SUR LE FRONT D’ARTEMOVSK
Le collet russe se resserre autour d’Artemovsk (Bakhmut). Les combats font rage dans plusieurs périphéries de la ville Nord, Est et Sud.
Les positions ukro-atlantistes repérées dans les immeubles sont détruites avant de nouveaux assauts au sol.
Selon les autorités ukrainiennes, il resterait environ 6 000 civils dans Artemovsk (Bakhmut) qui refusent d’être évacués vers l’Ukraine.
Dans la 1ere vidéo un véhicule de combat d’infanterie ukrainien fait feu dans un des quartiers de la ville encore habité et ailleurs, ce sont des quartiers résidentiels qui se retrouvent sur les chemins des assauts russes.
Un drame inévitable dans tous les combats urbains et dont la seule solution atténuante reste l’organisation bilatérale de corridors humanitaires permettant l’évacuation des habitants dabs les 2 directions du front.
Comme toujours, les ukro-atlantistes refusent de voir les civils être évacués côté russe et se délectent même lorsqu’ils sont victimes collatérales des combats, accusant bien sûr les russes d’être les responsables intentionnels des pertes civiles constatées.
Dans la deuxième vidéo on peut observer que les combats ont atteint le quartier de Zabakhmoutki, rue Garshina, dans le Nord Est de la ville.
https://t.me/ErwanKastel/4695?single
https://t.me/ErwanKastel/4696?single
EN PRIME
🔹#Soledar (#Bakhmut) :
▪️ Les escadrons d’assaut Wagner PMC ont pris #Paraskoviyevka, ouvrant une autre direction pour l’attaque sur #Berkhovka, au nord de #Bakhmut. L’extension de la zone de contrôle permet une pression accrue sur #Bakhmut depuis le nord.
➖ Les forces russes, appuyées par l’artillerie et l’aviation, progressent également vers Orekhovo-Vasilevka et Dubovo-Vasilevka.
▪️Dans la zone urbaine de #Bakhmut, de violents combats se poursuivent. Les forces russes poussent à travers les défenses ennemies dans les quartiers nord, est et sud de la ville.
▪️ Au sud-ouest de #Bakhmut, les escadrons d’assaut russes ont avancé près de la périphérie de #Krasnoye, avançant du sud et du sud-est.
EN PRIME
Bakhmut / Artemovsk ne se rend pas car si il le faisait le Bureau du Président subira des pertes d’image, car ils ont créé l’image de «Fortetsya bakhmut» et ont envoyé le général Syrsky pour diriger la défense.
Si la ville se rend, les fonctionnaires en la personne d’Ermak subiront plusieurs défaites personnelles .
Ainsi, des milliers de personnes mobilisées ont été versées dans le hachoir à viande bakhmutov et seront versées jusqu’à ce qu’il y ait une chance de sauver leur «image».
Disposition
Selon le hachoir à viande Bakhmutov, une situation intéressante s’est développée dans les grands bureaux du gouvernement ukrainien.
Nos collègues ont déjà écrit que le Commandant en chef zaluzhny était opposé à la rétention de Bakhmut / Artemovsk, et le Bureau du Président et zelensky exigent au contraire que Bakhmu tienne.
brunobertez 
C’est Stalingrad inversé: les nazis sous perfusion otanesque encerclés ! Ça serait presque comique si ça n’était pas fou. De plus, c’est hypocrite cette notion de civils en temps de guerre et porteur d’illusions létales…
J’aimeJ’aime
Les Ukrainiens devront payer pour les souffrances causées en Novorussie, ce qui inclut la destruction quasi complète d’un grand nombre de villes.
J’aimeJ’aime
Bonsoir M. Bertez
Ce n’est pas la première fois que des militaires et des civils sont massacrés pour des raisons « d’image » et que des dissensions entre politiques et militaires se font jour sur les objectifs de campagne.
On se souvient bien sûr de Stalingrad, mais beaucoup moins de la « libération » de la « poche de Royan » qui donna lieu à la première expérimentation du napalm et qui fut un objectif bien plus politique que militaire…
On se demanderait même parfois si les décisions politiques ne causent pas plus de morts en fin de compte que les actions purement militaires….
Cordialement
J’aimeJ’aime
Il ressort de ce texte que la tenue de Bakhmut, malgré un prix exorbitant en vies humaines, est imposée par l’acteur président ukrainien Zélinsky.
Ce dernier aura des comptes à rendre quand la ville sera tombée et la question de sa survie politique viendra à se poser.
J’aimeJ’aime