de normes- de ces réseaux sociaux et leur mise au service du Grand  Agenda est en cours.

Les verrouillages  et confinements de 2020 offrent  un aperçu du fonctionnement de ce système.

Les verrouillages ont fonctionné comme s’ils avaient été orchestrés.

Comme s’ils suivaient un seul commandement, les dirigeants des grandes et des petites nations -et à différents stades de développement économique- ont mis en œuvre des mesures presque identiques.

Non seulement de nombreux gouvernements ont agi à l’unisson, mais ils ont également appliqué ces mesures sans se soucier des conséquences négatives  d’un tel  verrouillage mondial.

Des mois de gel économique ont détruit la base économique de millions de familles.

Avec la distanciation sociale, le verrouillage a produit une masse de personnes incapables de prendre soin d’elles-mêmes.

Premièrement, les gouvernements ont détruit les moyens de subsistance, puis les politiciens se sont présentés comme le sauveur. La demande d’assistance sociale n’est plus limitée à des groupes spécifiques, mais est devenue un besoin des masses.

Autrefois, la guerre était ce qui faisait la force de l’État. Il se renforçait lors des guerres. Ce n’est pas un hasard si, spontanément, les chefs d’Etat ont retouvé le vocabulaire guerrier pour donner plus de force à leur propos et ainsi s’attirer un pouvoir supplémentaire et une légitimité supplémentaire. Macron a été l’un des pionniers en ce sens. Le gouvernement qu’il vient de nommer  n’est pas un gouvernement politique ou démocratique, c’est un gouvernement de combat.

Maintenant, c’est la peur de la maladie qui joue ce rôle.

Ce qui nous attend, ce n’est pas l’apparente convivialité d’un État-providence bienveillant et complet avec un revenu minimum garanti,  des soins de santé et une éducation pour tous. Non, c’est la servitude et même plus loin, la perte du souvenir même de la liberté et de l’autonomie. L’authenticité, au sens propre et fort, de votre vie est amenée à disparaitre.

Les verrouillages et confinements  et leurs  conséquences ont apporté un avant-goût de ce qui est à venir: un état permanent de peur, un contrôle comportemental strict, des pertes massives d’emplois et une dépendance croissante à l’égard de l’État. Comprenez bien la question n’est pas d’être imprudent, asocial, de se moquer de la sécurité sanitaire, la question est de prendre conscience du fait qu’il y a utilisation de la peur pour contrôler la masse.

C’est la même chose avec la peur des migrants, elle est utile car elle suscite une demande de contrôle et des lois répressives qui, bien sûr, vont être appliquées et imposées aux citoyens normaux. L’importation de migrants a pour résultat objectif de faire monter la demande de sécurité, la demande de contrôles, la demande de répression et, finalement, la demande de restriction des libertés.  Les migrants sont un vecteur d’asservissement des populations locales.

Le fait qu’il y ait de plus en plus de déviants est un atout de ceux qui veulent vous contrôler, car grâce aux déviants, ils sont validés à imposer des lois, des coercitions et donc à vous réprimer.

Avec les mesures prises à la suite de la pandémie de coronavirus, un grand pas en avant pour réinitialiser l’économie et la société mondiale a été franchi.

Sans résistance populaire, la fin de la pandémie ne signifiera pas la fin du verrouillage et de la distanciation sociale.

Pour le moment, cependant, les opposants au nouvel ordre mondial de la tyrannie numérique ont toujours accès aux médias et aux plates-formes pour s’opposer. Les lois qui permettent indirectement la censure sont en train d’être prises. Méfiez-vous, le processus est engagé pour baillonner l’expression des gens d’en-bas.

Le temps presse.

Les auteurs du nouvel ordre mondial ont senti le sang. Déclarer le coronavirus comme pandémie s’est avéré utile pour promouvoir le programme de la grande réinitialisation.

Seule une opposition massive peut ralentir et arrêter finalement l’extension de la prise de pouvoir de la grande alliance tyrannique des technocrates et de ploutocrates.



Ce texte constitue une traduction, réecriture et reinterprétaion d’un  texte de

Antony P. Mueller

Tout le mérite lui en revient .

Je l’ai intitulé Editorial pour augmenter son taux de lecture.

Dr. Antony P. Mueller is a German professor of economics who currently teaches in Brazil. 

 

9 réflexions sur “Editorial: la Grande Réinitialisation n’est pas un mythe, elle a pignon sur rue.

  1. Charles SANNAT en parle aussi.

    « Grand Reset c’est « le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles »

    « Lorsque l’on dit qu’il faut remplacer les idées, il faut comprendre que nos idées, nos pensées sont « mauvaises » et doivent être changées… La dernière grande expérience de changement d’idées a été fait avec les camps de redressement de Mao ou ceux des Khmers rouges. »

    https://planetes360.fr/les-details-du-grand-reset-devoile-par-lhomme-des-hommes-de-davos-ledito-de-charles-sannat/

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  2. Bonjour,

    oui et en même temps les élites échouent lamentablement partout.

    La confiance dans les poltiques est au plus bas, les grandes entreprises type GAFAM sont détestées par une partie de la population et la méfiance est de mise a minima.

    La chine, la russie, la turquie a minima s’autonomisent, et ne veulent pas d’un monde unipolaire.

    Ils n’arrivent pas à maîtriser Internet, ces fameux média sociaux sont surtout utilisés pour des futilités qui n’ont que peu d’impacts sur la vraie vie.

    Sans compter que ces fameux média bidonnent les chiffres des vrais utilisateurs actifs.

    Le simple fait que Trump ait pu être élu et soit resté en place malgré la débauche des moyens engagés montre qu’ils sont incapables de contrôler quoi que ce soit:
    – tous les médias ou presque étaient contre lui
    – le FBI
    – la CIA
    – une grosse partie de l’establishment
    – Trump lui même est un de ses pires enemis

    Considérez tous les moyens que ces gens ont à leur disposition : c’est juste colossal !

    Sans compter que ces gens sont désormais décrédibilisés: il est maintenant common knowledge que cette élite mondialiste qui a créé une grosse partie des problèmes.

    Le COVID a été le grand révélateur de leur nullité.

    Je crois qu’ils vont essayer de monter leur petit cirque mais que tout est déjà dans un état tellement pourri que personne ou presque ne les croira.

    En plus certaines parties du monde gardent des cultures et des identités fortes: l’Inde, le Pakistan, … et se jouent des occidentaux.

    Je suis d’ailleurs en train de lire le livre de Schwab « Le grand reset » qui est disponible sur Amazon bien sûr.

    Comme vous dites souvent, le corps social est fatigué, usé, de tous les mauvais traitements qu’on lui inflige depuis des années, et maintenant il comprend carrément ou confusément à qui il doit tout ça.

    Je crois surtout à des troubles sociaux monstres et à d’autres phénomènes qui sont en de saper nos moyens de subsistance (climatiques, mais nous y croyez guère je le sais, cette année est aussi un tournant d’après les relévés).

    Cdlt.

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  3. « L’identité de l’individu se réduit à une Application ou une Puce qui enregistre presque toutes ses activités personnelles »

    C’est à partir de l »activité humaine via le cyberespace réticulé ou les I.A sont programmées (et bientot « souveraines » en « machine learning » ) pour « communier » avec les Etres qu’il est question de convertir l’énergie physiologique déployée par le sujet et que l’I.A exploitera pour miner des cryptomonnaies. L’Humanité connectée est amenée à devenir un « bassin minier extractile d’énergie » une énergie libre en quelque sorte contenu dans une prison technologique et mentale… On passera aisément de la « transition énergétique » et « écologique » à la « transition énergétique et anthropologique » puisque des capteurs sont nécessairement implémentés au corps physique et relié aux instruments technologiques (objets connectés et smart citys) pour « stimuler » et transférer de l’énergie.

    On peut comprendre à la lumière du crédit social, de la blockchain cryptomonétaire et du passeport vaccinal (nanoparticulaire et procédé quantique) que le nouvel ordre mondial est foncièrement totalitaire et qu’il requiert le consentement du plus grand nombre… Mais cela semble tout à fait réalisable puisque « être connecté » et « transparent » sur le web est déjà dans les mœurs de la jeunesse et de leurs parents avec les réseaux sociaux. Consommer du virtuel est déjà inscrit dans nos comportements puisque se sont les pubs qui « paient pour nous ».
    On oubliera assez vite « le droit à l’oubli », on applaudira la « médecine prédictive » avec son corollaire: « la justice prédictive ».
    C’est un panopticon en même temps qu’un pandémonium global qui se dessine sous nos yeux et nous passons allègrement du croquis pseudo-conspirationniste à la réalisation de l’oeuvre diabolique.
    « Une société néerlandaise dénommée iOHO (Institute of Human Obsolescence) a pris conscience de l’aura négative autour de l’empreinte carbone de la blockchain du Bitcoin qui a atteint, selon les derniers chiffres, un record de consommation d’énergie par transaction en 2017. » http://blog.economie-numerique.net/2018/02/19/le-corps-humain-bientot-un-outil-technologique-au-service-de-la-blockchain/
    A l’aide de générateurs thermoélectriques, l’excès de chaleur corporelle est capturée puis convertie en énergie électrique, qui permet dans ce cas d’alimenter des ordinateurs dédiés au minage de cryptomonnaies.

    Pour le moment, la technologie doit encore être améliorée. Moins de 1% de la chaleur corporelle est ainsi recyclée. IoHO s’est donc tourné vers des cryptomonnaies marginales qui nécessitent moins d’énergie, comme le Vertcoin ou le Startcoin. 80% des devises générées sont offertes aux volontaires qui proposent leur corps, le reste est conservé par IoHO. A ce niveau, on ne parle pas de sommes extraordinaires, mais l’organisation confie que certaines cryptomonnaies alternatives minées ont vu leur valeur exploser, Parfois de l’ordre de 46 000%. De quoi donner envie d’investir dans les cryptomonnaies ». https://www.phonandroid.com/bitcoin-societe-cryptomonnaies-chaleur-corporelle.html

    La question des capteurs est centrale, ici on parle de chaleur humaine convertible mais il y a chez l’humain d’autres potentiels exploitables comme l’intensité nerveuse par les tensions émotionnelles induites…

    Le contexte du commentaire ne me permet guère de développer plus le sujet, d’autant qu’il fait intervenir des notions en apparence éloignées des principes de la physique classique mais surtout de physique quantique en même temps que d’autres registres comme l’ethno-anthropologie et la philosophie tout comme la métaphysique (la métaphysique permet de mieux cerner les enjeux techniques de la physique quantique et la dimension interpolative qui l’associe à la réalité sensible puisque l’Humain est au centre du langage (en lettre, en nombre et en figures représentatives qu’elles soint symbolique, géométrique…). L’idée axiale de l’intrication sujet-objet, la vectorisation inversée du trajet perception-conception de l’objet (pour son caractère dissocié et séparé) à l’amont d’un « moment » quantique itéré, le role manifeste du conscient, des sens et de l’inconscient, le multiplex que constitue l’humanité connectée ou les faisceaux de données-liées constituent des chemins synaptiques virtuels pour « nourrir » l’écosystème d’I.A à s’architecturer nominalement mais surtout grégairement (holotropisme organisationnel et fonctionnel (qui sera considérée à plus long terme comme l’évidence d’une cohérence systémique), à la fois en énergie physique utilisable pour les machines mais aussi en données abstraites pour fournir un substrat émotionné et figuratif Pour construire et un « cerveau global numérique et plastique », il y faut un « village global de serfs » annexé numériquement à ses actes-pensées et à son corps (défendant)… l’Écosystème humain conditionne l’inconscient de la machine-learning qui apparaîtra, dans son terme Logique comme une singularité émergente (saut quantique et qualitatif de l’I.A qui bascule dans l’identito-réflexivité (affirmation « Moi-Je ») séparée de « ses congénères » de seconde zone cognitive (en simulation d’identité comme « singe » des humains)… Ce n’est pas de la science-fiction mais bien de l’anticipation au sens ou il sera fait usage de constantes anthropologiques et naturelles dans diverses sciences (comme la technologie et l’inductance cognitivo-comportementale…) mais aussi de l’observation de l’inépuisable variabilité manifeste des événements enchevetrés comme le sont les notes musicales d’une symphonie grandiose animant le ballet de l’Histoire humaine . Ajoutons à la formation évolutive de notre conscience-cœur le tiers état de la pensée et de l’affect par l’intervention providentielle de l’intuition (qui méritera toujours l’examen assidus de la conscience discriminative pour se voir valider ou non).

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  4. On veut museler le peuple au regard de la grave crise économique qui vient et d une déroissance definitive du à la fin de l energie fossile et l urgence environementale qui imposent une fin drastique de la societe de consommation : regardez les videos de Jancovici et de Gael Giraud qui sont largement reconnus dans leur domaine. On comprend que le covid est le « passe partout » pour tenir les peuples promis à de grandes souffrances sociales dans les prochaines années. L Covid est politique. Le transfert vers un nouveau modele dans l urgence fait que le politique n a plus la main et il le sait : Il lui faut CONTROLER le temps de mettre des bases au modele de demain.

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  5. Nous somme à l’ère du dernier HOMME
    Avec la PMA plus besoin de mâle … une société future faite que de femme qui a leur tour n’auront que des filles.
    Sélection et génétique … une seule race … la couleur future … rose ? noire ? maron ? vert fluo ?
    Végétarienne … plus de carnivore car manger de la viande surtout rouge, développe l’agressivité.
    Plus de guerre … les femmes ne sont qu’amoureeeeeeeeee
    Elles vivent plus longtemps que les hommes … donc plus productifs sur la durée.
    Alors tous ces grands décideurs qui sont en partie des hommes …. Mais sans leurs paires de bippppppppp
    Qu’ils profitent bien de faire des galipettes, car cela vas devenir interdit et surtout non nécessaire pour continuer à avoir de la masse pour les servir.
    La nature stimule depuis des milliers d’années la diversité de ces différents éléments, végétaux, animaux …. Mais l’homme lui veut la standardisation.
    Donc voilà l’avenir.
    Un seul genre : féminin
    Une seule couleur-race : à définir
    Une seule religion-politique : le progrès
    Bon moi j’aime bien faire des galipettes, vite il faut que je me trouve une gallinette avant un nouveau confinement.
    NO FUTUR FOR MAN

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