Et si les mesures vaccinales et les confinements n’avaient aucun impact sur les phases épidémiques ?
C’est la question fondamentale qui détermine l’efficacité, ou pas ,des vaccins et des mesures sociales comme le confinement. Les partisans du pass vaccinal et de l’obligation de vacciner croient que vacciner protège. Affirmer que ces « vagues « ne disparaissent qu’avec l’intervention des politiques et la vaccination revient pourtant à nier les faits.
1 l’histoire des épidémies nous explique ces vagues épidémiques qui disparaissent sous l’action de l’immunité naturelle ou des données climatiques. C’est ce qui s’est passé l’an dernier au début de l’été. La fameuse deuxième vague correspondait à une nouvelle épidémie , les fameux variants remettent en question l’immunité naturelle comme l’expliquait le premier Raoult . Malheureusement il faudra plusieurs mois à Lacombe et autres pour admettre l’existence des fameux variants mais ils n’en comprennent toujours pas les conséquences
2La vaccination ne réduit pas la durée des vagues pandémiques, pire elle les allonge…
Au Royaume uni et en Israel, qui a eu la peau de la vague, la vaccination ou l’immunité naturelle ? La vaccination nous assure t on pour d démontrer l’efficacité des vaccins . Mais dans les autres pays au même moment, on ne vaccine pas et la crise dure …moins longtemps. Dans certains cas l’utilisation de l’ivermectine peut expliquer la cassure et la sortie de crise .



3) La vaccination n’empêche pas l’arrivée d’une nouvelle vague
La vaccination rapide s’accompagne d’une flambée des cas comme si elle la propageait. Autrefois les étudiants en médecine apprenaient que l’on ne doit jamais vacciner en période de pandémie sous peine de multiplier les variant et d’aggraver la situation…
Dans plusieurs pays très vaccinés le retour de flambées épidémiques peut laisser présager l’avenir vaccinal …

4) La vaccination n’empêche pas la contamination
Tout le monde le sait y compris le gouvernement et le Conseil d’Etat qui ont refusé le déconfinement aux vaccinés pour cette raison. On sait que la quantité d’anticorps dépend du nombre de doses et de l’âge . Après deux doses un tiers des plus de 80 ans n’auront aucun anticorps, pour les autres c’est pas gagné. Rappelons que plusieurs études démontrent les effets prophylactiques supérieurs de l’ivermectine, du zinc des vitamines C et D

5 Le Pass vaccinal ou le droit de contaminer en toute liberté
Combien de vaccinés sans anticorps, confrontés aux variants ? Aucune étude randomisée comparant sur la même période deux cohortes, une vaccinée, l’autre pas , n’a été menée. Celles qui sont citées par la presse portent sur les mêmes individus avant et après leur vaccination. Ainsi une étude israélienne compare les risques de tomber malade quand on n’est pas vacciné (en janvier février où l’on enregistre dans le pays 600 cas par million d’habitants et par jour) et quand on est vacciné ( en mars ou même avril , dans le pays on compte alors quatre fois moins de cas déclarés) . Cette étude prouve bêtement que l’on a plus de risque de tomber malade en pleine pandémie que quand elle est terminée…
Les vaccins sont expérimentaux et jusqu’à la preuve du contraire les seules « preuves » sont les dossiers fournis par les fabricants Quid des effets secondaires ?
Vous craignez les services des renseignements allemands 😁 ?…
Triste et sombre périodes pour les cervelés!
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Bonjour M. Bertez, pour vous signaler que cet article ne s’affiche pas dans le menu général de vos articles.
Peut-être il y a t-il un problème?
Merci pour votre travail, et bonne journée!
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Non c’est volontaire .
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