Zoltan Pozsar : « les chaînes d’approvisionnement sont des chaînes de paiement à l’envers ».
« Détruire les chaines de paiement c’est détruire les chaines d’approvisionnement.».
Les détenteurs de capitaux se font du cash, ils réduisent leur exposition, diminuent leur recours à la dette et au levier. Le cash redevient plus désirable parce que la performance des actifs financiers n’est plus d’actualité.
L’argent reste abondant pourtant, les multiples cours bénéfices se sont bien dégonflés, mais, et on revient aux sources, l’appétit pour le jeu a disparu tandis que l’attrait de l’investissement lui, n’est pas encore apparu.
Au passage ceci démontre bien la validité de mon opinion à savoir qu’en bourse la seule chose qui compte c’est le désir d’achat avec l’illusion ou espoir que l’on va gagner de l’argent, tout le reste, les PE et autres attrape nigauds sont des balivernes bien pensantes.

Les apprentis sorciers de la monnaie et du pognon en général jouent avec le feu; Ils prennent des décisions risquées dans un mode qui non seulement est opaque , interconnecté mais surtout dans un monde qui n’a jamais été testé .
Un monde ou on ne dispose d’aucune expérience ou référence historique.
Leur raisonnement est qu’ils s’en sortiront toujours car ils disposent de la printing press, la lance a éteindre tous les incendies.
C’est bien sur une illusion car la printing press ne fonctionne que tant que la demande de monnaie émise reste forte, tant que la confiance existe !
Or la confiance c’est comme le mercure: insaisissable.
ci dessous:
Mesure Russe préventive pour essayer de maintenir la confiance; le taux d’intérêt change de nature, il devient le sacrifice que la banque centrale est obligée de faire pour que l’on conserve la monnaie qu’elle a émise et éviter le run.
