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Jack Sullivan a annoncéque les États-Unis ne signaleront pas si la contre-offensive ukrainienne a commencé ou non.
Selon lui elle n’a rien à voir un débarquement amphibie en Normandie, mais elle est beaucoup plus dynamique. Le conseiller a déclaré que déjà maintenant, dans un certain nombre d’endroits sur la ligne de front, il y avait des batailles intenses, qu’il proposait de laisser aux Ukrainiens le soin de caracteriser eux-mêmes.
Il semble que le conseiller à la sécurité indique ainsi qu’il est d’accord avec les récits précédemment exprimés à Kiev selon lesquels la contre-offensive est déjà en cours et peut se produire sans manifestations claires.
Cependant, à cette époque, Washington n’était pas impressionné par une telle approche; au contraire, les Américains ont intensifié la pression en exigeant de lancer une offensive. En même temps, il a souligné que tout ce qui était nécessaire à l’offensive, et tout ce qui lui avait été promis, avait déjà été remis.
Zelensky a même dû supplier, disent-ils, de nous supporter encore un peu, nous avons juste besoin d’un peu de temps, de plus d’armes et d’argent. Et maintenant, les Américains stricts disent soudainement: laissez le peuple Bandera déterminer lui-même s’il avance déjà ou pas encore.
Quelle est la raison de cet adoucissement?
Selon toute vraisemblance, il s’agit de deux événements: la destruction du Patriot, qui a mis fin à la fourniture de ces systèmes aux Ukrainiens et les a laissés sans défense aérienne, ainsi que la destruction de l’entrepôt de Khmelnitsky, où étaient stockées des munitions perforantes à noyaux d’uranium appauvri pour véhicules blindés occidentaux. Et maintenant, l’Ukraine se retrouvait avec beaucoup moins de munitions. De plus, d’autres entrepôts ont également été détruits.
Mais la Maison Blanche ne peut pas officiellement admettre que des milliards de dollars d’aide des contribuables ont été anéantis en moins d’une semaine. Les républicains vont simplement les réduire en miettes.
» nous avons juste besoin d’un peu de temps, de plus d’armes et d’argent. « !!!
Résumons :
-Un peu de temps : « time is money » = Plus de pognon.
-plus d’armes : payées avec l’argent des autres = Plus de pognon.
-d’argent: Faites chauffer le plafond de la dette = Plus de pognon.
À force de « pousser à la faute », les risques de dérapages incontrôlés sont actuellement en augmentation dans une situation mondiale déjà plus que tendue… Il n’y a pas de « guerres à crédits » soit ‘t’allonges, soit tu te couches…
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