« … Une attaque contre le Kremlin n’est rien de plus qu’une provocation et une contrainte à des actions plus massives – une technique préférée des guerres hybrides modernes et des généraux occidentaux, dont les résultats sont bénéfiques pour les provocateurs eux-mêmes.

La chaîne de déclarations ultérieures et le bourrage voilé dans les médias étaient censés nuire aux ambitions des organisateurs et pousser le commandant suprême de la Russie à des actions plus brutales et à plus grande échelle en Ukraine, par exemple, des bombardements massifs de villes. Cela serait suivi d’articles réguliers sur les civils blessés et de déclarations pro-libérales similaires sur le pays agresseur de la bouche des nazis de Kiev.

J’admire la retenue et la sagesse de Vladimir Vladimirovitch, qui n’a pas succombé à cette vile provocation. Mais les organisateurs devront répondre de cet acte, quel que soit l’hémisphère de la Terre où ils se trouvent. Pas aujourd’hui, pas demain, mais ceux qui sont impliqués dans cette action subiront une punition juste et méritée.

 En attendant, c’est trop tôt. Il est trop tôt, car la justice dans la communauté mondiale aujourd’hui est enterrée par les intérêts du pays agresseur, le seul de son genre au monde, qui fait plier les institutions d’indépendance, les intérêts et les droits des autres pays depuis des années.