COVID: Document exceptionnel, interview du résistant Malone hier soir.

Ecouter le professeur Malone, inventeur de l’ARNm c’est comme écouter de Gaulle pendant la seconde guerre mondiale.

Voici a mon avis un document qui ne sera pas reproduit ou diffusé par la presse du busines ou du gouvernement.

Et pour cause!

Voici ce que dit Malone dans une interview explosive hier soir:

« Il existe de bonnes modélisations, qui montrent qu’un demi-million de décès supplémentaires se sont produits aux États-Unis, à cause du blocage intentionnel du traitement COVID précoce par le gouvernement américain… »

L’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a accordé une interview fascinante à Joe Rogan qui a été diffusée le soir du Nouvel An.

Si vous avez trois heures à perdre, nous vous recommandons de regarder le tout :

Malone, un expert en technologies de vaccins à ARNm formé à l’UC Davis, à l’UCSD et au Salk Institute, a été suspendu par Twitter sans explication jeudi. Il semble qu’il se prépare à poursuivre devant les tribunaux , comme le fait actuellement un grand journaliste dissident , Alex Berenson

https://twitter.com/i/status/1476999105595547656 


Joe Rogan questions big tech for censoring “one of the most qualified people in the world to talk about vaccines”Dr. Robert Malone. Dr. Robert Malone responds to big tech censoring him.

La suspension est intervenue après que Malone ait été vilipendé dans un article à succès dans The Atlantic, financé par Facebook et Johnson & Johnson .

le journaliste clairement aux ordres semble totalement obsédé, il demande à Malone :

..« Robert, pourquoi dites-vous ces choses ? Vous devez avoir une incitation financière. Il doit y avoir une raison pour laquelle vous faites cela ‘ – et je (Malone) lui ai dit à plusieurs reprises, ‘ parce que c’est la bonne chose à faire.’

Je pense que je suis le seul à avoir été profondément impliqué dans le développement de cette technologie, qui n’a pas d’intérêt financier. Pour moi, la raison en est que ce qui se passe n’est pas juste. Cela détruit ma profession. Cela détruit la pratique de la médecine dans le monde entier… Je suis vaccinologue. J’ai passé 30 ans à développer des vaccins à apprendre comment le faire et quelles sont les règles. Et pour moi, je suis personnellement offensé de voir ma discipline être détruite sans aucune bonne raison, sauf, apparemment, des incitations financières et – je ne sais pas – une couverture politique?  » -Robert Malone

« Notre gouvernement est hors de contrôle à ce sujet », poursuit Malone. « Et ils sont sans loi. Ils ignorent complètement la bioéthique. Ils ignorent complètement la règle fédérale commune. Ils ont enfreint toutes les règles que je connais, règles auxquelles été formées pendant des années et des années. Ces mandats d’un vaccin expérimental sont explicitement illégaux. Ils sont explicitement incompatibles avec le code de Nuremberg. Ils sont explicitement incompatibles avec le rapport Belmont. Ils sont carrément illégaux, et ils s’en moquent. « 

Malone a ensuite expliqué à Rogan comment la province de l’Uttar Pradesh en Inde a écrasé Covid et en est venu à bout avec un traitement précoce comprenant de l’ivermectine, mais il affirme que l’administration Biden a rencontré Modi et qu’une « décision a été prise de ne pas divulguer le contenu du traitement ».

Ils sont ensuite allés plus profondément dans le sujet de i vermectin et des interventions précoces en général. Selon Malone, « Il existe de bonnes études de modélisation, qui montrent qu’un demi-million de décès supplémentaires se sont produits aux États-Unis, à cause du blocage intentionnel du traitement COVID précoce par le gouvernement américain . »

Malone et Rogan se sont ensuite lancés dans des explications scientifiques  sur le   Covid – avec Malone expliquant comment les personnes dotées d’une immunité naturelle contre Covid courent un risque plus élevé d’événements indésirables dus au vaccin.

« Il y a un certain nombre de choses ici qui ne sont pas soutenues par la science. »

Ils ont ensuite discuté du cas d’une jeune fille de 14 ans qui a été blessée par le vaccin, pourtant l’incident a été signalé comme un mal de ventre .

« Cette jeune femme qui a été répertoriée comme ayant mal au ventre, alors qu’en fait ce qu’elle a eu était une crise . Et elle est maintenant en fauteuil roulant avec un tube naso-gastrique. L’un des 1 000 sujets. »

Vers la fin de l’interview, Malone va encore plus loin – suggérant que les gens vivent une psychose de formation de masse – établissant des parallèles avec l’Allemagne des années 1920 et 1930, où « ils avaient une population très intelligente et très instruite, et ils sont devenus fous ».

Twitter ne pense pas que la voix de Malone mérite d’être entendue

 Hat tip Zero Hedge, traduction rapide et maladroite BB

3 réflexions sur “COVID: Document exceptionnel, interview du résistant Malone hier soir.

  1. Cher Monsieur,

    Je me permets de relayer ici la lettre ouverte de ce médecin « suspendu » à ses confrères du Conseil de l’Ordre :

    Au Dr BOUET Patrick, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 4, rue Léon Jost, 75855 PARIS Cedex 17

    Dr DEVYS Pierre-Yves, Président du Conseil Régional Ile-de-France de l’Ordre des Médecins, 9, rue Borromée, 75015 PARIS

    Dr THERON Patrick, 4, rue Octave du Mesnil, 94000 CRETEIL

    Le 18/12/2021

    Messieurs et chers confrères : rendons-la médecine aux médecins

    Messieurs et chers confrères,

    Je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exhorter à réagir face à l’incurie gouvernementale. Cette mascarade de politique prétendument sanitaire que nous, français, vivons n’a que trop duré et je pense que le conseil national de l’Ordre des Médecins a toute sa place pour rappeler à l’Etat le rôle du médecin.

    Je tiens tout d’abord à vous rappeler vos devoirs envers les médecins. Vous avez pour mission de « défendre l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française ». Vous êtes les « garant[s] de la relation médecin-patient ».

    Depuis la loi honteuse du 5 août 2021, vous acceptez que l’agence régionale de santé outrepasse ses fonctions et soumette les médecins libéraux. Pourquoi acceptez-vous que cette entité administrative boursouflée interdise aux médecins d’exercer ?

    L’Etat français s’est arrogé, en opposition complète avec le serment d’Hippocrate, la déclaration de Genève de 1948, l’article 36 du code de déontologie médicale, les articles R4127-36 et L1122-1 du code de santé publique, l’article 16-1 du Code civil français, le code de Nuremberg de 1947, l’article 25 de la déclaration d’Helsinki de 1996, les articles 5 et 16 de la convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997, l’article L1111-4 de la loi Kouchner de 2002, l’arrêt Salvetti de 2002, l’article 3 de la directive européenne 2001/20/CE, le droit d’imposer lâchement un traitement expérimental à base d’ARN messager au peuple français.

    Un confrère du conseil m’a obligeamment indiqué en août dernier qu’il était de son devoir de me convaincre d’accepter cette « vaccination ». Je vous rappelle qu’en vertu des textes de lois cités et en tant que personne majeure, non soumise à tutelle ou curatelle, j’ai le droit de décider de mon intérêt à participer ou non à des essais de phase 3 dont la fin est prévue le 27 octobre 2022 pour le laboratoire Moderna et le 15 mai 2023 pour le laboratoire Pfizer. Si l’Etat français me refuse ce droit, pourquoi m’a-t-il donc donné des diplômes de docteur en médecine et de spécialiste en dermatologie et vénéréologie en 2016 et m’a donc par ce biais autorisé à prendre des décisions pour la santé de mes patients ? Serais-je devenue, sans que personne ne m’en ait informé, une mineure perpétuelle ?

    La situation est grave car le gouvernement actuel, qui n’a pas conscience des limites de son pouvoir, cherche à nous retirer, à nous, médecins, notre capacité de décider des traitements que nous administrons à nos patients. Il a également émis une liste limitative des contre-indications à l’injection d’ARN messager. Cela signifie-t-il que les médecins n’ont plus de légitimité à faire valoir leur art et leur expérience ?

    Un médecin a-t-il le droit d’injecter un traitement expérimental à une personne alors même qu’il a conscience que le consentement de cette personne a pu lui être extorqué par l’Etat ? Notre serment d’Hippocrate ne nous enjoint-il pas à ne pas exploiter « [notre] pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences » ? Qu’en est-il alors des corps ? Le médecin aurait maintenant le droit de forcer les corps ? Jamais vous ne me convaincrez de cette ineptie.

    Alors que les pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique ont laissé l’hubris présidentielle se déchaîner et l’ont même parfois encouragée, je pense que le médecin, conscient qu’il est des limites de son art, doit affirmer le principe de sacralité du corps humain.

    Sommes-nous encore des médecins si nous acceptons d’être les instruments de cet Etat ? N’avez-vous pas conscience que l’Etat veut faire des médecins des techniciens médicaux sans âme ?

    Avez-vous conscience que le gouvernement qui utilise actuellement l’autorité des médecins pour imposer des restrictions de tous ordres utilisera demain, dès que le vent tournera, les médecins comme boucs-émissaires ?

    Je pense que nous risquons de perdre définitivement la confiance des Français.

    Nous avons collectivement montré notre refus de traiter dans les meilleurs délais les personnes atteintes de la maladie à SARS-CoV-2.

    Nous avons abandonné les patients non atteints de la maladie à SARS-CoV-2.

    Nous nous sommes réfugiés derrière nos écrans, avec la téléconsultation, alors même qu’une nouvelle maladie inconnue était à définir.

    Nous avons montré notre incapacité à nous opposer au viol du consentement des Français.

    Nous avons montré notre incapacité à évaluer correctement les bénéfices et les risques de l’injection d’ARN messager.

    Nous avons montré notre mépris du principe de précaution, notamment pour les enfants, les adolescents et les femmes enceintes alors même que l’histoire de notre discipline regorge d’exemples sordides incitant à la prudence.

    Nous avons montré notre incapacité à rapporter efficacement les effets indésirables de l’injection d’ARN messager aux services de pharmacovigilance.

    Nous avons montré notre incapacité à défendre les infirmières, les aides-soignantes et tous les autres soignants.

    Quel exemple donnons-nous aux jeunes étudiants en médecine ?

    Que ferons-nous demain quand l’étendue des complications de l’injection d’ARN messager sur les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, les personnes âgées et surtout les femmes enceintes sera révélée ? Que dirons-nous durant les procès qui s’annoncent pour les décennies à venir ? Pensez-vous réellement que les hommes politiques nous protégerons ?

    Enfin, je pense qu’il est temps pour le conseil de l’Ordre des médecins d’exiger du gouvernement le respect qui nous est dû et de retirer du code de la santé publique la loi n°2021-1040 du 5 août 2021 dont l’article L3136-1 menace d’emprisonnement les médecins et soignants qui exercent sans avoir au préalable participé aux études de phase 3 des laboratoires Pfizer et Moderna.

    Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie d’agréer, Messieurs et chers confrères, l’expression de ma considération distinguée.

    Docteur Zineb Deheb

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  2. Je profite de ce 2 janvier pour vous souhaiter une bonne nouvelle année et pour vous remercier pour votre travail et la qualité de vos reflexions. Votre pensée est rare, complexe, multidimensionnelle, articulée et l’effort vers la probité y est fort louable. Merci pour ce que vous faites.

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